Les parents se voient souvent refuser, au niveau des guichets de l'état civil le droit de prénommer leurs enfants comme ils le désirent. Une fois encore l'administration a refusé l'inscription d'un nouveau-né, que ses parent ont choisi de prénommer Syphax. Cela s'est passé au niveau de l'état civil d'El Harrach. Suite à ce refus, que certains citoyens jugent intolérable, une pétition a été rédigée et signée par un collectif de journalistes lesquels ont décidé de faire leur le combat de ces parents. "Nous, citoyen(ne) s algérien(ne) s, jaloux de nos libertés, de toutes les libertés, dénonçons cette exclusion avec force, refusons la nomenclature des prénoms et réclamons le droit et la liberté de prénommer nos enfants comme bon nous semble", tels sont les termes de cette pétition parvenue à notre rédaction. Pour avoir plus d'informations à ce sujet, nous avons pris soin de contacter les responsable de ladite mairie, lesquels ont nié l'existence de pareil incident. Le SG Azzedine Bouzid nous affirmera, après s'être rapproché du service de l'état civil de sa commune qu' "aucune personne n'a demandé, auprès de nos services, de prénommer son enfant Syphax". Il nous affirmera "ces prénoms sont connus chez nous, ils ont un écho historique… et toute personne désirant donner ces prénoms à son enfant ne risque pas de rencontrer le moindre obstacle au niveau de notre administration". Signalons toutefois que des cas semblables concernant le refus d'enregistrer des prénoms amazighs ont été déjà signalés, même à Tizi Ouzou, commune censée être le temple de l'amazighité. Si l'on se refère à notre glorieuse histoire, du moins celle que l'on nous enseignait à l'école, il est évident voire indiscutable que le roi Massinissa de Numidie, autrefois royaume du nord de l'Afrique, était un Berbère. S'il avait vécu à notre époque il aurait été Algérien, et selon cette logique il est de ce fait notre ancêtre. Les Algériens ont donc le droit, s'ils le désirent, de prénommer leurs enfants du nom de ces glorieux ancêtres tout comme ils peuvent choisir de leur donner, plus prosaïquement, les noms de héros plus proches de nous comme ceux de la révolution : cela reste un choix à faire par les parents et uniquement par eux. Les parents se voient souvent refuser, au niveau des guichets de l'état civil le droit de prénommer leurs enfants comme ils le désirent. Une fois encore l'administration a refusé l'inscription d'un nouveau-né, que ses parent ont choisi de prénommer Syphax. Cela s'est passé au niveau de l'état civil d'El Harrach. Suite à ce refus, que certains citoyens jugent intolérable, une pétition a été rédigée et signée par un collectif de journalistes lesquels ont décidé de faire leur le combat de ces parents. "Nous, citoyen(ne) s algérien(ne) s, jaloux de nos libertés, de toutes les libertés, dénonçons cette exclusion avec force, refusons la nomenclature des prénoms et réclamons le droit et la liberté de prénommer nos enfants comme bon nous semble", tels sont les termes de cette pétition parvenue à notre rédaction. Pour avoir plus d'informations à ce sujet, nous avons pris soin de contacter les responsable de ladite mairie, lesquels ont nié l'existence de pareil incident. Le SG Azzedine Bouzid nous affirmera, après s'être rapproché du service de l'état civil de sa commune qu' "aucune personne n'a demandé, auprès de nos services, de prénommer son enfant Syphax". Il nous affirmera "ces prénoms sont connus chez nous, ils ont un écho historique… et toute personne désirant donner ces prénoms à son enfant ne risque pas de rencontrer le moindre obstacle au niveau de notre administration". Signalons toutefois que des cas semblables concernant le refus d'enregistrer des prénoms amazighs ont été déjà signalés, même à Tizi Ouzou, commune censée être le temple de l'amazighité. Si l'on se refère à notre glorieuse histoire, du moins celle que l'on nous enseignait à l'école, il est évident voire indiscutable que le roi Massinissa de Numidie, autrefois royaume du nord de l'Afrique, était un Berbère. S'il avait vécu à notre époque il aurait été Algérien, et selon cette logique il est de ce fait notre ancêtre. Les Algériens ont donc le droit, s'ils le désirent, de prénommer leurs enfants du nom de ces glorieux ancêtres tout comme ils peuvent choisir de leur donner, plus prosaïquement, les noms de héros plus proches de nous comme ceux de la révolution : cela reste un choix à faire par les parents et uniquement par eux.