Dans le cadre du Festival panafricain, la wilaya de Tizi Ouzou abritera, à partir de demain et jusqu'à dimanche, le Panorama du film amazigh, une activité du festival du même nom. Hier Assad Hachimi, commissaire du festival, a animé une conférence de presse à la maison de la culture pour revenir sur la 10e édition du Festival du film amazigh. Le conférencier dira que désormais, et suite à une décision du ministère de la Culture, cet événement qui s'est produit dans plusieurs wilayas du pays et dont la dernière édition a eu lieu à Tlemcen, sera fixé à Tizi Ouzou. Il est prévu pour le mois de mars prochain et coïncidera avec la réouverture du cinéma Le Mondial qui deviendra la cinémathèque de Tizi Ouzou. Si le festival sera fixé, les films primés ne le seront pas pour autant puisque le Panorama du festival sera itinérant ce qui permettra au public de découvrir ce qui se fait en matière de films d'expression amazighe. Pour le Panorama qui débutera jeudi et qui sera une occasion pour rendre hommage à trois grands réalisateurs qui sont Abderrahmane Bouguermouh, Belkacem Hadjadj et Ali Mouzaoui, il est prévu une grande exposition sous le thème : «Visages et images du cinéma» qui fera découvrir aux amoureux du 7e art, les portraits de cinéastes africains. Le même jour, il y aura la projection en avant-première d'un film documentaire sur le cinéma africain réalisé par Mohamed Haddadi et qui sera suivi d'un débat. Vendredi, trois films sont à l'affiche à savoir Eclipse totale de Mohamed Belhadj, Hnifa de Samir Alloua et Ramdane Iftini et Squelette de Yassine Fennane. Samedi, le public pourra découvrir Trésor d'une autre planète de Ifaz Matoub, Tamurt Idurar de Rabah Bouderas et Khoya Tarik de Abdellah Labdaoui et enfin pour la dernière journée du panorama, il yaura Izourane de Abdellah Labdaoui et «Le tour d'argent» de Hafidh Aït Braham. A propos du festival et en réponse aux questions des journalistes, M. Assad dira «qu'il y a un intérêt particulier de la part des réalisateur, au film animé où un grand vide est enregistré». Toutefois, il soulignera que le festival se fixe, entre autres objectifs, la promotion de la production de films, il ne peut sélectionner des doublages aussi bons soient-ils. Il espèrent que l'ENTV achète et diffuse les films primés notamment pour fournir la chaîne d'expression amazighe qui fonctionne actuellement avec des films doublés. Z. H. Dans le cadre du Festival panafricain, la wilaya de Tizi Ouzou abritera, à partir de demain et jusqu'à dimanche, le Panorama du film amazigh, une activité du festival du même nom. Hier Assad Hachimi, commissaire du festival, a animé une conférence de presse à la maison de la culture pour revenir sur la 10e édition du Festival du film amazigh. Le conférencier dira que désormais, et suite à une décision du ministère de la Culture, cet événement qui s'est produit dans plusieurs wilayas du pays et dont la dernière édition a eu lieu à Tlemcen, sera fixé à Tizi Ouzou. Il est prévu pour le mois de mars prochain et coïncidera avec la réouverture du cinéma Le Mondial qui deviendra la cinémathèque de Tizi Ouzou. Si le festival sera fixé, les films primés ne le seront pas pour autant puisque le Panorama du festival sera itinérant ce qui permettra au public de découvrir ce qui se fait en matière de films d'expression amazighe. Pour le Panorama qui débutera jeudi et qui sera une occasion pour rendre hommage à trois grands réalisateurs qui sont Abderrahmane Bouguermouh, Belkacem Hadjadj et Ali Mouzaoui, il est prévu une grande exposition sous le thème : «Visages et images du cinéma» qui fera découvrir aux amoureux du 7e art, les portraits de cinéastes africains. Le même jour, il y aura la projection en avant-première d'un film documentaire sur le cinéma africain réalisé par Mohamed Haddadi et qui sera suivi d'un débat. Vendredi, trois films sont à l'affiche à savoir Eclipse totale de Mohamed Belhadj, Hnifa de Samir Alloua et Ramdane Iftini et Squelette de Yassine Fennane. Samedi, le public pourra découvrir Trésor d'une autre planète de Ifaz Matoub, Tamurt Idurar de Rabah Bouderas et Khoya Tarik de Abdellah Labdaoui et enfin pour la dernière journée du panorama, il yaura Izourane de Abdellah Labdaoui et «Le tour d'argent» de Hafidh Aït Braham. A propos du festival et en réponse aux questions des journalistes, M. Assad dira «qu'il y a un intérêt particulier de la part des réalisateur, au film animé où un grand vide est enregistré». Toutefois, il soulignera que le festival se fixe, entre autres objectifs, la promotion de la production de films, il ne peut sélectionner des doublages aussi bons soient-ils. Il espèrent que l'ENTV achète et diffuse les films primés notamment pour fournir la chaîne d'expression amazighe qui fonctionne actuellement avec des films doublés. Z. H.