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L'île Maurice ou l'univers
Publié dans Le Midi Libre le 22 - 07 - 2009

L'Ile Maurice inspire un nombre important de plasticiens nationaux et étrangers. La nature de ce lieu, fusionnée aux couleurs africaines et indiennes se veut majestueuse. Les artistes mauriciens sont connus par un style créatif d'interprétation occidentale, particulièrement britannique et français. Les arts plastiques mauriciens se font connaître beaucoup plus à l'extérieur des Iles où leurs auteurs exposent leurs œuvres dans les différents rendez-vous culturels, organisés dans le monde mais surtout en Afrique.
L'Ile Maurice inspire un nombre important de plasticiens nationaux et étrangers. La nature de ce lieu, fusionnée aux couleurs africaines et indiennes se veut majestueuse. Les artistes mauriciens sont connus par un style créatif d'interprétation occidentale, particulièrement britannique et français. Les arts plastiques mauriciens se font connaître beaucoup plus à l'extérieur des Iles où leurs auteurs exposent leurs œuvres dans les différents rendez-vous culturels, organisés dans le monde mais surtout en Afrique.
Maurice, officiellement la République de Maurice, est un Etat de l'océan Indien dans l'archipel des Mascareignes. Il se situe au sud-est de l'Afrique à environ neuf cents kilomètres à l'est de Madagascar, à deux cent cinquante kilomètres de la Réunion et au sud des Seychelles.
Cette république d'une superficie de 2 040 km2 est composée de l'île Maurice qui représente 91% de la superficie du pays avec 1 865 km2 de superficie ainsi que plusieurs petites îles et récifs dont Rodrigues et les archipels de Cargados Carajos et d'Agaléga. Comme les Seychelles, Maurice est une ancienne colonie britannique. Le dodo, un oiseau disparu, est l'emblème du pays.
Culture
En 1847, Maurice devint le cinquième pays dans le monde à émettre des timbres postaux, après la Grande-Bretagne en 1840, la Suisse et le Brésil en 1843, les Etats-Unis en 1846, l'île Maurice aura été le troisième territoire au monde à émettre des timbres et le premier autorisé à le faire par l'empire britannique dont elle était une colonie en 1847. Les deux types de timbres, la série des Post Office (le Red Penny et le Blue Penny), sont parmi les plus célèbres et les plus chers du monde.
Au moment de sa découverte, l'île Maurice abritait une espèce d'oiseau qui était auparavant inconnue. Les Portugais l'appelèrent le dodo (simplet), en raison de son apparence nonchalante. Cependant, en 1680, pendant la période hollandaise, cette espèce avait complètement disparu. Dans les livres d'histoires la disparition du dodo a longtemps été attribuée aux abus des colons hollandais. Mais les études récentes démontrent plutôt que c'était dû aux prédateurs qui dévoraient leurs œufs. Le dodo est devenu l'emblème de Maurice.
Le 9 septembre, un pèlerinage rassemble chaque année entre 100 000 et 200 000 Mauriciens, pas seulement de foi catholique, au tombeau du bienheureux Jacques-Désiré Laval (1803-1864), à Sainte-Croix, dans la proche banlieue de Port-Louis.
Arts plastiques
L'Ile Maurice inspire un nombre important de plasticiens nationaux qu'étranger. Parmi les noms illustres des peintres mauriciens ; Gaëtan de Rosnay. C'est un artiste français, issu d'une famille de planteurs originaire de Champagne émigrée à l'île Maurice au XIXe siècle. Gaëtan de Rosnay a passé sa vie entre son île natale de l'Océan Indien et la France, où il arrive dès l'âge de deux ans, en août 1914, quand son père s'engage pour partir sur le front.
