«L'Alliance présidentielle se porte bien» a d'entrée indiqué le secrétaire général du RND dans son allocution prononcée, hier, lors du sommet qui s'est tenu au siège du MSP. «L'Alliance présidentielle se porte bien» a d'entrée indiqué le secrétaire général du RND dans son allocution prononcée, hier, lors du sommet qui s'est tenu au siège du MSP. Les leaders des trois partis de l'Alliance présidentielle ont dressé un constat positif de l'action de ce groupe politique et ont mis surtout en évidence l'importance de son rôle dans la stabilité du pays. Une manière aussi pour Ahmed Ouyahia, Bouguerra Soltani et Abdelaziz Belkhadem de démentir toutes les assertions sur de prétendues divergences qui mineraient l'Alliance présidentielle. «L'Alliance présidentielle se porte bien» a d'entrée indiqué le secrétaire général du RND dans son allocution prononcée, hier, lors du sommet qui s'est tenu au siège du MSP. Ahmed Ouyahia, qui faisait allusion à la campagne électorale pour l'élection présidentielle du 9 avril dernier dira en outre que "cette alliance a tout récemment donné la preuve concrète de sa solidité". Les trois partis, en l'occurrence le FLN, le RND et le MSP, ont soutenu la candidature de Abdelaziz Bouteflika et ont mené une intense campagne en sa faveur. D'ailleurs Ouyahia a aussi estimé que «la locomotive de l'Alliance à l'APN et au Conseil de la nation n'a pas manqué de soutenir Abdelaziz Bouteflika». Le patron du RND parlait certainement de l'amendement de la constitution, avalisé par les deux chambres du Parlement le 12 novembre 2008. Ahmed Ouyahia, qui a vivement condamné le dernier attentat terroriste qui a coûté la vie à 18 gendarmes et qui ne peut en aucun cas remettre en cause la politique de réconciliation nationale, a de suite répondu favorablement à la proposition de Bouguerra Soltani pour donner un prolongement local à l'Alliance. Bien avant Ouyahia l'hôte du sommet, Bouguerra Soltani, dont le parti a pris le relais du FLN pour la présidence tournante de ce groupe politique, a mis en avant les mérites de l'Alliance présidentielle qui, en cinq ans d'existence, dira-t-il, a pu contribuer grandement à la stabilité du pays. Le président du MSP a souligné que l'Alliance présidentielle a aussi pu rassembler les forces vives des trois principaux courants politiques, que sont le courant nationaliste, démocratique et islamiste et ce malgré l'existence d'éléments dissidents dans les trois familles politique. L'orateur, revenant à la charge, a demandé la promotion de l'Alliance présidentielle en un véritable partenariat politique. Abdelaziz Belkhadem, abondant dans le même sens que ses deux prédécesseurs, a déclaré que l'Alliance présidentielle est une importante "expérience démocratique qui prend à contre-pied tous ceux qui veulent voir à travers cette expérience une tentative de retour au parti unique". Les leaders des trois partis de l'Alliance présidentielle ont dressé un constat positif de l'action de ce groupe politique et ont mis surtout en évidence l'importance de son rôle dans la stabilité du pays. Une manière aussi pour Ahmed Ouyahia, Bouguerra Soltani et Abdelaziz Belkhadem de démentir toutes les assertions sur de prétendues divergences qui mineraient l'Alliance présidentielle. «L'Alliance présidentielle se porte bien» a d'entrée indiqué le secrétaire général du RND dans son allocution prononcée, hier, lors du sommet qui s'est tenu au siège du MSP. Ahmed Ouyahia, qui faisait allusion à la campagne électorale pour l'élection présidentielle du 9 avril dernier dira en outre que "cette alliance a tout récemment donné la preuve concrète de sa solidité". Les trois partis, en l'occurrence le FLN, le RND et le MSP, ont soutenu la candidature de Abdelaziz Bouteflika et ont mené une intense campagne en sa faveur. D'ailleurs Ouyahia a aussi estimé que «la locomotive de l'Alliance à l'APN et au Conseil de la nation n'a pas manqué de soutenir Abdelaziz Bouteflika». Le patron du RND parlait certainement de l'amendement de la constitution, avalisé par les deux chambres du Parlement le 12 novembre 2008. Ahmed Ouyahia, qui a vivement condamné le dernier attentat terroriste qui a coûté la vie à 18 gendarmes et qui ne peut en aucun cas remettre en cause la politique de réconciliation nationale, a de suite répondu favorablement à la proposition de Bouguerra Soltani pour donner un prolongement local à l'Alliance. Bien avant Ouyahia l'hôte du sommet, Bouguerra Soltani, dont le parti a pris le relais du FLN pour la présidence tournante de ce groupe politique, a mis en avant les mérites de l'Alliance présidentielle qui, en cinq ans d'existence, dira-t-il, a pu contribuer grandement à la stabilité du pays. Le président du MSP a souligné que l'Alliance présidentielle a aussi pu rassembler les forces vives des trois principaux courants politiques, que sont le courant nationaliste, démocratique et islamiste et ce malgré l'existence d'éléments dissidents dans les trois familles politique. L'orateur, revenant à la charge, a demandé la promotion de l'Alliance présidentielle en un véritable partenariat politique. Abdelaziz Belkhadem, abondant dans le même sens que ses deux prédécesseurs, a déclaré que l'Alliance présidentielle est une importante "expérience démocratique qui prend à contre-pied tous ceux qui veulent voir à travers cette expérience une tentative de retour au parti unique".