Les affaires s'accélèrent à l'Organisation nationale des enfants de moudjahiddine (ONEM). En effet, l'actuel secrétaire général Khalfa M'Barek fait face à une révolte au sein de l'organisation où des membre fondateurs ont annoncé la création d'une commission nationale de redressement de l'ONEM Cette commission devrait être présidée par des membres forts de l'organisation. C'est du moins ce qui ressort du communiqué parvenu hier à notre rédaction. Outre cette décision, le texte évoque un à un les griefs retenus contre Khalfa M'Barek. Il apparaît, selon les rédacteurs du communiqué, que le secrétaire général de l'ONEM met en avant ses intérêts personnels au détriment de ceux de l'organisation dont il est accusé d'en avoir confisqué la présidence sans aucun droit et ce, tout en l'accusant d'avoir tenu des propos diffamatoires à l'encontre de certains membres fondateurs. Joint par téléphone, M.Boudoucha Redouane, président fondateur de l'organisation, a confié au Midi Libre que «l'actuel secrétaire général est poursuivi en justice pour diffamation». Il souligne que la gestion des affaires de l'organisation est mise à l'index par ses anciens camarades qui dénoncent une tentative de la part du mis en cause de tenir un congrès constitutif dans une totale discrétion. Une attitude qu'ils qualifient «d'irresponsable» et qui a porté un grand préjudice à l'image de l'organisation. Bien plus, M. Boudoucha nous a déclaré que « le secrétaire national et coordinateur de l'Est, désigné par M.Khalfa est poursuivi en justice pour son implication dans une affaire de soutien logistique à un groupe terroriste à Tébessa». Pour rappel, M.Khalfa M'Barek occupe le poste de secrétaire général au sein de l'organisation depuis 1993. Il a, comme le précise le communiqué, démissionné en octobre 1996 avant de se rétracter. Interrogé sur les raisons qui ont poussé les fondateurs à attendre plus de 10 ans pour agir, notre interlocuteur confie que «plusieurs tentatives entamées auparavant ont échoué». Les affaires s'accélèrent à l'Organisation nationale des enfants de moudjahiddine (ONEM). En effet, l'actuel secrétaire général Khalfa M'Barek fait face à une révolte au sein de l'organisation où des membre fondateurs ont annoncé la création d'une commission nationale de redressement de l'ONEM Cette commission devrait être présidée par des membres forts de l'organisation. C'est du moins ce qui ressort du communiqué parvenu hier à notre rédaction. Outre cette décision, le texte évoque un à un les griefs retenus contre Khalfa M'Barek. Il apparaît, selon les rédacteurs du communiqué, que le secrétaire général de l'ONEM met en avant ses intérêts personnels au détriment de ceux de l'organisation dont il est accusé d'en avoir confisqué la présidence sans aucun droit et ce, tout en l'accusant d'avoir tenu des propos diffamatoires à l'encontre de certains membres fondateurs. Joint par téléphone, M.Boudoucha Redouane, président fondateur de l'organisation, a confié au Midi Libre que «l'actuel secrétaire général est poursuivi en justice pour diffamation». Il souligne que la gestion des affaires de l'organisation est mise à l'index par ses anciens camarades qui dénoncent une tentative de la part du mis en cause de tenir un congrès constitutif dans une totale discrétion. Une attitude qu'ils qualifient «d'irresponsable» et qui a porté un grand préjudice à l'image de l'organisation. Bien plus, M. Boudoucha nous a déclaré que « le secrétaire national et coordinateur de l'Est, désigné par M.Khalfa est poursuivi en justice pour son implication dans une affaire de soutien logistique à un groupe terroriste à Tébessa». Pour rappel, M.Khalfa M'Barek occupe le poste de secrétaire général au sein de l'organisation depuis 1993. Il a, comme le précise le communiqué, démissionné en octobre 1996 avant de se rétracter. Interrogé sur les raisons qui ont poussé les fondateurs à attendre plus de 10 ans pour agir, notre interlocuteur confie que «plusieurs tentatives entamées auparavant ont échoué».