À l'instigation du peintre de la Marine Jean-Gabriel Daragnès, de passage à l'île Maurice, qui remarque son talent, il entre dans l'atelier de l'affichiste Paul Colin, à Paris. Il passe toute la Seconde Guerre mondiale en France et, à la Libération, fait partie du noyau des peintres de l'Ecole de Paris, qui donnent vie à une nouvelle forme d'art figuratif, représentée notamment par ceux qui exposent au Salon de la jeune Peinture, dont il est élu vice-président : Michel de Gallard, Pierre-Henry, Bernard Buffet, Maurice Boitel, Daniel du Janerand, Jansem, Aïzpiri, Jean Commère, Maurice Verdier, Robert Savary, Yves Brayer et bien autres.
Si, dans les années 1930, sa peinture conserve un caractère encore très proche de la réalité, révélant ses qualités de dessinateur (Le Vieil Indien, 1934), il évolue progressivement vers un mode stylisé où prédomine une forme géométrique dans laquelle il insère ses personnages ou ses paysages (la couturière 1942).
Ses œuvres des années 1950 s'illustrent encore par une tendance au misérabilisme ; puis sa palette s'enrichit. À partir des années 1960, il tend à superposer sur un dessin figuratif des formes abstraites dominantes, d'ombre et de lumière, très colorées don t «Les Champs-Elysées», (1960), «Les Musiciens», (1966), «Palais du gouvernement, Ile Maurice», (1973).
Littérature
Avant de parler des oeuvres insulaires, il faut rappeler la place qu'à occupée l'exotisme de quelques contributions d'écrivains européens.
Les romans de Bernardin de Saint-Pierre qui avec Voyage à l'isle de France (1773) et surtout Paul et Virginie (1788), fait connaître ce petit coin de terre dans l'hémisphère nord.
Plus tard, Charles Beaudelaire en rapporte quatre poèmes, dont le célèbre «A une dame créole qui figurent dans Les Fleurs du mal» (1841). Alexandre Dumas père écrit Georges, publié en 1841, qui reste un brillant reflet des conflits et de la haine ouverte ou contenue que se vouaient colons et anciens esclaves.
Au vingtième siècle, Paul-Jean Toulet, de mère mauricienne, fait une large place à l'île dans ses ouvrages Contrerimes (1921) et Journal et Voyages après y avoir séjourné.
Un des plus grands écrivains mauriciens est Malcom de Chazal qui se définit comme le plus grand hindou de l'île. Il écrit des oeuvres suréalistes : Sens plastique, et Pétrusmok.
La majorité des Hommes de culture et Hommes de lettre sont désormais, originaires de la France.
Jean-Marie Gustave Le Clézio en fait parti. Il est plus connu sous la signature J. M. G. Le Clézio, né le 13 avril 1940 à Nice, est un écrivain de langue française, de nationalités française et mauricienne. Il connaît très vite le succès avec son premier roman publié, «Le Procès-verbal» (1963). Jusqu'au milieu des années 1970, son œuvre littéraire porte la marque des recherches formelles du Nouveau Roman. Par la suite, influencé par ses origines familiales, par ses incessants voyages et par son goût marqué pour les cultures amérindiennes, Le Clézio publie des romans qui font une large part à l'onirisme et au mythe «Désert» et «Le Chercheur d'or» ainsi que des livres à dominante plus personnelle, autobiographique ou familiale dont «L'Africain». Il est l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages de fiction entre romans, contes, nouvelles et essais.
Le prix Nobel de littérature lui est décerné en 2008, en tant qu'écrivain de nouveaux départs, de l'aventure poétique et de l'extase sensuelle, explorateur d'une humanité au-delà et en-dessous de la civilisation régnante.
Gastronomie
Des multiples influences qu'a connues l'île de par l'immigration. Les épices sont la base d'une gastronomie inspirée de l'Inde et très parfumée.
Les piments, le gingembre, le massala et le curry sont les épices les plus utilisées par les Mauriciens pour agrémenter leurs plats. Parmi les spécialités, sont à goûter absolument les chutneys (de coco ou de mangue, mais aussi de pommes d'amour, qui ne sont autres que des tomates) et les currys, ainsi que le byriani importé d'Inde.
Le rougail de poulet est une spécialité venue de La Réunion et le mine frit (pâtes sautées) provient de la gastronomie chinoise.
