Etalé sur quatre jours, depuis hier et ce, jusqu'au 15 juin, le salon s'est ouvert le premier jour par un grand défilé au son du baroud de danses populaires, de chants folkloriques et autres. Sponsorisé par les acteurs satellites de la filière lait, le salon a bénéficié des subventions de la wilaya et de la commune. Etalé sur quatre jours, depuis hier et ce, jusqu'au 15 juin, le salon s'est ouvert le premier jour par un grand défilé au son du baroud de danses populaires, de chants folkloriques et autres. Sponsorisé par les acteurs satellites de la filière lait, le salon a bénéficié des subventions de la wilaya et de la commune. Pour la quatrième fois depuis 2006, la ville d‘El Madher (25 km au nord de Batna), tient son Salon de la vache laitière dans une ambiance de fête digne des liesses populaires des années post indépendance. Outre la participation de plus 82 éleveurs bovins de la région classée bassin laitier de la wilaya de Batna et qui englobe les communes d‘El Madher, Fesdis, Ain Yagout, Djerma et Boumia, le comité des fêtes, soutenu par le Wali et le P/APW a, au fil des ans et de l‘expérience cumulée, institué une véritable manifestation économico-culturo-sportive. Sponsorisé par les acteurs satellites de la filière lait, le salon a bénéficié des subventions de la wilaya et de la commune. Plusieurs associations de producteurs de bovins, d‘activités culturelles et sportives du territoire national y sont invitées. Etalé sur quatre jours, depuis hier et ce, jusqu‘au 15 juin, le salon s‘est ouvert le premier jour par un grand défilé au son du baroud de danses populaires, de chants folkloriques et autres. A l‘entrée de la ville, au niveau d‘un ancien verger oléicole, des stands d‘exposition des sociétés vétérinaires de producteurs de facteurs de production (aliments de bétail), des institutions de l‘Etat (Ansej) sont présentés au publicqui aura constaté les efforts déployés pour booster le secteur de l‘agriculture. Sous les vieux oliviers, des dizaines de bovins de race locale, de celle améliorée grâce à l‘insémination artificielle, de race étrangère telles les vaches hollandaise et française, parées à l‘occasion de rubans multicolores et autres robes toilées de la culture chaouie, ont épaté les visiteurs. L‘initiative de l‘organisation de ces salons dans la wilaya de Batna (pomme, aviculture, abricot, cheval,) renseigne sur la vocation agricole de la région des Aurès où l‘investissement industriel demeure à la traîne. Selon le prospectus où malheureusement manquent les statistiques actualisées, l‘on lira que la wilaya de Batna compte un cheptel de 35.000 bovins dont 17.500 vaches laitières. Les BLM (bovins laitiers modernes) sont au nombre de 5.000 têtes dont 1.350 importées en 2005 et 2006. L‘insemination artificielle a touché 7.700 têtes de race locale. En matière de production laitière qui s‘élève à 17 millions de litres en 2000 avec le rajout d‘un million en 2004, le chiffre a connu une ascension fulgurante en 2007 avec 36 millions de litres. Soit un taux de plus de 115 %. La collecte et la transformation sont couvertes à 100 %. La politique du Plan national de développement agricole, en dépit dess contraintes, a quand même amélioré la filière lait qui reste cependant tributaire de l‘importation de la poudre. Pour la quatrième fois depuis 2006, la ville d‘El Madher (25 km au nord de Batna), tient son Salon de la vache laitière dans une ambiance de fête digne des liesses populaires des années post indépendance. Outre la participation de plus 82 éleveurs bovins de la région classée bassin laitier de la wilaya de Batna et qui englobe les communes d‘El Madher, Fesdis, Ain Yagout, Djerma et Boumia, le comité des fêtes, soutenu par le Wali et le P/APW a, au fil des ans et de l‘expérience cumulée, institué une véritable manifestation économico-culturo-sportive. Sponsorisé par les acteurs satellites de la filière lait, le salon a bénéficié des subventions de la wilaya et de la commune. Plusieurs associations de producteurs de bovins, d‘activités culturelles et sportives du territoire national y sont invitées. Etalé sur quatre jours, depuis hier et ce, jusqu‘au 15 juin, le salon s‘est ouvert le premier jour par un grand défilé au son du baroud de danses populaires, de chants folkloriques et autres. A l‘entrée de la ville, au niveau d‘un ancien verger oléicole, des stands d‘exposition des sociétés vétérinaires de producteurs de facteurs de production (aliments de bétail), des institutions de l‘Etat (Ansej) sont présentés au publicqui aura constaté les efforts déployés pour booster le secteur de l‘agriculture. Sous les vieux oliviers, des dizaines de bovins de race locale, de celle améliorée grâce à l‘insémination artificielle, de race étrangère telles les vaches hollandaise et française, parées à l‘occasion de rubans multicolores et autres robes toilées de la culture chaouie, ont épaté les visiteurs. L‘initiative de l‘organisation de ces salons dans la wilaya de Batna (pomme, aviculture, abricot, cheval,) renseigne sur la vocation agricole de la région des Aurès où l‘investissement industriel demeure à la traîne. Selon le prospectus où malheureusement manquent les statistiques actualisées, l‘on lira que la wilaya de Batna compte un cheptel de 35.000 bovins dont 17.500 vaches laitières. Les BLM (bovins laitiers modernes) sont au nombre de 5.000 têtes dont 1.350 importées en 2005 et 2006. L‘insemination artificielle a touché 7.700 têtes de race locale. En matière de production laitière qui s‘élève à 17 millions de litres en 2000 avec le rajout d‘un million en 2004, le chiffre a connu une ascension fulgurante en 2007 avec 36 millions de litres. Soit un taux de plus de 115 %. La collecte et la transformation sont couvertes à 100 %. La politique du Plan national de développement agricole, en dépit dess contraintes, a quand même amélioré la filière lait qui reste cependant tributaire de l‘importation de la poudre.