Chakib Khelil, ministre de l'Energie et des Mines, et président en exercice du cartel partage l'idée qu'une baisse de la production n'est pas nécessaire. Chakib Khelil, ministre de l'Energie et des Mines, et président en exercice du cartel partage l'idée qu'une baisse de la production n'est pas nécessaire. Selon toute vraisemblance, les douze membres actifs de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) s'acheminent vers le maintien du niveau de production actuelle. D'après Chakib Khelil, ministre de l'Energie et des Mines, et président en exercice du cartel, l'ensemble des membres de l'Organisation partagent l'idée qu'une baisse de la production n'est pas nécessaire. "Je pense que tout le monde est d'accord", a-t-il affirmé à Reuters il y a de cela deux jours en marge du sommet du G8 sur l'énergie à Rome. Il avait auparavant déclaré que l'Opep s'"abstiendrait de réduire sa production pour ne pas perturber le début de reprise économique". Le représentant algérien souligne ainsi l'effort de solidarité que consent l'organisation pour aider à sortir de la crise économique actuelle le plus vite possible et au coût le moins onéreux pour tous. "Je ne pense pas que l'Opep souhaite porter atteinte aux premiers signes de croissance économique, je pense que nous devons donner une chance à la croissance", a-t-il soutenu. L'avis du ministre algérien est rejoint par celui de l'Arabie Saoudite, considéré comme le producteur le plus influent de l'Opep. Le ministre saoudien du Pétrole, Ali al-Nouaïmi, a affirmé, hier, à Vienne avoir constaté une hausse de la demande de brut de la part des clients asiatiques du royaume. "Nous voyons bien sûr une hausse de la demande de certains de nos clients", a révélé le ministre saoudien aux journalistes avant d'ajouter qu'il était "trop tôt" pour parler d'une éventuelle hausse de la production de l'Organisation des pays exportateurs de Pétrole pour répondre à la reprise de la demande. Un message clair en direction des militants d'une augmentation de la production de l'Opep qui continue d'alimenter le marché mondial à hauteur de 30% de ses besoins. Il a par ailleurs estimé que la récente remontée des prix du baril autour des 60 dollars était "un signe d'optimisme" pour la reprise économique mondiale. Il faut dire que les prix du brut se sont spectaculairement ressaisis durant cette semaine en franchissant, hier, la barre des 63 dollars le baril WTI, son plus haut depuis six mois, après que l'Arabie Saoudite, poids lourd de l'Opep, ait déclaré que l'économie mondiale était assez solide pour faire face à un baril autour de 75 à 80 dollars. Alors que le prix du panier Opep qui compte 12 brut a gagné 0,16 dollars US passant de 58,55 USD à 58,71 USD. Par conséquent, l'Opep n'aurait pas besoin de changer sa politique de production. Le cartel s'est déjà engagé à réduire la production de 4,2 millions de barils par jour pour tenter de soutenir les prix, mis à mal par la crise mondiale. Selon toute vraisemblance, les douze membres actifs de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) s'acheminent vers le maintien du niveau de production actuelle. D'après Chakib Khelil, ministre de l'Energie et des Mines, et président en exercice du cartel, l'ensemble des membres de l'Organisation partagent l'idée qu'une baisse de la production n'est pas nécessaire. "Je pense que tout le monde est d'accord", a-t-il affirmé à Reuters il y a de cela deux jours en marge du sommet du G8 sur l'énergie à Rome. Il avait auparavant déclaré que l'Opep s'"abstiendrait de réduire sa production pour ne pas perturber le début de reprise économique". Le représentant algérien souligne ainsi l'effort de solidarité que consent l'organisation pour aider à sortir de la crise économique actuelle le plus vite possible et au coût le moins onéreux pour tous. "Je ne pense pas que l'Opep souhaite porter atteinte aux premiers signes de croissance économique, je pense que nous devons donner une chance à la croissance", a-t-il soutenu. L'avis du ministre algérien est rejoint par celui de l'Arabie Saoudite, considéré comme le producteur le plus influent de l'Opep. Le ministre saoudien du Pétrole, Ali al-Nouaïmi, a affirmé, hier, à Vienne avoir constaté une hausse de la demande de brut de la part des clients asiatiques du royaume. "Nous voyons bien sûr une hausse de la demande de certains de nos clients", a révélé le ministre saoudien aux journalistes avant d'ajouter qu'il était "trop tôt" pour parler d'une éventuelle hausse de la production de l'Organisation des pays exportateurs de Pétrole pour répondre à la reprise de la demande. Un message clair en direction des militants d'une augmentation de la production de l'Opep qui continue d'alimenter le marché mondial à hauteur de 30% de ses besoins. Il a par ailleurs estimé que la récente remontée des prix du baril autour des 60 dollars était "un signe d'optimisme" pour la reprise économique mondiale. Il faut dire que les prix du brut se sont spectaculairement ressaisis durant cette semaine en franchissant, hier, la barre des 63 dollars le baril WTI, son plus haut depuis six mois, après que l'Arabie Saoudite, poids lourd de l'Opep, ait déclaré que l'économie mondiale était assez solide pour faire face à un baril autour de 75 à 80 dollars. Alors que le prix du panier Opep qui compte 12 brut a gagné 0,16 dollars US passant de 58,55 USD à 58,71 USD. Par conséquent, l'Opep n'aurait pas besoin de changer sa politique de production. Le cartel s'est déjà engagé à réduire la production de 4,2 millions de barils par jour pour tenter de soutenir les prix, mis à mal par la crise mondiale.