Selon le ministre , Oran pourrait abriter cette école dont la mission consiste à «former les gestionnaires de l'eau, car on a tendance à oublier que l'eau est avant tout une affaire de gestion». Selon le ministre , Oran pourrait abriter cette école dont la mission consiste à «former les gestionnaires de l'eau, car on a tendance à oublier que l'eau est avant tout une affaire de gestion». La première école de gestion de l'eau sera prochainement créée par le ministère des Ressources en eau en partenariat avec des partenaires espagnols, a annoncé hier le ministre des Ressources en eau à l'occasion de l'inauguration de la 5e édition du Salon international des équipements de l'eau (SIEE-Pollutec) à la SAFEX. Accompagné de Noureddine Moussa, ministre de l'Habitat, de Souad Bendjabellah, ministre déléguée auprès du ministre de l'Enseignement supérieur en charge de la recherche scientifique et de Rachid Benaissa ministre de l'Agriculture, Abdelmalek Sellal a déclaré à la presse que «pas plus tard que ce matin (hier, ndlr), nous nous nous sommes mis d'accord avec la société Agbar de Barcelone qui gère l'eau d'Oran, et nous avons pris rendez-vous pour après demain pour créer une des premières écoles de gestion de l'eau». «Ils nous ont proposé de réaliser avec nous une école de gestion de l'eau et je pense que cela va être un saut qualitatif extrêmement important» a affirmé le premier responsable de l'eau en Algérie. Selon Sellal, Oran pourrait abriter cette école dont la mission consiste à « ormer les gestionnaires de l'eau, car on a tendance à oublier que l'eau est avant tout une affaire de gestion». Il s'agit concrètement de former les Algériens pour savoir comment gérer les systèmes, la distribution et enfin l'économie de l'eau. « En fait, c'est manager l'eau de manière globale parce que ce n'est pas uniquement une affaire de réalisation d'un barrage puis transporter l'eau, la traiter pour qu'elle soit de bonne qualité ; il faut aussi la gérer en termes de management », explique Sellal qui signale que notre pays enregistre de «très grosses insuffisance» dans ce domaine. Toujours à ce propos, Sellal a précisé que «50% de ce que nous apportent les plus grandes sociétés à l'image de Suez c'est le processus de gestion qui nous manque en Algérie». « On ne sait pas gérer en Algérie c'est ça notre problème !», déplore-t-il signalant que «nos difficultés majeures dans tous les secteurs sont liées à la gestion et la maintenance ». En ce qui concerne les investissements consentis pour améliorer la gestion de l'eau en Algérie, Sellal a indiqué qu'au cours des 5 dernières années, 18 milliards de dollars ont été investis. «Soit autant d'argent pour les investissements prévus pour le prochain quinquennat», précise Sellal qui assure que ses services vont poursuivre les efforts en la matière. Tout en précisant que ses services vont aider l'entretien et l'équipement du réseau d'eau potable, le ministre fait remarquer que «dans ce salon, plusieurs entreprises ont ramené avec elles des équipements spécialisés pour réhabiliter et améliorer le réseau d'AEP». Dans ce cadre, environ 25 villes sont à l'étude. «Une fois les études terminées nous entamerons les travaux dans le cadre du prochain quinquennat», souligne le ministre qui fait remarquer toutefois qu'«il ne suffit pas de résoudre le problème de l'eau si les canalisations fuitent». A noter que des opérations de réhabilitation du réseau de canalisations ont eu lieu à Alger, Oran et Tlemcen. La première école de gestion de l'eau sera prochainement créée par le ministère des Ressources en eau en partenariat avec des partenaires espagnols, a annoncé hier le ministre des Ressources en eau à l'occasion de l'inauguration de la 5e édition du Salon international des équipements de l'eau (SIEE-Pollutec) à la SAFEX. Accompagné de Noureddine Moussa, ministre de l'Habitat, de Souad Bendjabellah, ministre déléguée auprès du ministre de l'Enseignement supérieur en charge de la recherche scientifique et de Rachid Benaissa ministre de l'Agriculture, Abdelmalek Sellal a déclaré à la presse que «pas plus tard que ce matin (hier, ndlr), nous nous nous sommes mis d'accord avec la société Agbar de Barcelone qui gère l'eau d'Oran, et nous avons pris rendez-vous pour après demain pour créer une des premières écoles de gestion de l'eau». «Ils nous ont proposé de réaliser avec nous une école de gestion de l'eau et je pense que cela va être un saut qualitatif extrêmement important» a affirmé le premier responsable de l'eau en Algérie. Selon Sellal, Oran pourrait abriter cette école dont la mission consiste à « ormer les gestionnaires de l'eau, car on a tendance à oublier que l'eau est avant tout une affaire de gestion». Il s'agit concrètement de former les Algériens pour savoir comment gérer les systèmes, la distribution et enfin l'économie de l'eau. « En fait, c'est manager l'eau de manière globale parce que ce n'est pas uniquement une affaire de réalisation d'un barrage puis transporter l'eau, la traiter pour qu'elle soit de bonne qualité ; il faut aussi la gérer en termes de management », explique Sellal qui signale que notre pays enregistre de «très grosses insuffisance» dans ce domaine. Toujours à ce propos, Sellal a précisé que «50% de ce que nous apportent les plus grandes sociétés à l'image de Suez c'est le processus de gestion qui nous manque en Algérie». « On ne sait pas gérer en Algérie c'est ça notre problème !», déplore-t-il signalant que «nos difficultés majeures dans tous les secteurs sont liées à la gestion et la maintenance ». En ce qui concerne les investissements consentis pour améliorer la gestion de l'eau en Algérie, Sellal a indiqué qu'au cours des 5 dernières années, 18 milliards de dollars ont été investis. «Soit autant d'argent pour les investissements prévus pour le prochain quinquennat», précise Sellal qui assure que ses services vont poursuivre les efforts en la matière. Tout en précisant que ses services vont aider l'entretien et l'équipement du réseau d'eau potable, le ministre fait remarquer que «dans ce salon, plusieurs entreprises ont ramené avec elles des équipements spécialisés pour réhabiliter et améliorer le réseau d'AEP». Dans ce cadre, environ 25 villes sont à l'étude. «Une fois les études terminées nous entamerons les travaux dans le cadre du prochain quinquennat», souligne le ministre qui fait remarquer toutefois qu'«il ne suffit pas de résoudre le problème de l'eau si les canalisations fuitent». A noter que des opérations de réhabilitation du réseau de canalisations ont eu lieu à Alger, Oran et Tlemcen.