Pas moins de 400 travailleurs de l'entreprise italienne Condonte qui réalise le raccordement aval de la station de dessalement de l'eau de mer de Skikda sont entrés en grève depuis mercredi dernier. Les travailleurs grévistes se disent contraints de recourir à ce débrayage afin d'obliger les responsables de l'entreprise qui les emploie à verser les salaires qu'ils n'ont pas perçu depuis le mois de mai 2009. Les travailleurs déclarent que leur employeur refuse également de les déclarer à la caisse des assurances sociales et cite le cas de leur collègue qui a perdu un bras lors d'un accident de travail et qui n'a pu faire valoir ses droits. Les grévistes revendiquent également certaines primes qu'ils disent n'avoir jamais perçues tels que celles relative à la salissure et aux heures supplémentaires. La section syndicale de l'entreprise n'a pas été épargnée par les critiques des travailleurs qu'ils veulent d'ailleurs dissoudre en raison, disent- ils de l'«immobilisme de ses membres face aux problèmes multiples auxquels sont confrontés les travailleurs qui se disent décidés à poursuivre leur mouvement jusqu'à l'obtention de tous leurs droits. En attendant, tous les chantiers de l'entreprise, à Zeramna, à Ramdane Djamel, à Salah Bouchaour et à El Harrouch, sont paralysés. Pas moins de 400 travailleurs de l'entreprise italienne Condonte qui réalise le raccordement aval de la station de dessalement de l'eau de mer de Skikda sont entrés en grève depuis mercredi dernier. Les travailleurs grévistes se disent contraints de recourir à ce débrayage afin d'obliger les responsables de l'entreprise qui les emploie à verser les salaires qu'ils n'ont pas perçu depuis le mois de mai 2009. Les travailleurs déclarent que leur employeur refuse également de les déclarer à la caisse des assurances sociales et cite le cas de leur collègue qui a perdu un bras lors d'un accident de travail et qui n'a pu faire valoir ses droits. Les grévistes revendiquent également certaines primes qu'ils disent n'avoir jamais perçues tels que celles relative à la salissure et aux heures supplémentaires. La section syndicale de l'entreprise n'a pas été épargnée par les critiques des travailleurs qu'ils veulent d'ailleurs dissoudre en raison, disent- ils de l'«immobilisme de ses membres face aux problèmes multiples auxquels sont confrontés les travailleurs qui se disent décidés à poursuivre leur mouvement jusqu'à l'obtention de tous leurs droits. En attendant, tous les chantiers de l'entreprise, à Zeramna, à Ramdane Djamel, à Salah Bouchaour et à El Harrouch, sont paralysés.