Plusieurs raisons sont évoquées par la tutelle pour expliquer ce net recul dans le taux de réussite aux résultats du baccalauréat alors que le ministre de l'Education, M. Boubekeur Benbouzid, avait lui-même promis de créer une «agréable» surprise en tablant sur un taux de réussite de 55%. Plusieurs raisons sont évoquées par la tutelle pour expliquer ce net recul dans le taux de réussite aux résultats du baccalauréat alors que le ministre de l'Education, M. Boubekeur Benbouzid, avait lui-même promis de créer une «agréable» surprise en tablant sur un taux de réussite de 55%. D'après les chiffres communiqués hier par le département de Boubekeur Benbouzid, le taux de réussite au baccalauréat de cette année a été de 45,04% soit en baisse de 8,16% par rapport à l'exercice précédent (53,19%). Selon Boubekeur Khaldi, secrétaire général du ministère de l'Education invoquant « une comparaison inéquitable » d'avec le précédent exercice, ce taux bien que en net recul est jugé « très satisfaisant » au vu de la « particularité » du parcours scolaire de cette cohorte composée d'élèves de la dernière promotion de l'enseignement fondamental qui ont échoué au BEM de la session 2005 et non admis en 1ère année secondaire. S'exprimant hier lors d'un point de presse au siège du ministère de l'Education et consacré à l'énoncé des résultats du Baccalauréat session 2009, Khaldi a expliqué que les 135 000 élèves (110 759 scolarisés, 262 issus des écoles privées et 23 960 candidats libres), qui constituent la dernière promotion de l'enseignement fondamental, ont tous été autorisés à redoubler la 9ème année fondamentale « alors que la quasi-totalité d'entre eux avait largement dépassé l'âge de scolarité obligatoire». De plus, poursuit-il, cette cohorte « a dû drainer durant les 3 années du cycle secondaire, les redoublants de la 1ère AS en 2006/2007, les redoublants de la 2ème AS (2007/2008) et enfin les redoublants de la 3ème AS de l'exercice 2008/2009 ». Grâce à l'accompagnement par le ministère de l'Education, depuis la rentrée 2005/2006, tant en matière de remédiation pédagogique que de soutien scolaire, ces élèves ont pu, à en croire l'orateur, combler leurs lacunes et rattraper le retard. Quant aux recalés de cette session, l'orateur précise que ces derniers « seront repris pour se repréparer en vue du Bac de l'année prochaine ». Par les chiffres, les résultats de baccalauréat se présentent comme suit : sur 245.929 candidats présents, 110.759 scolarisés ont obtenu le fameux sésame représentant un taux de 45,04%. Ces résultats dénotent une nette prédominance du sexe féminin sur le sexe opposé, puisque 64.042 filles représentant un taux de 57,82% ont obtenu le Bac contre 46. 717 garçons représentant 42,18%. Quant aux élèves issus des écoles privées, ils sont 262 sur un total d'inscrits de 1.004 candidats à avoir dépassé cet écueil avec un taux de 26,60%. S'agissant des candidats libres, sur un total de 121 253 examinés, 23 960 représentant 19,76% ont obtenu leur billet pour l'université. En ce qui concerne les candidats aux besoins spécifiques (handicapés), il est fait état d'un taux de réussite de 36,73% répartis entre non-voyants (39%) et handicapés moteur (31,91%). Quant à la répartition des résultats par filières, la palme revient aux langues étrangères avec un taux de 77,12%, suivies des filières gestion et économie (56,51%) et les sciences expérimentales avec 43,32%. Par wilayas, Tizi Ouzou avec un taux de réussite de 58,99% vient en tête du peloton suivie par Tipasa (2e, 54,55%) et Mascara (3e, 51,30%), tandis que les wilayas de M'sila (48e, 23,78%), Djelfa (49e, 20,31%) et Laghouat (50e, 18,94%), lanternes rouges, ferment la liste qui comprend, rappelons-le, en sus des 48 directions de l'éducation sur tout le territoire