Les spécialités de la mer, depuis la daube de poisson à la mauricienne jusqu'aux crevettes à la sauce rouge, en passant par les langoustes ou le marlin grillés ne laisseront pas indifférents les amateurs de poissons et de crustacés : sur l'île Maurice, la pêche est une fierté nationale…
Certains légumes exotiques méritent d'être goûtés tels le chouchou, le manioc, la patate douce sans parler des fruits aux saveurs ensoleillés : mangue, litchi, papaye, goyave, ou encore avocat. La banane flambée quant à elle est un dessert mauricien incontournable. K. H. et F. B.
Maurice, officiellement la République de Maurice, est un Etat de l'océan Indien dans l'archipel des Mascareignes. Il se situe au sud-est de l'Afrique à environ neuf cents kilomètres à l'est de Madagascar, à deux cent cinquante kilomètres de la Réunion et au sud des Seychelles.
Cette république d'une superficie de 2 040 km2 est composée de l'île Maurice qui représente 91% de la superficie du pays avec 1 865 km2 de superficie ainsi que plusieurs petites îles et récifs dont Rodrigues et les archipels de Cargados Carajos et d'Agaléga. Comme les Seychelles, Maurice est une ancienne colonie britannique. Le dodo, un oiseau disparu, est l'emblème du pays.
Culture
En 1847, Maurice devint le cinquième pays dans le monde à émettre des timbres postaux, après la Grande-Bretagne en 1840, la Suisse et le Brésil en 1843, les Etats-Unis en 1846, l'île Maurice aura été le troisième territoire au monde à émettre des timbres et le premier autorisé à le faire par l'empire britannique dont elle était une colonie en 1847. Les deux types de timbres, la série des Post Office (le Red Penny et le Blue Penny), sont parmi les plus célèbres et les plus chers du monde.
Au moment de sa découverte, l'île Maurice abritait une espèce d'oiseau qui était auparavant inconnue. Les Portugais l'appelèrent le dodo (simplet), en raison de son apparence nonchalante. Cependant, en 1680, pendant la période hollandaise, cette espèce avait complètement disparu. Dans les livres d'histoires la disparition du dodo a longtemps été attribuée aux abus des colons hollandais. Mais les études récentes démontrent plutôt que c'était dû aux prédateurs qui dévoraient leurs œufs. Le dodo est devenu l'emblème de Maurice.
Le 9 septembre, un pèlerinage rassemble chaque année entre 100 000 et 200 000 Mauriciens, pas seulement de foi catholique, au tombeau du bienheureux Jacques-Désiré Laval (1803-1864), à Sainte-Croix, dans la proche banlieue de Port-Louis.
Arts plastiques
L'Ile Maurice inspire un nombre important de plasticiens nationaux qu'étranger. Parmi les noms illustres des peintres mauriciens ; Gaëtan de Rosnay. C'est un artiste français, issu d'une famille de planteurs originaire de Champagne émigrée à l'île Maurice au XIXe siècle. Gaëtan de Rosnay a passé sa vie entre son île natale de l'Océan Indien et la France, où il arrive dès l'âge de deux ans, en août 1914, quand son père s'engage pour partir sur le front.
À l'instigation du peintre de la Marine Jean-Gabriel Daragnès, de passage à l'île Maurice, qui remarque son talent, il entre dans l'atelier de l'affichiste Paul Colin, à Paris. Il passe toute la Seconde Guerre mondiale en France et, à la Libération, fait partie du noyau des peintres de l'Ecole de Paris, qui donnent vie à une nouvelle forme d'art figuratif, représentée notamment par ceux qui exposent au Salon de la jeune Peinture, dont il est élu vice-président : Michel de Gallard, Pierre-Henry, Bernard Buffet, Maurice Boitel, Daniel du Janerand, Jansem, Aïzpiri, Jean Commère, Maurice Verdier, Robert Savary, Yves Brayer et bien autres.
Si, dans les années 1930, sa peinture conserve un caractère encore très proche de la réalité, révélant ses qualités de dessinateur (Le Vieil Indien, 1934), il évolue progressivement vers un mode stylisé où prédomine une forme géométrique dans laquelle il insère ses personnages ou ses paysages (la couturière 1942).
