Amel Mathlouthi compose, écrit et chante… Elle apporte un son résolument inédit à la musique tunisienne. Lorsqu'on l'écoute, on ne peut ne pas évoquer Joan Beaz, Sœur Marie Keyrous, Fairouz… Amel Mathlouthi compose, écrit et chante… Elle apporte un son résolument inédit à la musique tunisienne. Lorsqu'on l'écoute, on ne peut ne pas évoquer Joan Beaz, Sœur Marie Keyrous, Fairouz… Il y a quelques années, une jeune artiste, dont personne n'avait jamais entendu parler, s'était produite devant un petit cercle d'amis qui avait eu l'occasion de l'apprécier dans une salle de Tunis. Ce soir-là, une graine de star venait de naître. Le 11 juin prochain, elle sera présente, à partir de 20 heures, dans les jardins du Centre culturel français d'Alger, pour nous offrir un concert exceptionnel, musique du monde avec des textes, voix et sonorités magnifiques... Le mélomane est invité à plonger dans son univers de douceur, ressentir sa vision de la liberté et partager avec elle sa délicatesse pour faire changer les choses ! Son talent aux multiples facettes n'échappa pas aux impresarii toujours à l'affût de l'oiseau rare. Le reste ressemble à un conte de fée. La jeune Amel vole de succès en succès, faisant salle comble à chacune de ses sorties. Son talent est enfin reconnu. Elle chante, compose et écrit ses textes. Sa musique est un savant dosage de styles musicaux de divers horizons allant de la musique tzigane, au folk, en passant par le gnawi et le trip hop*. Comme nombre de ses contemporains, la jeune artiste apprit à jouer seule de la guitare, instrument dont elle ne se sépare jamais. Parmi ses morceaux les plus connus, mais les mieux achevés : Bin El Widiène, Hilma et Khaief et Kelmti horra... Ayant des qualités vocales remarquables, un style envoûtant, parfois lyrique, à forte dominante folk, orientale et trip hop, elle allie les musiques du Maghreb avec des airs du Moyen-Orient en y ajoutant une palette tzigane, flamenco, celtique, gnawa ou ragga. Amel maîtrise magistralement sa voix et en exploite tout le potentiel. Même à ses débuts, la chanteuse reprenait des morceaux de Fayrouz, Marcel Khalifa ou encore des airs réputés difficiles comme Ederlezi, chant tzigane connu pour avoir figuré sur la bande originale du film «Le temps des gitans» d'Emir Kusturica. Des reprises qu'elle exécutera avec brio à plusieurs occasions y compris au cours de ses concerts dans son ancienne école. Ceux qui ont parié sur elle ne s'y sont pas trompés. En septembre 2006, Amel sort son premier album, dont elle est aussi la productrice. Cet opus s'intitule «Peur..». Le succès est au rendez-vous et l'artiste devient l'icône de jeunes artistes tunisiens. Une belle revanche pour Amel qui a longtemps souffert de ne pas être reconnue dans son propre pays. Désormais, elle prend part aux plus grandes manifestations musicales locales et son nom suffit à remplir les salles. *Le trip hop est un genre musical qui a pour base une rythmique hip-hop, sur laquelle viennent se greffer toutes sortes d'influences, jazz, blues, musique électronique, musique de film, soul, rock, dub (genre issu du reggae), etc. Les musiciens Amel Mathlouthi : guitare Karim Attoumane : guitare et chœur Boris Kulenovic : basse Mei Tei Sho Germain Samba : Batterie Mei Tei Sho Laura Caronni : violoncelle Il y a quelques années, une jeune artiste, dont personne n'avait jamais entendu parler, s'était produite devant un petit cercle d'amis qui avait eu l'occasion de l'apprécier dans une salle de Tunis. Ce soir-là, une graine de star venait de naître. Le 11 juin prochain, elle sera présente, à partir de 20 heures, dans les jardins du Centre culturel français d'Alger, pour nous offrir un concert exceptionnel, musique du monde avec des textes, voix et sonorités magnifiques... Le mélomane est invité à plonger dans son univers de douceur, ressentir sa vision de la liberté et partager avec elle sa délicatesse pour faire changer les choses ! Son talent aux multiples facettes n'échappa pas aux impresarii toujours à l'affût de l'oiseau rare. Le reste ressemble à un conte de fée. La jeune Amel vole de succès en succès, faisant salle comble à chacune de ses sorties. Son talent est enfin reconnu. Elle chante, compose et écrit ses textes. Sa musique est un savant dosage de styles musicaux de divers horizons allant de la musique tzigane, au folk, en passant par le gnawi et le trip hop*. Comme nombre de ses contemporains, la jeune artiste apprit à jouer seule de la guitare, instrument dont elle ne se sépare jamais. Parmi ses morceaux les plus connus, mais les mieux achevés : Bin El Widiène, Hilma et Khaief et Kelmti horra... Ayant des qualités vocales remarquables, un style envoûtant, parfois lyrique, à forte dominante folk, orientale et trip hop, elle allie les musiques du Maghreb avec des airs du Moyen-Orient en y ajoutant une palette tzigane, flamenco, celtique, gnawa ou ragga. Amel maîtrise magistralement sa voix et en exploite tout le potentiel. Même à ses débuts, la chanteuse reprenait des morceaux de Fayrouz, Marcel Khalifa ou encore des airs réputés difficiles comme Ederlezi, chant tzigane connu pour avoir figuré sur la bande originale du film «Le temps des gitans» d'Emir Kusturica. Des reprises qu'elle exécutera avec brio à plusieurs occasions y compris au cours de ses concerts dans son ancienne école. Ceux qui ont parié sur elle ne s'y sont pas trompés. En septembre 2006, Amel sort son premier album, dont elle est aussi la productrice. Cet opus s'intitule «Peur..». Le succès est au rendez-vous et l'artiste devient l'icône de jeunes artistes tunisiens. Une belle revanche pour Amel qui a longtemps souffert de ne pas être reconnue dans son propre pays. Désormais, elle prend part aux plus grandes manifestations musicales locales et son nom suffit à remplir les salles. *Le trip hop est un genre musical qui a pour base une rythmique hip-hop, sur laquelle viennent se greffer toutes sortes d'influences, jazz, blues, musique électronique, musique de film, soul, rock, dub (genre issu du reggae), etc. Les musiciens Amel Mathlouthi : guitare Karim Attoumane : guitare et chœur Boris Kulenovic : basse Mei Tei Sho Germain Samba : Batterie Mei Tei Sho Laura Caronni : violoncelle