La canicule qui sévit en ce mois de juillet, et le Ramadan, qui se rapproche à grands pas, pour venir mettre fin aux sorties plages, sont entre autres, les raisons du rush remarqué sur l'ensemble des plages algéroises. Toutes les plages de la côte algéroise sont en effet quotiennement prises d'assaut par les familles à la recherche de fraîcheur et de détente La canicule qui sévit en ce mois de juillet, et le Ramadan, qui se rapproche à grands pas, pour venir mettre fin aux sorties plages, sont entre autres, les raisons du rush remarqué sur l'ensemble des plages algéroises. Toutes les plages de la côte algéroise sont en effet quotiennement prises d'assaut par les familles à la recherche de fraîcheur et de détente Si durant le mois de juin, on avait constaté une présence plutôt timide des estivants sur les plages algéroises, c'est tout le contraire pour ce mois de juillet où ces mêmes plages connaissent une affluence record. Etudiants, lycéens, familles se ruent quotidiennement vers les différentes plages algéroises, qui connaissent toutefois un pic particulier durant les week-ends. Après une année de dur labeur, lycéens, étudiants et familles se délassent sur la plage… Le mois de ramadan qui coincidera avec le mois d'aout est aussi pour quelque chose dans cette ruée, les Algérois voulant profiter pleinement des bienfaits de la mer avant d'observer le jeune qui viendra mettre fin à leurs sorties plages. Certaines personnes, fréquentant ces plages, ne se montrent pas trop regardantes quant à la propreté et la sécurité de l'endroit où elles étalent leurs serviettes. "Nos plages ne sont pas polluées…", c'est la déclaration du directeur du Commissariat national de la protection de littoral, Abdelali Bagoura, invité sur les ondes de Chaîne III. M. Bagoura a précisé que l'ensemble des plages, autorisées à la baignade, répondent pleinement aux normes requises. La wilaya d'Alger a même procédé à l'ouverture, cette saison, de nouvelles plages, qui étaient restées pendant longtemps à l'abandon. "Dès le mois de mai nous avons procédé à l'analyse des eaux de mer, avec la participation de la Direction de la santé et des services d'hygiène communaux…", a indiqué M. Bagoura. Des déclarations rassurantes... néanmoins on compte plus de 80 plages sur le littoral algérois et plusieurs de ces plages sont interdites à la baignade mais elles continuent à accueillir des baigneurs qui exposent ainsi leur santé et mettent même leur vie en danger. M. Bagoura expliquera que cette situation relève des prérogatives des lautorités locales qui doivent interdire aux baigneurs de s'installer sur ces plages polluées. Concernant l'engouement particulier que connaît une certaine plage située à l'ouest d'Alger, en l'occurrence Palm Beach à Staoueli, M. Bagoura répondra : " C'est la rançon du bon travail…", ceci pour dire que le travail sérieux mené par son département a porté ses fruits et est à l'origine de l'affluence massive des citoyens vers cette plage. Il est vrai que l'hygiène y est particulièrement respecté, ce qu'apprécient les estivants. Le problème des accès payants aux plages a été également soumis à M. Bagoura qui se contentera de répondre que c'est aux citoyens de réagir et de défendre leurs droits, "il ne faut pas qu'ils se laissent faire", a-t-il conseillé, ce qui est plus facile à dire qu'à faire surtout quand on connait la réalité des lieux et que l'on a envie de passer une journée de détente et non d'engager un combat perdu d'avance. S. B. Si durant le mois de juin, on avait constaté une présence plutôt timide des estivants sur les plages algéroises, c'est tout le contraire pour ce mois de juillet où ces mêmes plages connaissent une affluence record. Etudiants, lycéens, familles se ruent quotidiennement vers les différentes plages algéroises, qui connaissent toutefois un pic particulier durant les week-ends. Après une année de dur labeur, lycéens, étudiants et familles se délassent sur la plage… Le mois de ramadan qui coincidera avec le mois d'aout est aussi pour quelque chose dans cette ruée, les Algérois voulant profiter pleinement des bienfaits de la mer avant d'observer le jeune qui viendra mettre fin à leurs sorties plages. Certaines personnes, fréquentant ces plages, ne se montrent pas trop regardantes quant à la propreté et la sécurité de l'endroit où elles étalent leurs serviettes. "Nos plages ne sont pas polluées…", c'est la déclaration du directeur du Commissariat national de la protection de littoral, Abdelali Bagoura, invité sur les ondes de Chaîne III. M. Bagoura a précisé que l'ensemble des plages, autorisées à la baignade, répondent pleinement aux normes requises. La wilaya d'Alger a même procédé à l'ouverture, cette saison, de nouvelles plages, qui étaient restées pendant longtemps à l'abandon. "Dès le mois de mai nous avons procédé à l'analyse des eaux de mer, avec la participation de la Direction de la santé et des services d'hygiène communaux…", a indiqué M. Bagoura. Des déclarations rassurantes... néanmoins on compte plus de 80 plages sur le littoral algérois et plusieurs de ces plages sont interdites à la baignade mais elles continuent à accueillir des baigneurs qui exposent ainsi leur santé et mettent même leur vie en danger. M. Bagoura expliquera que cette situation relève des prérogatives des lautorités locales qui doivent interdire aux baigneurs de s'installer sur ces plages polluées. Concernant l'engouement particulier que connaît une certaine plage située à l'ouest d'Alger, en l'occurrence Palm Beach à Staoueli, M. Bagoura répondra : " C'est la rançon du bon travail…", ceci pour dire que le travail sérieux mené par son département a porté ses fruits et est à l'origine de l'affluence massive des citoyens vers cette plage. Il est vrai que l'hygiène y est particulièrement respecté, ce qu'apprécient les estivants. Le problème des accès payants aux plages a été également soumis à M. Bagoura qui se contentera de répondre que c'est aux citoyens de réagir et de défendre leurs droits, "il ne faut pas qu'ils se laissent faire", a-t-il conseillé, ce qui est plus facile à dire qu'à faire surtout quand on connait la réalité des lieux et que l'on a envie de passer une journée de détente et non d'engager un combat perdu d'avance. S. B.