L'activité industrielle des secteurs public et privé en Algérie a enregistré une sensible hausse, au 4e trimestre 2008, par rapport au trimestre précédent, selon une enquête d'opinion réalisée auprès des chefs d'entreprises industrielles par l'Office national des statistiques (ONS). Cette enquête portant sur le type et le rythme de l'activité industrielle et non pas sur les productions, révèle que la hausse a été «plus prononcée» selon les industriels du secteur public. Ainsi, près de 86% du potentiel de production du secteur public a utilisé ses capacités de production à plus de 75%. Ces capacités sont utilisées à moins de 75% par 80% du potentiel de production du secteur privé dont plus de 76% à moins de 50%, selon les résultats de l'enquête qui a touché 740 entreprises dont 340 publiques et 400 privées. Le niveau d'approvisionnement en matières premières reste inférieur aux besoins exprimés, selon 35% des industriels publics et plus de 9% de ceux du privé. Environ 63% du potentiel de production du secteur public et près de 84% de celui du privé ont enregistré, en outre, des pannes électriques, provoquant des arrêts de travail inférieurs à 6 jours pour le secteur public et supérieurs à 12 jours pour le secteur privé. Selon cette enquête, 89% des patrons des deux secteurs estiment que l'approvisionnement en eau a été suffisant durant ce trimestre, par contre la consommation d'énergie a connu une augmentation durant le dernier trimestre 2008. Près de 86% des chefs d'entreprises du secteur public et plus de 50% de ceux du privé ont déclaré avoir réussi à satisfaire toutes les commandes reçues. Quant aux effectifs, ils continuent de chuter, selon les représentants du secteur public à cause des départs à la retraite, non remplacés. Toutefois, ils ont augmenté pour ceux du privé. Par ailleurs, environ 72% des chefs d'entreprises du public et seulement 16% privé déclarent trouver des difficultés à recruter le personnel d'encadrement. Elles sont près de 22% des entreprises du public et 75% du privé à avoir recouru à des crédits bancaires, la majorité déclare ne pas avoir eu des difficultés à les contracter. L'activité industrielle des secteurs public et privé en Algérie a enregistré une sensible hausse, au 4e trimestre 2008, par rapport au trimestre précédent, selon une enquête d'opinion réalisée auprès des chefs d'entreprises industrielles par l'Office national des statistiques (ONS). Cette enquête portant sur le type et le rythme de l'activité industrielle et non pas sur les productions, révèle que la hausse a été «plus prononcée» selon les industriels du secteur public. Ainsi, près de 86% du potentiel de production du secteur public a utilisé ses capacités de production à plus de 75%. Ces capacités sont utilisées à moins de 75% par 80% du potentiel de production du secteur privé dont plus de 76% à moins de 50%, selon les résultats de l'enquête qui a touché 740 entreprises dont 340 publiques et 400 privées. Le niveau d'approvisionnement en matières premières reste inférieur aux besoins exprimés, selon 35% des industriels publics et plus de 9% de ceux du privé. Environ 63% du potentiel de production du secteur public et près de 84% de celui du privé ont enregistré, en outre, des pannes électriques, provoquant des arrêts de travail inférieurs à 6 jours pour le secteur public et supérieurs à 12 jours pour le secteur privé. Selon cette enquête, 89% des patrons des deux secteurs estiment que l'approvisionnement en eau a été suffisant durant ce trimestre, par contre la consommation d'énergie a connu une augmentation durant le dernier trimestre 2008. Près de 86% des chefs d'entreprises du secteur public et plus de 50% de ceux du privé ont déclaré avoir réussi à satisfaire toutes les commandes reçues. Quant aux effectifs, ils continuent de chuter, selon les représentants du secteur public à cause des départs à la retraite, non remplacés. Toutefois, ils ont augmenté pour ceux du privé. Par ailleurs, environ 72% des chefs d'entreprises du public et seulement 16% privé déclarent trouver des difficultés à recruter le personnel d'encadrement. Elles sont près de 22% des entreprises du public et 75% du privé à avoir recouru à des crédits bancaires, la majorité déclare ne pas avoir eu des difficultés à les contracter.