Le CHU Nedir-Mohamed dans la wilaya de Tizi-Ouzou a abrité hier une rencontre scientifique sur la transplantation rénal autour du thème «Les aspects du rein transplanté et les lésions cellulaires rénales». Le Pr Rayane de l'hopital Parnet d'Alger a expliqué que la greffe rénale est pratiquée au niveau de 12 hôpitaux du pays. Toutefois la moyenne annuelle des malades greffés reste insuffisante avec seulement 100 à 150 greffes. La liste d'attente des malades est quant à elle longue de 5.000 patients. Pour pouvoir prendre en charge cette demande, la moyenne des transplantations doit se situer entre 300 et 500 cas par an, souligne le chirurgien. Quant à la dialyse elle continue à consommer une grande partie du budget du secteur de la santé avec 100 millions de centimes par cas et par an. Le nombre des dialysés en Algérie est de 13.000. On enregistre par ailleurs, une moyenne de 4.500 cas de pathologies rénales chaque année. A cela s'ajoute un nombre important de personnes à risque de l'ordre de 6 millions de cas représentés notamment par les diabétiques et les hypertendus. Il faut noter que c'est le énième séminaire sur la grefferénale organisé par le CHU de Tizi-Ouzou qui ambitionne de réaliser la première greffe à partir d'un donneur «cadavérique». Mais beaucoup reste à faire dans ce domaine culturellement délicat dans notre société. Le CHU Nedir-Mohamed dans la wilaya de Tizi-Ouzou a abrité hier une rencontre scientifique sur la transplantation rénal autour du thème «Les aspects du rein transplanté et les lésions cellulaires rénales». Le Pr Rayane de l'hopital Parnet d'Alger a expliqué que la greffe rénale est pratiquée au niveau de 12 hôpitaux du pays. Toutefois la moyenne annuelle des malades greffés reste insuffisante avec seulement 100 à 150 greffes. La liste d'attente des malades est quant à elle longue de 5.000 patients. Pour pouvoir prendre en charge cette demande, la moyenne des transplantations doit se situer entre 300 et 500 cas par an, souligne le chirurgien. Quant à la dialyse elle continue à consommer une grande partie du budget du secteur de la santé avec 100 millions de centimes par cas et par an. Le nombre des dialysés en Algérie est de 13.000. On enregistre par ailleurs, une moyenne de 4.500 cas de pathologies rénales chaque année. A cela s'ajoute un nombre important de personnes à risque de l'ordre de 6 millions de cas représentés notamment par les diabétiques et les hypertendus. Il faut noter que c'est le énième séminaire sur la grefferénale organisé par le CHU de Tizi-Ouzou qui ambitionne de réaliser la première greffe à partir d'un donneur «cadavérique». Mais beaucoup reste à faire dans ce domaine culturellement délicat dans notre société.