L'Agence européenne du médicament (Emea) a annoncé jeudi dernier, qu'elle recommandait le retrait, dans toute l'Union européenne, des médicaments contenant du DXP (Dextropropoxyphène). Il est associé au paracétamol (PC) dans le Di-Antalvic et ses génériques. Le comité de l'Emea pour les médicaments à usage humain, réuni à Londres, a conclu que le risque présenté par ces produits, «particulièrement le risque de surdose mortelle», était plus élevé que leurs avantages, tandis qu'il n'y avait «pas de preuve que ces (produits) soient plus efficaces» que d'autres. L'Emea n'a pas non plus «identifié de mesures adéquates pour minimiser suffisamment les risques», comme un avertissement ou une limitation de la taille des boîtes. La commission européenne a 67 jours ouvrables pour donner son avis. Disponible en Algérie, sur prescription médicale mais aussi en automédication, ce type de médicament «est indiqué dans le traitement des douleurs modérées ou intenses, ou qui ne sont pas soulagées par l'aspirine, le paracétamol ou l'ibuprofène, utilisés seuls» aucune réaction du ministère de la Santé ou d'un tout autre organisme habilité n'est venue rassurer ou prévenir les citoyens du danger que peut constituer ce médicament. Aucune information non plus sur les intentions du département Barkat quant au retrait temporaire ou définitif du "Di Antalvic" du marché national. L'Agence européenne du médicament (Emea) a annoncé jeudi dernier, qu'elle recommandait le retrait, dans toute l'Union européenne, des médicaments contenant du DXP (Dextropropoxyphène). Il est associé au paracétamol (PC) dans le Di-Antalvic et ses génériques. Le comité de l'Emea pour les médicaments à usage humain, réuni à Londres, a conclu que le risque présenté par ces produits, «particulièrement le risque de surdose mortelle», était plus élevé que leurs avantages, tandis qu'il n'y avait «pas de preuve que ces (produits) soient plus efficaces» que d'autres. L'Emea n'a pas non plus «identifié de mesures adéquates pour minimiser suffisamment les risques», comme un avertissement ou une limitation de la taille des boîtes. La commission européenne a 67 jours ouvrables pour donner son avis. Disponible en Algérie, sur prescription médicale mais aussi en automédication, ce type de médicament «est indiqué dans le traitement des douleurs modérées ou intenses, ou qui ne sont pas soulagées par l'aspirine, le paracétamol ou l'ibuprofène, utilisés seuls» aucune réaction du ministère de la Santé ou d'un tout autre organisme habilité n'est venue rassurer ou prévenir les citoyens du danger que peut constituer ce médicament. Aucune information non plus sur les intentions du département Barkat quant au retrait temporaire ou définitif du "Di Antalvic" du marché national.