Les familles algéroises se sont désabituées des salles obscures, la télé ayant accaparé ces dernières années l'univers familial et surtout depuis l'époque où les salles de cinéma dans la capitale avaient connu une déchéance certaine. Durant cette triste époque les gérants se contentaient d'y projeter de simples vidéos pour les personnes, loin d'être regardantes, qui continuaient à les fréquenter. Aujourd'hui certaines salles ont été réhabilitées mais ne drainent toutefois pas la foule escomptée. Elles accueillent le temps d'un film, de jeunes couples n'ayant pas d'autre endroit discret où pouvoir laisser s'exprimer leurs premiers émois. Ces gamins pour éviter les regards réprobateurs et pouvoir se témoigner leur "tendresse" s'y réfugient et pour eux peu importe le film qui y est projeté. L'âge des amateurs de salles obscures varie entre 16 et 35 ans mais ces couples peuvent parfois être bien plus vieux. Etant au courant de ces pratiques les personnes, tentées de voir un film en compagnie de leurs conjoints, enfants, ou encore frères ou sœur préfèrent s'en absterir par pudeur en s'y rendant seules ou en attendant que le film soit diffusé à la télé ou disponible en DVD. La capitale est confrontée à un réel problème, face au manque de lieux de distraction, et elle se voit aussi dépossédée de l'un des rares endroits qui lui restent. Les nouvelles générations ne connaissent pas, hélas, le plaisir de suivre en famille un film sur grand écran, de déguster pendant l'entracte l'"esquimeau" acheté auprès de l'ouvreuse qui se transforme durant la pose en vendeuse de glaces et autres sucreries. Les jeunes ne connaissent pas le bonheur de commenter, avec leurs parents, à la sortie du cinéma le film choisi ensemble. Il faudrait pouvoir de nouveau, partager ce plaisir unique avec ses proches. Une solution doit être apportée, une solution qui agréerait à toutes les parties afin que les Algérois retrouvent leurs salles de cinéma et renouent avec leurs bonnes vieilles habitudes. Les familles algéroises se sont désabituées des salles obscures, la télé ayant accaparé ces dernières années l'univers familial et surtout depuis l'époque où les salles de cinéma dans la capitale avaient connu une déchéance certaine. Durant cette triste époque les gérants se contentaient d'y projeter de simples vidéos pour les personnes, loin d'être regardantes, qui continuaient à les fréquenter. Aujourd'hui certaines salles ont été réhabilitées mais ne drainent toutefois pas la foule escomptée. Elles accueillent le temps d'un film, de jeunes couples n'ayant pas d'autre endroit discret où pouvoir laisser s'exprimer leurs premiers émois. Ces gamins pour éviter les regards réprobateurs et pouvoir se témoigner leur "tendresse" s'y réfugient et pour eux peu importe le film qui y est projeté. L'âge des amateurs de salles obscures varie entre 16 et 35 ans mais ces couples peuvent parfois être bien plus vieux. Etant au courant de ces pratiques les personnes, tentées de voir un film en compagnie de leurs conjoints, enfants, ou encore frères ou sœur préfèrent s'en absterir par pudeur en s'y rendant seules ou en attendant que le film soit diffusé à la télé ou disponible en DVD. La capitale est confrontée à un réel problème, face au manque de lieux de distraction, et elle se voit aussi dépossédée de l'un des rares endroits qui lui restent. Les nouvelles générations ne connaissent pas, hélas, le plaisir de suivre en famille un film sur grand écran, de déguster pendant l'entracte l'"esquimeau" acheté auprès de l'ouvreuse qui se transforme durant la pose en vendeuse de glaces et autres sucreries. Les jeunes ne connaissent pas le bonheur de commenter, avec leurs parents, à la sortie du cinéma le film choisi ensemble. Il faudrait pouvoir de nouveau, partager ce plaisir unique avec ses proches. Une solution doit être apportée, une solution qui agréerait à toutes les parties afin que les Algérois retrouvent leurs salles de cinéma et renouent avec leurs bonnes vieilles habitudes.