La rumeur qui court, ces jours-ci, concernant une prétendue pollution de certaines plages de la commune de Aïn Benian, a été catégoriquement démentie par l'Agence pour la promotion et la protection du littoral algérois (APPL). «Nos plages ne sont pas polluées…», nous affirmera fermement M. Bahiti chargé de mission à l'APPL. Il existe sept plages dans la commune de Aïn Benian, quatre sont autorisées à la baignade : Grand Rocher, Casino, Méditerranée et enfin la plage Jeunesse. Les trois plages, interdites à la baignade sur le même tronçon, sont la plage des Ilots, la plage El Bahdja, toutes deux polluées, alors que la plage la Fontaine est interdite à la baignade en raison des rochers dangereux qu'elle renferme. Signalons qu'une nouvelle plage a été autorisée, cette année, à la baignade dans cette commune. Une plage artificielle de 150 m2 et qui n'était pas sur la liste des plages autorisées à la baignade. Cette année et après des travaux d'aménagement, il est possible de jouir de cette plage et d'y passer ses vacances. «Nous avons réussi à créer une plage là où il n'y avait que des rochers. Cette plage artificielle a été réalisée grâce aux travaux effectués par la Direction des travaux publics d'Alger» , nous expliquera notre interlocuteur. 54 plages sont ainsi ouvertes aux estivants cette année sur 83, au lieu des 48 de la saison dernière, soit 6 nouvelles plages ouvertes. Depuis 1999, l'APPL a procédé, régulièrement, à des analyses (microbiologiques et physico-chimiques) pour s'assurer de la qualité de l'eau de baignade sur l'ensemble des plages de la wilaya d'Alger. «551 échantillons, répartis en quatre campagnes, ont été analysés cette année par l'Institut Pasteur pour le compte de l'APPL», nous affirme-t-on. D'ailleurs si on devait prendre en compte l'évolution du nombre de plages autorisées à la baignade, depuis 1999 à ce jour, on ne peut qu'être optimiste. 30 plages seulement étaient autorisées en 1999 alors qu'aujourd'hui nous en sommes à 54. Souhaitons que ces précisions suffiront à rassurer les estivants et qu'ils continueront à profiter, l'esprit libéré de leurs plages. S. B. La rumeur qui court, ces jours-ci, concernant une prétendue pollution de certaines plages de la commune de Aïn Benian, a été catégoriquement démentie par l'Agence pour la promotion et la protection du littoral algérois (APPL). «Nos plages ne sont pas polluées…», nous affirmera fermement M. Bahiti chargé de mission à l'APPL. Il existe sept plages dans la commune de Aïn Benian, quatre sont autorisées à la baignade : Grand Rocher, Casino, Méditerranée et enfin la plage Jeunesse. Les trois plages, interdites à la baignade sur le même tronçon, sont la plage des Ilots, la plage El Bahdja, toutes deux polluées, alors que la plage la Fontaine est interdite à la baignade en raison des rochers dangereux qu'elle renferme. Signalons qu'une nouvelle plage a été autorisée, cette année, à la baignade dans cette commune. Une plage artificielle de 150 m2 et qui n'était pas sur la liste des plages autorisées à la baignade. Cette année et après des travaux d'aménagement, il est possible de jouir de cette plage et d'y passer ses vacances. «Nous avons réussi à créer une plage là où il n'y avait que des rochers. Cette plage artificielle a été réalisée grâce aux travaux effectués par la Direction des travaux publics d'Alger» , nous expliquera notre interlocuteur. 54 plages sont ainsi ouvertes aux estivants cette année sur 83, au lieu des 48 de la saison dernière, soit 6 nouvelles plages ouvertes. Depuis 1999, l'APPL a procédé, régulièrement, à des analyses (microbiologiques et physico-chimiques) pour s'assurer de la qualité de l'eau de baignade sur l'ensemble des plages de la wilaya d'Alger. «551 échantillons, répartis en quatre campagnes, ont été analysés cette année par l'Institut Pasteur pour le compte de l'APPL», nous affirme-t-on. D'ailleurs si on devait prendre en compte l'évolution du nombre de plages autorisées à la baignade, depuis 1999 à ce jour, on ne peut qu'être optimiste. 30 plages seulement étaient autorisées en 1999 alors qu'aujourd'hui nous en sommes à 54. Souhaitons que ces précisions suffiront à rassurer les estivants et qu'ils continueront à profiter, l'esprit libéré de leurs plages. S. B.