Timezrit, perchée sur les hauteurs de Sidi Ali Bounab, avec une population qui avoisine les 11.000 âmes, est plongée dans une profonde léthargie. Cette situation a créé une monotonie qui ne dit pas son nom et la frange juvénile est fragilisée par un dur quotidien. Timezrit, perchée sur les hauteurs de Sidi Ali Bounab, avec une population qui avoisine les 11.000 âmes, est plongée dans une profonde léthargie. Cette situation a créé une monotonie qui ne dit pas son nom et la frange juvénile est fragilisée par un dur quotidien. La commune de Timezrit, à l'extrême sud-est de Boumerdès, est dépourvue d'infrastructures de jeunes et de culture. Cette localité ne dispose ni de maison de jeunes, ni d'une salle de sport, ni même d'un stade digne de ce nom et demeure sans bibliothèque communale. Timezrit, perchée sur les hauteurs de Sidi Ali Bounab, avec une population qui avoisine les 11.000 âmes, est plongée dans une profonde léthargie. Cette situation a créé une monotonie qui ne dit pas son nom et la frange juvénile est fragilisée par un dur quotidien. Le mouvement associatif est laminé dans cette localité, les associations des villages ayant disparu en raison des difficultés qu'elles rencontrent quotidiennement. « Nous sommes pris en otages par ce vide qui mine notre quotidien », déplorera un diplômé de la région. A titre d'exemple, au village Ait Sidi Amara, l'unique association rencontre des difficultés énormes, notamment financières. «Au lieu d'organiser des activités culturelles ou des programme d'évasion pour la population locale, les associations sont confrontées à d'énormes problèmes», nous explique un fonctionnaire de la localité. Par ailleurs, faute d'assiette, le programme des100 locaux par commune semble loin de voir le jour, et cela malgré l'accomplissement des procédures de choix de terrain qui ont été annulées après l'opposition des propriétaires des terrains en question. Cela accentue le calvaire des jeunes qui attendent avec impatience ce programme pour réduire un tant soit peu le chômage qui mine encore leur quotidien. La commune de Timezrit, à l'extrême sud-est de Boumerdès, est dépourvue d'infrastructures de jeunes et de culture. Cette localité ne dispose ni de maison de jeunes, ni d'une salle de sport, ni même d'un stade digne de ce nom et demeure sans bibliothèque communale. Timezrit, perchée sur les hauteurs de Sidi Ali Bounab, avec une population qui avoisine les 11.000 âmes, est plongée dans une profonde léthargie. Cette situation a créé une monotonie qui ne dit pas son nom et la frange juvénile est fragilisée par un dur quotidien. Le mouvement associatif est laminé dans cette localité, les associations des villages ayant disparu en raison des difficultés qu'elles rencontrent quotidiennement. « Nous sommes pris en otages par ce vide qui mine notre quotidien », déplorera un diplômé de la région. A titre d'exemple, au village Ait Sidi Amara, l'unique association rencontre des difficultés énormes, notamment financières. «Au lieu d'organiser des activités culturelles ou des programme d'évasion pour la population locale, les associations sont confrontées à d'énormes problèmes», nous explique un fonctionnaire de la localité. Par ailleurs, faute d'assiette, le programme des100 locaux par commune semble loin de voir le jour, et cela malgré l'accomplissement des procédures de choix de terrain qui ont été annulées après l'opposition des propriétaires des terrains en question. Cela accentue le calvaire des jeunes qui attendent avec impatience ce programme pour réduire un tant soit peu le chômage qui mine encore leur quotidien.