Le gouvernement de la République sahraouie, en tant que membre de l'Union africaine et le Front Polisario "considèrent que ces élections sont illégales de la part des forces marocaines en ce qui concerne le Sahara Occidental et ne se basent sur aucun fondement juridique". Elles constituent également une provocation délibérée. Le gouvernement de la République sahraouie, en tant que membre de l'Union africaine et le Front Polisario "considèrent que ces élections sont illégales de la part des forces marocaines en ce qui concerne le Sahara Occidental et ne se basent sur aucun fondement juridique". Elles constituent également une provocation délibérée. Le gouvernement marocain s'apprête à organiser, le 12 juin, des élections locales devant inclure le territoire du Sahara Occidental, un territoire occupé illégalement par le Maroc et qui se trouve sous la responsabilité de l'ONU en attente de sa décolonisation. Une telle attitude souligne le Président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, dans une lettre adressée dimanche à M. Ban Ki-moon, citée par l'agence sahraouie, "représente une provocation politique flagrante de la part du Maroc qui entrave les efforts de la communauté internationale à reprendre des négociations pour l'autodétermination du peuple sahraoui, conformément aux principes et résolutions de l'Onu", demandant au SG de l'ONU, Ban Ki-moon "d'intervenir en urgence auprès des autorités marocaines afin d'empêcher l'extension des élections locales marocaines aux territoires sahraouis sous occupation marocain". Le gouvernement de la République sahraouie, en tant que membre de l'Union africaine et le Front Polisario, explique la missive "considèrent que ces élections sont illégales de la part des forces marocaines en ce qui concerne le Sahara Occidental et ne se basent sur aucun fondement juridique". Elles constituent également, prévient Mohamed Abdelaziz "une provocation délibérée à la veille de la deuxième visite dans la région de votre Envoyé personnel, Christopher Ross, qui introduit de nouvelles et graves difficultés sur la voie de la reprise des négociations directes que vous avez soutenu comme le Conseil de sécurité en tant que moyen pour la relance du processus de paix". Il rappelle que "conformément aux résolutions pertinentes de l'Organisation des Nations unies et la décision de la Cour internationale de justice du 16 octobre 1975, réaffirmé par l'avis juridique du 29 janvier 2002, l'ancien secrétaire général adjoint du département des affaires juridique, Hans Corell, selon lesquels le Maroc n'a aucune souveraineté sur le Sahara Occidental et est juridiquement distinct et séparé du territoire marocain". Comme vous le savez, rappelle également le président de RASD, "malgré les efforts louables de James Baker, en tant qu'Envoyé personnel de votre prédécesseur, Kofi Annan, le Maroc, a décidé en 2004 de tourner le dos à l'ONU et de se dérober de ses engagement, en essayant d'imposer à la communauté internationale de légitimer son occupation illégale du Sahara Occidental par une politique du fait accompli".Cet état de faits ne peut perdurer aux yeux du peuple sahraoui ni aux yeux de l'Afrique, qui n'accepte pas que le Sahara Occidental, souligne Mohamed Abdelaziz, "fasse l'exception du principe de l'autodétermination ayant conduit à la décolonisation du continent, ni aux yeux du monde qui ne peut pas croire ou accepter que le Maroc continue à bénéficier d'une sorte de droit de veto soutenu par certains au sein du système des Nations unies". Devant ces préoccupations, le président de la RASD demande au secrétaire général des Nations unies, "d'agir en temps voulu, et de façon publique et suffisante pour empêcher la tenue des élections marocaines au Sahara Occidental", un territoire, a-t-il souligné, "occupé illégalement par le Maroc et qui se trouve sous la responsabilité de l'ONU en attente décolonisation". Le gouvernement marocain s'apprête à organiser, le 12 juin, des élections locales devant inclure le territoire du Sahara Occidental, un territoire occupé illégalement par le Maroc et qui se trouve sous la responsabilité de l'ONU en attente de sa décolonisation. Une telle attitude souligne le Président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, dans une lettre adressée dimanche à M. Ban Ki-moon, citée par l'agence sahraouie, "représente une provocation politique flagrante de la part du Maroc qui entrave les efforts de la communauté internationale à reprendre des négociations pour l'autodétermination du peuple sahraoui, conformément aux principes et résolutions de l'Onu", demandant au SG de l'ONU, Ban Ki-moon "d'intervenir en urgence auprès des autorités marocaines afin d'empêcher l'extension des élections locales marocaines aux territoires sahraouis sous occupation marocain". Le gouvernement de la République sahraouie, en tant que membre de l'Union africaine et le Front Polisario, explique la missive "considèrent que ces élections sont illégales de la part des forces marocaines en ce qui concerne le Sahara Occidental et ne se basent sur aucun fondement juridique". Elles constituent également, prévient Mohamed Abdelaziz "une provocation délibérée à la veille de la deuxième visite dans la région de votre Envoyé personnel, Christopher Ross, qui introduit de nouvelles et graves difficultés sur la voie de la reprise des négociations directes que vous avez soutenu comme le Conseil de sécurité en tant que moyen pour la relance du processus de paix". Il rappelle que "conformément aux résolutions pertinentes de l'Organisation des Nations unies et la décision de la Cour internationale de justice du 16 octobre 1975, réaffirmé par l'avis juridique du 29 janvier 2002, l'ancien secrétaire général adjoint du département des affaires juridique, Hans Corell, selon lesquels le Maroc n'a aucune souveraineté sur le Sahara Occidental et est juridiquement distinct et séparé du territoire marocain". Comme vous le savez, rappelle également le président de RASD, "malgré les efforts louables de James Baker, en tant qu'Envoyé personnel de votre prédécesseur, Kofi Annan, le Maroc, a décidé en 2004 de tourner le dos à l'ONU et de se dérober de ses engagement, en essayant d'imposer à la communauté internationale de légitimer son occupation illégale du Sahara Occidental par une politique du fait accompli".Cet état de faits ne peut perdurer aux yeux du peuple sahraoui ni aux yeux de l'Afrique, qui n'accepte pas que le Sahara Occidental, souligne Mohamed Abdelaziz, "fasse l'exception du principe de l'autodétermination ayant conduit à la décolonisation du continent, ni aux yeux du monde qui ne peut pas croire ou accepter que le Maroc continue à bénéficier d'une sorte de droit de veto soutenu par certains au sein du système des Nations unies". Devant ces préoccupations, le président de la RASD demande au secrétaire général des Nations unies, "d'agir en temps voulu, et de façon publique et suffisante pour empêcher la tenue des élections marocaines au Sahara Occidental", un territoire, a-t-il souligné, "occupé illégalement par le Maroc et qui se trouve sous la responsabilité de l'ONU en attente décolonisation".