Ses œuvres des années 1950 s'illustrent encore par une tendance au misérabilisme ; puis sa palette s'enrichit. À partir des années 1960, il tend à superposer sur un dessin figuratif des formes abstraites dominantes, d'ombre et de lumière, très colorées don t «Les Champs-Elysées», (1960), «Les Musiciens», (1966), «Palais du gouvernement, Ile Maurice», (1973).
Littérature
Avant de parler des oeuvres insulaires, il faut rappeler la place qu'à occupée l'exotisme de quelques contributions d'écrivains européens.
Les romans de Bernardin de Saint-Pierre qui avec Voyage à l'isle de France (1773) et surtout Paul et Virginie (1788), fait connaître ce petit coin de terre dans l'hémisphère nord.
Plus tard, Charles Beaudelaire en rapporte quatre poèmes, dont le célèbre «A une dame créole qui figurent dans Les Fleurs du mal» (1841). Alexandre Dumas père écrit Georges, publié en 1841, qui reste un brillant reflet des conflits et de la haine ouverte ou contenue que se vouaient colons et anciens esclaves.
Au vingtième siècle, Paul-Jean Toulet, de mère mauricienne, fait une large place à l'île dans ses ouvrages Contrerimes (1921) et Journal et Voyages après y avoir séjourné.
Un des plus grands écrivains mauriciens est Malcom de Chazal qui se définit comme le plus grand hindou de l'île. Il écrit des oeuvres suréalistes : Sens plastique, et Pétrusmok.
La majorité des Hommes de culture et Hommes de lettre sont désormais, originaires de la France.
Jean-Marie Gustave Le Clézio en fait parti. Il est plus connu sous la signature J. M. G. Le Clézio, né le 13 avril 1940 à Nice, est un écrivain de langue française, de nationalités française et mauricienne. Il connaît très vite le succès avec son premier roman publié, «Le Procès-verbal» (1963). Jusqu'au milieu des années 1970, son œuvre littéraire porte la marque des recherches formelles du Nouveau Roman. Par la suite, influencé par ses origines familiales, par ses incessants voyages et par son goût marqué pour les cultures amérindiennes, Le Clézio publie des romans qui font une large part à l'onirisme et au mythe «Désert» et «Le Chercheur d'or» ainsi que des livres à dominante plus personnelle, autobiographique ou familiale dont «L'Africain». Il est l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages de fiction entre romans, contes, nouvelles et essais.
Le prix Nobel de littérature lui est décerné en 2008, en tant qu'écrivain de nouveaux départs, de l'aventure poétique et de l'extase sensuelle, explorateur d'une humanité au-delà et en-dessous de la civilisation régnante.
Gastronomie
Des multiples influences qu'a connues l'île de par l'immigration. Les épices sont la base d'une gastronomie inspirée de l'Inde et très parfumée.
Les piments, le gingembre, le massala et le curry sont les épices les plus utilisées par les Mauriciens pour agrémenter leurs plats. Parmi les spécialités, sont à goûter absolument les chutneys (de coco ou de mangue, mais aussi de pommes d'amour, qui ne sont autres que des tomates) et les currys, ainsi que le byriani importé d'Inde.
Le rougail de poulet est une spécialité venue de La Réunion et le mine frit (pâtes sautées) provient de la gastronomie chinoise.
Les spécialités de la mer, depuis la daube de poisson à la mauricienne jusqu'aux crevettes à la sauce rouge, en passant par les langoustes ou le marlin grillés ne laisseront pas indifférents les amateurs de poissons et de crustacés : sur l'île Maurice, la pêche est une fierté nationale…
Certains légumes exotiques méritent d'être goûtés tels le chouchou, le manioc, la patate douce sans parler des fruits aux saveurs ensoleillés : mangue, litchi, papaye, goyave, ou encore avocat. La banane flambée quant à elle est un dessert mauricien incontournable. K. H. et F. B.


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