Du 14 au 21 mai, les férus de jazz seront vraiment gâtés : un écran géant de 24 m2 vient d'être installé sur l'esplanade la "Brèche". La retransmission du spectacle, nous a-t-on affirmé, sera assurée avec un bon niveau technique. Les organisateurs de Dima Jazz ont invité le producteur de l'émission "Alham wa chabab" et comptent inviter toute l'équipe de l'émission télévisuelle satirique"El Fhama". Du 14 au 21 mai, les férus de jazz seront vraiment gâtés : un écran géant de 24 m2 vient d'être installé sur l'esplanade la "Brèche". La retransmission du spectacle, nous a-t-on affirmé, sera assurée avec un bon niveau technique. Les organisateurs de Dima Jazz ont invité le producteur de l'émission "Alham wa chabab" et comptent inviter toute l'équipe de l'émission télévisuelle satirique"El Fhama". La septième édition du festival "Dima Jazz" se présente apparemment sous de bons auspices. C'est du moins ce qui ressort des propos tenus par l'un des organisateurs de cette manifestation. Du 14 au 21 mai, les férus de jazz seront vraiment gâtés. Pour cette année, les organisateurs ont même eu une pensée pour ceux qui n'auront pas la chance de décrocher un billet d'entrée pour le Théâtre régional abritant le spectacle : un écran géant de 24 m2 vient d'être installé sur l'esplanade la «Brèche». La retransmission du spectacle, nous a-t-on affirmé, sera assurée avec un bon niveau technique. Pour l'édition de cette année, les organisateurs semblent avoir tiré des leçons des expériences passées et sont décidés à éviter le maximum d'imperfections. Aussi a-t-on opté pour la limitation du nombre des invités et des abonnés. On a fait également appel à une agence de sécurité afin d'assurer une meilleure organisation et on a même innové en ce qui concerne la billetterie «les billets sont datés afin de pouvoir gérer le quota quotidien», nous explique l'un des organisateurs. Tout cela pour faire face aux tentatives de sabotage déjà commis l'année dernière par des énergumènes qui s'obstinent à empêcher Constantine de voir le «jour». Financièrement parlant, le festival vient de bénéficier d'une augmentation conséquente des aides provenant du ministère de la Culture et de la wilaya de Constantine. Sur les plans purement culturel et artistique, Dima Jazz, qui a gagné sa place de grand rendez-vous international, ne cesse de prendre de la dimension et cela est dû essentiellement aux efforts des autorités et à la notoriété des groupes invités, à l'image de l'américain Bernard Allison et du français Mardi Brass Band. Concernant les spectacles qui ont eu lieu les 14 et 15, il faut reconnaître que le groupe français Post image a laissé une bonne impression. Un des membres de ce groupe a été ébloui par le public constantinois, très connaisseur à son avis ! Enfin, une nouveauté. Le festival se veut aussi un point de rencontre pour les artistes, qu'ils soient chanteurs ou comédiens. Les organisateurs de Dima Jazz ont invité, cette fois-ci le producteur de l'émission "Alham wa chabab" et comptent inviter toute l'équipe de l'émission télévisuelle satirique "El Fhama". C'est dire que les jazzmen ne sont jamais à court d'idées ! La septième édition du festival "Dima Jazz" se présente apparemment sous de bons auspices. C'est du moins ce qui ressort des propos tenus par l'un des organisateurs de cette manifestation. Du 14 au 21 mai, les férus de jazz seront vraiment gâtés. Pour cette année, les organisateurs ont même eu une pensée pour ceux qui n'auront pas la chance de décrocher un billet d'entrée pour le Théâtre régional abritant le spectacle : un écran géant de 24 m2 vient d'être installé sur l'esplanade la «Brèche». La retransmission du spectacle, nous a-t-on affirmé, sera assurée avec un bon niveau technique. Pour l'édition de cette année, les organisateurs semblent avoir tiré des leçons des expériences passées et sont décidés à éviter le maximum d'imperfections. Aussi a-t-on opté pour la limitation du nombre des invités et des abonnés. On a fait également appel à une agence de sécurité afin d'assurer une meilleure organisation et on a même innové en ce qui concerne la billetterie «les billets sont datés afin de pouvoir gérer le quota quotidien», nous explique l'un des organisateurs. Tout cela pour faire face aux tentatives de sabotage déjà commis l'année dernière par des énergumènes qui s'obstinent à empêcher Constantine de voir le «jour». Financièrement parlant, le festival vient de bénéficier d'une augmentation conséquente des aides provenant du ministère de la Culture et de la wilaya de Constantine. Sur les plans purement culturel et artistique, Dima Jazz, qui a gagné sa place de grand rendez-vous international, ne cesse de prendre de la dimension et cela est dû essentiellement aux efforts des autorités et à la notoriété des groupes invités, à l'image de l'américain Bernard Allison et du français Mardi Brass Band. Concernant les spectacles qui ont eu lieu les 14 et 15, il faut reconnaître que le groupe français Post image a laissé une bonne impression. Un des membres de ce groupe a été ébloui par le public constantinois, très connaisseur à son avis ! Enfin, une nouveauté. Le festival se veut aussi un point de rencontre pour les artistes, qu'ils soient chanteurs ou comédiens. Les organisateurs de Dima Jazz ont invité, cette fois-ci le producteur de l'émission "Alham wa chabab" et comptent inviter toute l'équipe de l'émission télévisuelle satirique "El Fhama". C'est dire que les jazzmen ne sont jamais à court d'idées !