Le site de Sidi Abderrahmane est d'une beauté inégalée, les lignes gracieuses et élégantes de sa mosquée rivalisent avec la finesse de l'architecture du mausolée et la richesse des parures de ce lieu unique à Alger. Le site de Sidi Abderrahmane est d'une beauté inégalée, les lignes gracieuses et élégantes de sa mosquée rivalisent avec la finesse de l'architecture du mausolée et la richesse des parures de ce lieu unique à Alger. Le mausolée Sidi Abderrahmane a été édifié en 1611 avant d'être reconstruit en 1696 puis en 1729. II a bénéficier de travaux de rénovation en 2005. Le ministère de la Culture a lancé récemment un avis d'appel d'offres pour la restauration de ce complexe historique classé patrimoine national en 1987. C'est dans ce magnifique mausolée, lieu de prière et de recueillement quotidien pour des centaines d'Algéroi(ses) qu'est inhumé le saint patron d'Alger : Sidi Abderrahmane Etthaâlibi, de son vrai nom Ibn Zeïd Ibn Makhlouf Abderrahmane Etthaâlibi. Le saint homme repose aux côtés de son maître, Sidi Boudjemaâ Maknassi. Le tombeau est recouvert d'une châsse de bois sculptée et dorée au-dessus de laquelle sont suspendus des étendards en soie pure . D'autres tombes se trouvent dans cette mosquée à côté de celle du saint : celles de Ali et Mustapha Pacha. De magnifiques tapis recouvrent le sol du sanctuaire. Faïences et ex-voto recouvrent les murs. De splendides lustres éclairent les lieux, plusieurs ont été offerts par la reine Victoria d'Angleterre après avoir fait un vœu et l'avoir vu se réaliser. Au pied du cercueil du "gardien d'Alger la Blanche", se trouve une grande caisse en bois cadenassée où les visiteurs glissent leur obole après avoir adressé leurs vœux au saint. Les Algérois associent ce saint à tous les évènements heureux ou malheureux de leur vie, ils l'implorent pour la guérison d'un proche, le désir d'avoir un enfant, un prétendant pour leurs filles et l'on n'oublie jamais de venir le remercier pour le moindre petit bonheur, lors de deuils les femmes lui demandent de leur donner la force de supporter leur douleur. D'illustres personnages et saints hommes sont inhumés tout autour de cette mosquée : Ouali Dada lequel, dit-on, déchaîna la tempête au cours de laquelle la flotte de Charles Quint fut anéantie, Ahmed, dernier bey de Constantine, Sidi Abdallah, le dey Hadj Ahmed, Hassan Pacha et sa fille, la princesse Rosa, Sidi Ouada, qui a été le dernier architecte de cette splendite mosquée... Dans le sanctuaire se trouvent également des tombes d'importants personnages de l'époque ottomane, à l'instar de Khedeur Pacha, Youcef Pacha , Ali Khodja, avant-dernier dey d'Alger, Ahmed Bey de Constantine... D'autres personnalités à l'instar de Mohamed Benchenab homme de lettres et auteur de plusieurs ouvrages références ou encore Mohamed Racim célèbre miniaturiste. Le mausolée Sidi Abderrahmane a été édifié en 1611 avant d'être reconstruit en 1696 puis en 1729. II a bénéficier de travaux de rénovation en 2005. Le ministère de la Culture a lancé récemment un avis d'appel d'offres pour la restauration de ce complexe historique classé patrimoine national en 1987. C'est dans ce magnifique mausolée, lieu de prière et de recueillement quotidien pour des centaines d'Algéroi(ses) qu'est inhumé le saint patron d'Alger : Sidi Abderrahmane Etthaâlibi, de son vrai nom Ibn Zeïd Ibn Makhlouf Abderrahmane Etthaâlibi. Le saint homme repose aux côtés de son maître, Sidi Boudjemaâ Maknassi. Le tombeau est recouvert d'une châsse de bois sculptée et dorée au-dessus de laquelle sont suspendus des étendards en soie pure . D'autres tombes se trouvent dans cette mosquée à côté de celle du saint : celles de Ali et Mustapha Pacha. De magnifiques tapis recouvrent le sol du sanctuaire. Faïences et ex-voto recouvrent les murs. De splendides lustres éclairent les lieux, plusieurs ont été offerts par la reine Victoria d'Angleterre après avoir fait un vœu et l'avoir vu se réaliser. Au pied du cercueil du "gardien d'Alger la Blanche", se trouve une grande caisse en bois cadenassée où les visiteurs glissent leur obole après avoir adressé leurs vœux au saint. Les Algérois associent ce saint à tous les évènements heureux ou malheureux de leur vie, ils l'implorent pour la guérison d'un proche, le désir d'avoir un enfant, un prétendant pour leurs filles et l'on n'oublie jamais de venir le remercier pour le moindre petit bonheur, lors de deuils les femmes lui demandent de leur donner la force de supporter leur douleur. D'illustres personnages et saints hommes sont inhumés tout autour de cette mosquée : Ouali Dada lequel, dit-on, déchaîna la tempête au cours de laquelle la flotte de Charles Quint fut anéantie, Ahmed, dernier bey de Constantine, Sidi Abdallah, le dey Hadj Ahmed, Hassan Pacha et sa fille, la princesse Rosa, Sidi Ouada, qui a été le dernier architecte de cette splendite mosquée... Dans le sanctuaire se trouvent également des tombes d'importants personnages de l'époque ottomane, à l'instar de Khedeur Pacha, Youcef Pacha , Ali Khodja, avant-dernier dey d'Alger, Ahmed Bey de Constantine... D'autres personnalités à l'instar de Mohamed Benchenab homme de lettres et auteur de plusieurs ouvrages références ou encore Mohamed Racim célèbre miniaturiste.