Les vendeurs de fruits et légumes de l'Algérois affichent, depuis une dizaine de jours, des prix stables pour leurs produits. C'est ce qui nous a été rapporté, hier, auprès des différents marchands de la capitale. Ici, au marché Berezouane d'Alger centre, le coût des denrées alimentaires, celles les plus sollicitées par les citoyens à savoir la pomme de terre, la tomate, le poivron et la laitue, est accessibles à toutes les bourses. «Cela fait une dizaine de jours que les prix des légumes ont baissé. Je viens presque quotidiennement, faire mes provisions au marché Berezouane. Nous espérons que ces prix resteront également abordables au mois de ramadan», nous dira un sexagénaire abordé dans l'un des nombreux commerces. Les commerçants placardent, tous, les mêmes prix. La pomme de terre à 25DA, la tomate, 35 DA, le poivron, 50DA, la carotte, 40DA, la laitue à 50DA. La plupart des autres légumes sont abordables, mis à part les haricots verts qui sont à 80DA ou les légumes hors saison, accessibles aux bourses nanties seulement. «Je viens spécialement ravitailler pour le mois de ramadan bien que ce soit un peu tôt. J' étais ce matin au marché de Bab El-Oued, les prix des légumes sont remarquablement abordables. J'ai acheté d'ailleurs 15 kg de tomates afin de les râper et les congeler. C'est ce que je fais aussi pour les autres légumes pour les conserver, à chaque fois qu'il y a une baisse des prix», nous explique une jeune femme qui sinforme sur le coût des légumes d'un marchand à l'autre. Visiblement, la majorité des gens est plus, préoccupée par les achats du ramadan que par ceux du quotidien. C'est le cas d'une mère de famille, témoignant son anxiété par rapport aux frais qu'elle doit débourser pour le futur mois sacré. Elle confie qu'elle n'arrive jamais à finir le mois sans s'endetter auprès des proches ou des amis. «Il est vrai que les coûts des denrées alimentaire sont actuellement abordables mais personnellement je m'inquiète beaucoup plus quant au mois de ramadan. Nous y constatons, chaque année une flambée des prix inexplicable. Heureusement que je fréquente fidèlement le même marché depuis plusieurs années et cela me permet de garder de bonnes relations avec les marchands qui m'accordent des crédits pour pouvoir facilement remplir mon couffin», révèle-t-elle. Submergés pat les nombreuses questions des citoyens, les marchands semblent être aussi tracassés par ce fait. Ils espèrent pour leurs part, que ces prix seront revus encore à la baisse afin de répondre à la demande de leur clientèle. Plusieurs ménages se trouvent dans la même situation face au doute quant aux prix qui risquent, peut-être de grimper davantage avec l'arrivée de Ramadan. Les vendeurs de fruits et légumes de l'Algérois affichent, depuis une dizaine de jours, des prix stables pour leurs produits. C'est ce qui nous a été rapporté, hier, auprès des différents marchands de la capitale. Ici, au marché Berezouane d'Alger centre, le coût des denrées alimentaires, celles les plus sollicitées par les citoyens à savoir la pomme de terre, la tomate, le poivron et la laitue, est accessibles à toutes les bourses. «Cela fait une dizaine de jours que les prix des légumes ont baissé. Je viens presque quotidiennement, faire mes provisions au marché Berezouane. Nous espérons que ces prix resteront également abordables au mois de ramadan», nous dira un sexagénaire abordé dans l'un des nombreux commerces. Les commerçants placardent, tous, les mêmes prix. La pomme de terre à 25DA, la tomate, 35 DA, le poivron, 50DA, la carotte, 40DA, la laitue à 50DA. La plupart des autres légumes sont abordables, mis à part les haricots verts qui sont à 80DA ou les légumes hors saison, accessibles aux bourses nanties seulement. «Je viens spécialement ravitailler pour le mois de ramadan bien que ce soit un peu tôt. J' étais ce matin au marché de Bab El-Oued, les prix des légumes sont remarquablement abordables. J'ai acheté d'ailleurs 15 kg de tomates afin de les râper et les congeler. C'est ce que je fais aussi pour les autres légumes pour les conserver, à chaque fois qu'il y a une baisse des prix», nous explique une jeune femme qui sinforme sur le coût des légumes d'un marchand à l'autre. Visiblement, la majorité des gens est plus, préoccupée par les achats du ramadan que par ceux du quotidien. C'est le cas d'une mère de famille, témoignant son anxiété par rapport aux frais qu'elle doit débourser pour le futur mois sacré. Elle confie qu'elle n'arrive jamais à finir le mois sans s'endetter auprès des proches ou des amis. «Il est vrai que les coûts des denrées alimentaire sont actuellement abordables mais personnellement je m'inquiète beaucoup plus quant au mois de ramadan. Nous y constatons, chaque année une flambée des prix inexplicable. Heureusement que je fréquente fidèlement le même marché depuis plusieurs années et cela me permet de garder de bonnes relations avec les marchands qui m'accordent des crédits pour pouvoir facilement remplir mon couffin», révèle-t-elle. Submergés pat les nombreuses questions des citoyens, les marchands semblent être aussi tracassés par ce fait. Ils espèrent pour leurs part, que ces prix seront revus encore à la baisse afin de répondre à la demande de leur clientèle. Plusieurs ménages se trouvent dans la même situation face au doute quant aux prix qui risquent, peut-être de grimper davantage avec l'arrivée de Ramadan.