Des petites boutiques ouvrent un peu partout dans la capitale confectionnant sur place et proposant de la galette traditionnelle, ou encore celle faite à base de semoule, "m'semem, mhadjab, m'takba aux dattes ou sans, r'fis"... bref toutes les préparations que les femmes actives n'ont plus le temps de préparer ou tout simplement ne savent plus faire. De jeunes débrouillards ont investi ce créneau lequel, même s'il nécessite un travail de tous les instants, n'en est pas moins lucratif. Pour un minimum d'investissement : le local bien sûr, un pétrin, une plaque chauffante et surtout beaucoup de cœur à l'ouvrage, voilà nos jeunes évoluant en toute aisance sur le terrain déserté par leurs mères, sœurs ou femmes. Un terrain qu'ils investissent en force puisque parmi leur nombreuse clientèle les femmes ne viennent pas en dernier, bien au contraire elles sont même unanimes pour affirmer apprécier, à sa juste valeur, l'initiative de ces gamins qui leur permet ainsi de continuer à faire plaisir à leur famille tout en n'y consacrant pas trop de leur précieux temps. Ces jeunes, qui dorénavant se sont institués en gardiens de ces préparations culinaires traditionnelles, travaillent sans interruption, ils ouvrent tôt le matin pour ne fermer que tard en fin d'après-midi afin de permettre ainsi aux travailleurs, à leur sortie des bureaux, de pouvoir s'approvisionner auprès d'eux. Il faut préciser que les clients se bousculent et ce à toute heure devant les étals de ces nouveaux commerçants. Ces derniers n'ont pas un seul moment de répit et travaillent, il faut le dire, dans des conditions pour le moins insupportables car en plus de gestes mécaniques, répétés sans cesse et une infinité de fois, il faut pouvoir supporter la chaleur infernale qui règne sur les lieux. Jusqu'ici ces jeunes réussissent à remporter tous les suffrages des citoyens, vu que jusqu'à présent les règles de l'hygiène sont "encore" respectées, du moins en apparence. Il faut espérer qu'ils ne céderont pas à la facilité et ne penseront pas uniquement à leur tiroir-caisse comme les "m'hadjbistes" exerçant dans les gargotes et qui ont fini par devenir de véritables souillons, vous dégoûtant à jamais de ce met pourtant fort apprécié. Des petites boutiques ouvrent un peu partout dans la capitale confectionnant sur place et proposant de la galette traditionnelle, ou encore celle faite à base de semoule, "m'semem, mhadjab, m'takba aux dattes ou sans, r'fis"... bref toutes les préparations que les femmes actives n'ont plus le temps de préparer ou tout simplement ne savent plus faire. De jeunes débrouillards ont investi ce créneau lequel, même s'il nécessite un travail de tous les instants, n'en est pas moins lucratif. Pour un minimum d'investissement : le local bien sûr, un pétrin, une plaque chauffante et surtout beaucoup de cœur à l'ouvrage, voilà nos jeunes évoluant en toute aisance sur le terrain déserté par leurs mères, sœurs ou femmes. Un terrain qu'ils investissent en force puisque parmi leur nombreuse clientèle les femmes ne viennent pas en dernier, bien au contraire elles sont même unanimes pour affirmer apprécier, à sa juste valeur, l'initiative de ces gamins qui leur permet ainsi de continuer à faire plaisir à leur famille tout en n'y consacrant pas trop de leur précieux temps. Ces jeunes, qui dorénavant se sont institués en gardiens de ces préparations culinaires traditionnelles, travaillent sans interruption, ils ouvrent tôt le matin pour ne fermer que tard en fin d'après-midi afin de permettre ainsi aux travailleurs, à leur sortie des bureaux, de pouvoir s'approvisionner auprès d'eux. Il faut préciser que les clients se bousculent et ce à toute heure devant les étals de ces nouveaux commerçants. Ces derniers n'ont pas un seul moment de répit et travaillent, il faut le dire, dans des conditions pour le moins insupportables car en plus de gestes mécaniques, répétés sans cesse et une infinité de fois, il faut pouvoir supporter la chaleur infernale qui règne sur les lieux. Jusqu'ici ces jeunes réussissent à remporter tous les suffrages des citoyens, vu que jusqu'à présent les règles de l'hygiène sont "encore" respectées, du moins en apparence. Il faut espérer qu'ils ne céderont pas à la facilité et ne penseront pas uniquement à leur tiroir-caisse comme les "m'hadjbistes" exerçant dans les gargotes et qui ont fini par devenir de véritables souillons, vous dégoûtant à jamais de ce met pourtant fort apprécié.