Trois salles de cinéma à Alger-Centre, sur un nombre de quatorze, sont encore ouvertes aux amateurs du grand écran. Ces salles opérationnelles sont d'ailleurs loin d'être aux normes internationales régissant ces lieux de spectacle. L'APC d'Alger-Centre a décidé d'entreprendre, dans un premier temps, l'action de récupérer sept salles de cinéma. Cette opération entre, selon le maire, dans "le programme de réhabilitation des biens culturels de la commune" et qui sera financée sur les fonds propres de la commune. Les salles concernées sont "Djurdjura", située à la rue Amirouche, qui se trouve dans un état de dégradation avancé et ne répond plus aux normes d'hygiène et de sécurité, l'estimation administrative pour sa réhabilitation et sa mise aux normes est de 70.000.000 de centimes. "El Hilal", située à la rue des Frères-Amrouche, d'une capacité de 270 places, la salle est toujours ouverte (état moyen) mais nécessite une réhabilitation pour un budget de 1.000.000 de centimes. "L'Olympia" à la rue Hmitouch-Mohamed, également fonctionnelle mais dans un état délabré, elle accueille 350 personnes, sa réhabilitation demandera la somme de 1.000.000 de centimes. "Le Baghdad", à la rue Med-Bouhamidi : 150 places, état très dégradé, "Le Mitidja", situé à la rue Tancrède d'une capacité de 500 places, état moyen recevra 50.000.000 de centimes pour sa réhabilitation et enfin la salle de cinéma "El Hayat" qui reçoit 60 personnes, état très dégradé, elle recevra une enveloppe de 40.000.000 de centimes pour sa remise aux normes. Deux de ces cinémas sont déjà en achèvement de leurs travaux : "El Kheyem" à la rue Debussy pour un budget de 105.000.000 de centimes, avec une capacité de 345 place et 12 emplois, la salle sera prête ce mois de juillet. La deuxième salle : "El Chabab" ex-Casino est déjà prête depuis le mois de mai dernier, d'une capacité de 480 place et 16 postes d'emploi, la réhabilitation de cette salle et sa mise aux normes a coûté à la commune la somme de 120.000.000 centimes. Ces actions et bien d'autres encore sont initiés pour la réanimation de la culture dans la capitale et afin de rendre au septième art ses lettres de noblesse et réhabiliter ainsi le grand écran. Trois salles de cinéma à Alger-Centre, sur un nombre de quatorze, sont encore ouvertes aux amateurs du grand écran. Ces salles opérationnelles sont d'ailleurs loin d'être aux normes internationales régissant ces lieux de spectacle. L'APC d'Alger-Centre a décidé d'entreprendre, dans un premier temps, l'action de récupérer sept salles de cinéma. Cette opération entre, selon le maire, dans "le programme de réhabilitation des biens culturels de la commune" et qui sera financée sur les fonds propres de la commune. Les salles concernées sont "Djurdjura", située à la rue Amirouche, qui se trouve dans un état de dégradation avancé et ne répond plus aux normes d'hygiène et de sécurité, l'estimation administrative pour sa réhabilitation et sa mise aux normes est de 70.000.000 de centimes. "El Hilal", située à la rue des Frères-Amrouche, d'une capacité de 270 places, la salle est toujours ouverte (état moyen) mais nécessite une réhabilitation pour un budget de 1.000.000 de centimes. "L'Olympia" à la rue Hmitouch-Mohamed, également fonctionnelle mais dans un état délabré, elle accueille 350 personnes, sa réhabilitation demandera la somme de 1.000.000 de centimes. "Le Baghdad", à la rue Med-Bouhamidi : 150 places, état très dégradé, "Le Mitidja", situé à la rue Tancrède d'une capacité de 500 places, état moyen recevra 50.000.000 de centimes pour sa réhabilitation et enfin la salle de cinéma "El Hayat" qui reçoit 60 personnes, état très dégradé, elle recevra une enveloppe de 40.000.000 de centimes pour sa remise aux normes. Deux de ces cinémas sont déjà en achèvement de leurs travaux : "El Kheyem" à la rue Debussy pour un budget de 105.000.000 de centimes, avec une capacité de 345 place et 12 emplois, la salle sera prête ce mois de juillet. La deuxième salle : "El Chabab" ex-Casino est déjà prête depuis le mois de mai dernier, d'une capacité de 480 place et 16 postes d'emploi, la réhabilitation de cette salle et sa mise aux normes a coûté à la commune la somme de 120.000.000 centimes. Ces actions et bien d'autres encore sont initiés pour la réanimation de la culture dans la capitale et afin de rendre au septième art ses lettres de noblesse et réhabiliter ainsi le grand écran.