national, les trois académies d'Alger (centre, est et ouest). En outre, 7 établissements scolaires à travers le pays ont enregistré entre 90 et 100% de taux de réussite, 10 entre 80-89% tandis qu'un seul établissement sis dans la wilaya de Djelfa a enregistré zéro (0%) de taux de réussite. D'après les chiffres communiqués hier par le département de Boubekeur Benbouzid, le taux de réussite au baccalauréat de cette année a été de 45,04% soit en baisse de 8,16% par rapport à l'exercice précédent (53,19%). Selon Boubekeur Khaldi, secrétaire général du ministère de l'Education invoquant « une comparaison inéquitable » d'avec le précédent exercice, ce taux bien que en net recul est jugé « très satisfaisant » au vu de la « particularité » du parcours scolaire de cette cohorte composée d'élèves de la dernière promotion de l'enseignement fondamental qui ont échoué au BEM de la session 2005 et non admis en 1ère année secondaire. S'exprimant hier lors d'un point de presse au siège du ministère de l'Education et consacré à l'énoncé des résultats du Baccalauréat session 2009, Khaldi a expliqué que les 135 000 élèves (110 759 scolarisés, 262 issus des écoles privées et 23 960 candidats libres), qui constituent la dernière promotion de l'enseignement fondamental, ont tous été autorisés à redoubler la 9ème année fondamentale « alors que la quasi-totalité d'entre eux avait largement dépassé l'âge de scolarité obligatoire». De plus, poursuit-il, cette cohorte « a dû drainer durant les 3 années du cycle secondaire, les redoublants de la 1ère AS en 2006/2007, les redoublants de la 2ème AS (2007/2008) et enfin les redoublants de la 3ème AS de l'exercice 2008/2009 ». Grâce à l'accompagnement par le ministère de l'Education, depuis la rentrée 2005/2006, tant en matière de remédiation pédagogique que de soutien scolaire, ces élèves ont pu, à en croire l'orateur, combler leurs lacunes et rattraper le retard. Quant aux recalés de cette session, l'orateur précise que ces derniers « seront repris pour se repréparer en vue du Bac de l'année prochaine ». Par les chiffres, les résultats de baccalauréat se présentent comme suit : sur 245.929 candidats présents, 110.759 scolarisés ont obtenu le fameux sésame représentant un taux de 45,04%. Ces résultats dénotent une nette prédominance du sexe féminin sur le sexe opposé, puisque 64.042 filles représentant un taux de 57,82% ont obtenu le Bac contre 46. 717 garçons représentant 42,18%. Quant aux élèves issus des écoles privées, ils sont 262 sur un total d'inscrits de 1.004 candidats à avoir dépassé cet écueil avec un taux de 26,60%. S'agissant des candidats libres, sur un total de 121 253 examinés, 23 960 représentant 19,76% ont obtenu leur billet pour l'université. En ce qui concerne les candidats aux besoins spécifiques (handicapés), il est fait état d'un taux de réussite de 36,73% répartis entre non-voyants (39%) et handicapés moteur (31,91%). Quant à la répartition des résultats par filières, la palme revient aux langues étrangères avec un taux de 77,12%, suivies des filières gestion et économie (56,51%) et les sciences expérimentales avec 43,32%. Par wilayas, Tizi Ouzou avec un taux de réussite de 58,99% vient en tête du peloton suivie par Tipasa (2e, 54,55%) et Mascara (3e, 51,30%), tandis que les wilayas de M'sila (48e, 23,78%), Djelfa (49e, 20,31%) et Laghouat (50e, 18,94%), lanternes rouges, ferment la liste qui comprend, rappelons-le, en sus des 48 directions de l'éducation sur tout le territoire national, les trois académies d'Alger (centre, est et ouest). En outre, 7 établissements scolaires à travers le pays ont enregistré entre 90 et 100% de taux de réussite, 10 entre 80-89% tandis qu'un seul établissement sis dans la wilaya de Djelfa a enregistré zéro (0%) de taux de réussite.