Le 9eme Salon international des productions et de la santé animale SIPSA-2009, qui a ouvert ses portes mardi au Palais des expositions des Pins maritimes à Alger, sous le thème de la relance et de l'innovation de l'économie des élevages, a été clôturé hier. Les opérateurs étrangers venant d'une vingtaine de pays, dont le savoir- faire dans le secteur agricole n'est plus à démontrer, l'Egypte, la Tunisie, le Maroc, la Turquie, l'Allemagne, l'Autriche, la Hollande, la France, la Belgique, le Canada, la Chine, l'Italie et les USA, ont exposé leurs expériences dans la filière avicole et lait. Une expérience qui profitera aux éleveurs nationaux pour professionnaliser l'agriculture et, par là même, afin d'assurer la sécurité alimentaire du pays et tenter d'encourager toute initiative de développer la professionnalisation des filières agricoles à travers la modernisation, l'amélioration de la qualité. Un programme qu'on retrouve dans la politique du renouveau de l'économie agricole et du renouveau rural mise en œuvre par le ministère de l'Agriculture et du Développement rural. Une première initiative, un projet de coopération algéro-français pour le développement de la filière lait sera mis en œuvre très prochainement en Algérie, a annoncé, mardi à Alger, en marge du SIPSA-2009, Marc Gillaux, directeur général d'une association française d'entreprises laitières « Bretagne International ». D'un coût de 1,8 million d'euros sur trois ans, le projet est financé à raison de 60% par des financements publics algériens et de 40% par la partie française. Chapeauté par un Comité national de pilotage, le projet est articulé par des unités opérationnelles au niveau de chaque wilaya, désignées sous l'appellation de groupes d'appui aux éleveurs (GAPEL). Le projet, supervisé par le GAPEL, composé de cinq ingénieurs ou techniciens spécialisés, vise à créer des exploitations familiales possédant 30 à 40 vaches laitières et même plus, pouvant produire quelque 7.500 litres de lait par an et par vache. Dans une première phase, le projet de « Bretagne international » concernera les wilayas de Relizane, Blida et Souk Ahras, et pourrait être élargi à une vingtaine d'autres wilayas dans le cadre d'une formule de libre adhésion des éleveurs. Le 9eme Salon international des productions et de la santé animale SIPSA-2009, qui a ouvert ses portes mardi au Palais des expositions des Pins maritimes à Alger, sous le thème de la relance et de l'innovation de l'économie des élevages, a été clôturé hier. Les opérateurs étrangers venant d'une vingtaine de pays, dont le savoir- faire dans le secteur agricole n'est plus à démontrer, l'Egypte, la Tunisie, le Maroc, la Turquie, l'Allemagne, l'Autriche, la Hollande, la France, la Belgique, le Canada, la Chine, l'Italie et les USA, ont exposé leurs expériences dans la filière avicole et lait. Une expérience qui profitera aux éleveurs nationaux pour professionnaliser l'agriculture et, par là même, afin d'assurer la sécurité alimentaire du pays et tenter d'encourager toute initiative de développer la professionnalisation des filières agricoles à travers la modernisation, l'amélioration de la qualité. Un programme qu'on retrouve dans la politique du renouveau de l'économie agricole et du renouveau rural mise en œuvre par le ministère de l'Agriculture et du Développement rural. Une première initiative, un projet de coopération algéro-français pour le développement de la filière lait sera mis en œuvre très prochainement en Algérie, a annoncé, mardi à Alger, en marge du SIPSA-2009, Marc Gillaux, directeur général d'une association française d'entreprises laitières « Bretagne International ». D'un coût de 1,8 million d'euros sur trois ans, le projet est financé à raison de 60% par des financements publics algériens et de 40% par la partie française. Chapeauté par un Comité national de pilotage, le projet est articulé par des unités opérationnelles au niveau de chaque wilaya, désignées sous l'appellation de groupes d'appui aux éleveurs (GAPEL). Le projet, supervisé par le GAPEL, composé de cinq ingénieurs ou techniciens spécialisés, vise à créer des exploitations familiales possédant 30 à 40 vaches laitières et même plus, pouvant produire quelque 7.500 litres de lait par an et par vache. Dans une première phase, le projet de « Bretagne international » concernera les wilayas de Relizane, Blida et Souk Ahras, et pourrait être élargi à une vingtaine d'autres wilayas dans le cadre d'une formule de libre adhésion des éleveurs.