Sur le plan d'action du gouvernement, présenté par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, Moussa Touati, dira qu'"il ne contient pas de chiffres, ni de données, ni une vision claire". En somme, une rédaction qu'il n'a pu "commenter", n'étant pas un enseignant. Sur le plan d'action du gouvernement, présenté par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, Moussa Touati, dira qu'"il ne contient pas de chiffres, ni de données, ni une vision claire". En somme, une rédaction qu'il n'a pu "commenter", n'étant pas un enseignant. Le président du FNA (Front national Algérien), revient sur la scène politique nationale. Il a tenu, hier à son siège à Alger, une conférence de presse. Une halte-bilan après l'élection présidentielle et le temps de régler quelques problèmes organiques surgis entretemps. À l'image de celui créé par le député de Tlemcen, lequel a affiché, à la faveur de la piètre exhibition de Moussa Touati à la consultation populaire d'avril dernier, quelques velléités déstabilisatrices pour porter l'estocade au premier responsable du parti. Moussa Touati semble avoir tiré des leçons et des enseignements de sa malheureuse candidature à ces joutes électorales lors desquelles il n'a récolté que quelques poussières du pourcentage des votants. Pour lui, "l'inexpérience des militants", et souvent leur "peu d'engagement", seraient la cause de sa débâcle. Une mise à niveau des connaissances des cadres en matière d'engagements politiques s'impose pour le leader du FNA, d'où une série de rencontres programmées, par le FNA, au profit des membres des commissions de wilayas. Elles sont prévues pour les 17, 18 et 19 juin courant. Quatre autres rencontres régionales suivront au courant de l'été et quatre autres seront organisées au profit des militantes du parti pour "les initier aux charges et responsabilités partisanes et nationales". Après ce préambule, le leader du FNA, qui ne semblait pas au mieux de sa forme, a répondu évasivement à quelques questions de la presse. Sur le plan d'action du gouvernement, présenté par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, Moussa Touati, le qualifiant de "simple rédaction", déplore le fait qu'"il ne contient pas de chiffres, ni de données, ni une vision claire". En somme, une rédaction qu'il n'a pu "commenter", n'étant pas un enseignant. Et cette absence de clarté, il la retrouve également dans l'idée lancée à propos de l'amnistie générale. "Ce n'est pas clair", a-t-il souligné, regrettant que l' "on n'ait pas fait de bilan de la "rahma, de la Concorde civile et de la Réconciliation nationale avant de se pencher sur une nouvelle démarche". En tout état de cause, Moussa Touati promet de donner son avis au "moment opportun". Pour lui, le lancement de cette idée suppose que ces projets n'ont pas eu les résultats escomptés et suggère que le problème de fond a été occulté. "Il faut comprendre pourquoi on en est arrivé à cela", ébauchant un pas dans une direction. "Il faut le demander aux personnes qui ont armé les personnes pour aller combattre en Afghanistan", a-t-il martelé. Quant à l'intention prêtée au frère du président de la République de créer un parti politique, le patron du FNA, ne voit pas où est le problème. "Il est algérien et en tant que citoyen il a le droit de créer une formation politique", a-t-il déclaré, estimant que "peut-être dans un régime présidentiel, il serait utile de constituer des pôles politiques à l'instar de l'Alliance présidentielle". Le président du FNA (Front national Algérien), revient sur la scène politique nationale. Il a tenu, hier à son siège à Alger, une conférence de presse. Une halte-bilan après l'élection présidentielle et le temps de régler quelques problèmes organiques surgis entretemps. À l'image de celui créé par le député de Tlemcen, lequel a affiché, à la faveur de la piètre exhibition de Moussa Touati à la consultation populaire d'avril dernier, quelques velléités déstabilisatrices pour porter l'estocade au premier responsable du parti. Moussa Touati semble avoir tiré des leçons et des enseignements de sa malheureuse candidature à ces joutes électorales lors desquelles il n'a récolté que quelques poussières du pourcentage des votants. Pour lui, "l'inexpérience des militants", et souvent leur "peu d'engagement", seraient la cause de sa débâcle. Une mise à niveau des connaissances des cadres en matière d'engagements politiques s'impose pour le leader du FNA, d'où une série de rencontres programmées, par le FNA, au profit des membres des commissions de wilayas. Elles sont prévues pour les 17, 18 et 19 juin courant. Quatre autres rencontres régionales suivront au courant de l'été et quatre autres seront organisées au profit des militantes du parti pour "les initier aux charges et responsabilités partisanes et nationales". Après ce préambule, le leader du FNA, qui ne semblait pas au mieux de sa forme, a répondu évasivement à quelques questions de la presse. Sur le plan d'action du gouvernement, présenté par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, Moussa Touati, le qualifiant de "simple rédaction", déplore le fait qu'"il ne contient pas de chiffres, ni de données, ni une vision claire". En somme, une rédaction qu'il n'a pu "commenter", n'étant pas un enseignant. Et cette absence de clarté, il la retrouve également dans l'idée lancée à propos de l'amnistie générale. "Ce n'est pas clair", a-t-il souligné, regrettant que l' "on n'ait pas fait de bilan de la "rahma, de la Concorde civile et de la Réconciliation nationale avant de se pencher sur une nouvelle démarche". En tout état de cause, Moussa Touati promet de donner son avis au "moment opportun". Pour lui, le lancement de cette idée suppose que ces projets n'ont pas eu les résultats escomptés et suggère que le problème de fond a été occulté. "Il faut comprendre pourquoi on en est arrivé à cela", ébauchant un pas dans une direction. "Il faut le demander aux personnes qui ont armé les personnes pour aller combattre en Afghanistan", a-t-il martelé. Quant à l'intention prêtée au frère du président de la République de créer un parti politique, le patron du FNA, ne voit pas où est le problème. "Il est algérien et en tant que citoyen il a le droit de créer une formation politique", a-t-il déclaré, estimant que "peut-être dans un régime présidentiel, il serait utile de constituer des pôles politiques à l'instar de l'Alliance présidentielle".