Le change au noir prospère et ceux qui veulent acheter ou vendre des devises n'ont qu'à se rendre à Bab Souk, notamment à l'emblématique rue d' Announa. Les clients sont issus de divers horizons et ils négocient des acquisitions de devises étrangères pour divers motifs. Le change au noir prospère et ceux qui veulent acheter ou vendre des devises n'ont qu'à se rendre à Bab Souk, notamment à l'emblématique rue d' Announa. Les clients sont issus de divers horizons et ils négocient des acquisitions de devises étrangères pour divers motifs. Ce sont essentiellement de jeunes gens exhibant des liasses de coupures de billets de banque qui interpellent les passants : " Euros, dinars tunisiens ", et égrènant le cours des achats et de vente des devises. Ils exercent au su et au vu de tout le monde et ne sont nullement inquiétés par les services de sécurité. Ces cambistes sont en fait de simples employés de quelques gros bonnets qui tiennent à rester dans l'ombre car ils brassent des sommes d'argent colossales. Le change au noir prospère et ceux qui veulent acheter ou vendre des devises n'ont qu'à se rendre à Bab Souk, notamment à l'emblématique rue d' Announa réputée pour ses magasins de tissus, de tapis, de chaussures, de cuivre ciselé, de cosmétiques et ses bijouteries. Les clients sont issus de divers horizons et ils négocient des acquisitions de devises étrangères pour divers motifs : tourisme, santé, omra , pélerinage aux Lieux Saints, achat de véhicules, équipements etc. A l'approche de la saison estivale , la demande s'accroit puisque les familles et les jeunes préfèrent passer leurs vacances à l'étranger et surtout en Tunisie pour des raisons objectives. Nous nous sommes rapprochés d'un cambiste âgé d'une trentaine d'années qui proposait ses bons offices à un vieux couple : " Le cours de l'euro est de 12.300 dinars pour l'achat de 100 euros et 12.450 dinars pour la vente de la mème somme. Quant à la devise tunisienne, particulièrement prisée, elle est proposée à raison de 100 DA tunisiens contre 6.800 DA algériens. Selon leurs dires, les cambistes achètent leurs devises surtout auprès des retraités du régime français qui perçoivent leurs pensions auprès de la BADR et des émigrés qui viennent passer leurs vacances au pays natal . De toute évidence, le change parralèle rend d'indéniables services à la population qui a saisi cette opportunité car l'allocation touristique est dérisoire, elle ne répond pas aux besoins exprimés par les candidats aux voyages en Europe car pour décrocher le fameux visa, il est impératif de présenter au consulat un dépot bancaire de plusieurs centaines d'euros, voire d'un millier! Ce sont essentiellement de jeunes gens exhibant des liasses de coupures de billets de banque qui interpellent les passants : " Euros, dinars tunisiens ", et égrènant le cours des achats et de vente des devises. Ils exercent au su et au vu de tout le monde et ne sont nullement inquiétés par les services de sécurité. Ces cambistes sont en fait de simples employés de quelques gros bonnets qui tiennent à rester dans l'ombre car ils brassent des sommes d'argent colossales. Le change au noir prospère et ceux qui veulent acheter ou vendre des devises n'ont qu'à se rendre à Bab Souk, notamment à l'emblématique rue d' Announa réputée pour ses magasins de tissus, de tapis, de chaussures, de cuivre ciselé, de cosmétiques et ses bijouteries. Les clients sont issus de divers horizons et ils négocient des acquisitions de devises étrangères pour divers motifs : tourisme, santé, omra , pélerinage aux Lieux Saints, achat de véhicules, équipements etc. A l'approche de la saison estivale , la demande s'accroit puisque les familles et les jeunes préfèrent passer leurs vacances à l'étranger et surtout en Tunisie pour des raisons objectives. Nous nous sommes rapprochés d'un cambiste âgé d'une trentaine d'années qui proposait ses bons offices à un vieux couple : " Le cours de l'euro est de 12.300 dinars pour l'achat de 100 euros et 12.450 dinars pour la vente de la mème somme. Quant à la devise tunisienne, particulièrement prisée, elle est proposée à raison de 100 DA tunisiens contre 6.800 DA algériens. Selon leurs dires, les cambistes achètent leurs devises surtout auprès des retraités du régime français qui perçoivent leurs pensions auprès de la BADR et des émigrés qui viennent passer leurs vacances au pays natal . De toute évidence, le change parralèle rend d'indéniables services à la population qui a saisi cette opportunité car l'allocation touristique est dérisoire, elle ne répond pas aux besoins exprimés par les candidats aux voyages en Europe car pour décrocher le fameux visa, il est impératif de présenter au consulat un dépot bancaire de plusieurs centaines d'euros, voire d'un millier!