Le baccalauréat session 2008/2009 est loin d'être à la hauteur des espérances du département de Benbouzid et des candidats. Loin d'avoir atteint ses objectifs, ce baccalauréat se distingue par deux points. Le taux de réussite est inférieur au 55% annoncé et les résultats ont été proclamés avant la date annoncée. Dès le début du mois de juin, le ministre de l'Education nationale avait affiché un optimisme sans bornes pour un bon résultat. Il avait affirmé que les résultats du baccalauréat de cette session seront meilleurs que ceux de l'année précédente. Et pourtant, le taux de réussite est en baisse de 9 points en comparaison à celui de l'année dernière. Les représentants du ministère de l'Education n'en démordent pas et avancent un semblant d'explication. Tout en estimant qu'il s'agit de résultats "satisfaisants", ils notent qu'il est en adéquation avec " les caractéristiques du parcours scolaire de cette promotion ". Une promotion, souligne-t-on, composée d'élèves de la dernière promotion de l'enseignement fondamental ayant échoué au BEM de la session 2005 et non admis en première année secondaire. Des particularités qui semblent avoir échappé à Boubekeur Benbouzid, ministre de l'Education nationale, lorsqu'il avait avancé son pronostic. Ainsi, loin des 55% attendu, le taux de réussite est de 45%. La wilaya de Tizi Ouzou est, pour la deuxième année consécutive, en tête du classement avec près de 59% des élèves reçus, talonnée par Tipasa (54%) et Mascara (51%). Les wilayas de Laghouat et de Djelfa ferment encore le peloton. S'agissant des taux de réussite par filière, celui des langues étrangères vient en tête avec plus de 77% de taux de réussite. Pour la filière lettres et philosophie, son taux est de 33,7% alors que pour les sciences expérimentales il est de 43,32%. Seuls 26,6% des candidats des écoles privées ont obtenu le sésame pour l'université. Et cette année encore, les filles sont plus nombreuses à poursuivre les études supérieures avec un taux de 57,8% contre 42% de garçons. A la surprise générale, les candidats ont pu connaître les résultats dès la journée du 8 juillet soit plus de 24 heures avant la date officielle fixée. Les résultats devaient être, en effet, rendus publics à partir de 22 h, durant la nuit du 9 au 10 juillet par le service de Mobilis. Le lendemain, soit le vendredi 10 juillet, les lycées devaient effectuer l'affichage. Un timing loin d'être respecté. Tous ceux qui ont tentés leur "chance" durant l'après-midi du 8 juillet ont pu connaître leur résultat à travers le service de Mobilis en envoyant un SMS avec le numéro d'inscription au 6262. L'information a vite fait le tour des candidats qui ont eu recours à ce service. Le lendemain, soit le 9 juillet, les établissements scolaires ont procédé à l'affichage des résultats. Pour l'heure, aucune explication n'est avancée quant à ce changement "surprise" dans le planning. Certains avancent déjà l'hypothèse que les responsables du ministère de l'Education nationale se sont trompés de date, en oubliant que le 10 juillet tombait un vendredi ! Le baccalauréat session 2008/2009 est loin d'être à la hauteur des espérances du département de Benbouzid et des candidats. Loin d'avoir atteint ses objectifs, ce baccalauréat se distingue par deux points. Le taux de réussite est inférieur au 55% annoncé et les résultats ont été proclamés avant la date annoncée. Dès le début du mois de juin, le ministre de l'Education nationale avait affiché un optimisme sans bornes pour un bon résultat. Il avait affirmé que les résultats du baccalauréat de cette session seront meilleurs que ceux de l'année précédente. Et pourtant, le taux de réussite est en baisse de 9 points en comparaison à celui de l'année dernière. Les représentants du ministère de l'Education n'en démordent pas et avancent un semblant d'explication. Tout en estimant qu'il s'agit de résultats "satisfaisants", ils notent qu'il est en adéquation avec " les caractéristiques du parcours scolaire de cette promotion ". Une promotion, souligne-t-on, composée d'élèves de la dernière promotion de l'enseignement fondamental ayant échoué au BEM de la session 2005 et non admis en première année secondaire. Des particularités qui semblent avoir échappé à Boubekeur Benbouzid, ministre de l'Education nationale, lorsqu'il avait avancé son pronostic. Ainsi, loin des 55% attendu, le taux de réussite est de 45%. La wilaya de Tizi Ouzou est, pour la deuxième année consécutive, en tête du classement avec près de 59% des élèves reçus, talonnée par Tipasa (54%) et Mascara (51%). Les wilayas de Laghouat et de Djelfa ferment encore le peloton. S'agissant des taux de réussite par filière, celui des langues étrangères vient en tête avec plus de 77% de taux de réussite. Pour la filière lettres et philosophie, son taux est de 33,7% alors que pour les sciences expérimentales il est de 43,32%. Seuls 26,6% des candidats des écoles privées ont obtenu le sésame pour l'université. Et cette année encore, les filles sont plus nombreuses à poursuivre les études supérieures avec un taux de 57,8% contre 42% de garçons. A la surprise générale, les candidats ont pu connaître les résultats dès la journée du 8 juillet soit plus de 24 heures avant la date officielle fixée. Les résultats devaient être, en effet, rendus publics à partir de 22 h, durant la nuit du 9 au 10 juillet par le service de Mobilis. Le lendemain, soit le vendredi 10 juillet, les lycées devaient effectuer l'affichage. Un timing loin d'être respecté. Tous ceux qui ont tentés leur "chance" durant l'après-midi du 8 juillet ont pu connaître leur résultat à travers le service de Mobilis en envoyant un SMS avec le numéro d'inscription au 6262. L'information a vite fait le tour des candidats qui ont eu recours à ce service. Le lendemain, soit le 9 juillet, les établissements scolaires ont procédé à l'affichage des résultats. Pour l'heure, aucune explication n'est avancée quant à ce changement "surprise" dans le planning. Certains avancent déjà l'hypothèse que les responsables du ministère de l'Education nationale se sont trompés de date, en oubliant que le 10 juillet tombait un vendredi !