Les accidents de la route continuent de faire de nombreuses victimes en Algérie. Durant le premier trimestre 2009, 951 personnes ont trouvé la mort dans 9.005 accidents sur les routes du pays. Ce chiffre est en très légère baisse (-2,66%) par rapport à la même période de 2008, mais il reste très important, avec une moyenne de plus de 11 morts par jour. Le nombre de blessés s'élève à 13.814 personnes durant les trois premiers mois de 2009, contre 13.811 pour la même période en 2008. Ce nombre relatif uniquement au 1er trimestre de l'année 2009 est «important» et «croissant» en comparaison avec celui de l'année 2008. Dans son dernier numéro, la revue Police publié par la Sûreté nationale, a indiqué qu'il faut aller vers la sensibilisation du conducteur dans la mesure où «le code de la route à lui seul, ne suffit pas à réduire ce taux alarmant». D'ailleurs, le facteur humain est le responsable principal de ces accidents mortels, ajoute la même source. «Notre pays subit annuellement des pertes colossales qui peuvent atteindre les 100 milliard de dinars", a précisé la revue en ajoutant que «l'Algérie occupe la 4e place sur le plan international derrière les Etats unis, l'Italie et la France et la 2ème sur le plan maghrébin et arabe» en terme d'accidents de la circulation. En raison de ces chiffres croissants, l'ensemble des services de la sûreté, notamment, la direction de la prévention routière (Direction générale de la sûreté nationale) ont volontairement procédé à l'augmentation du nombre de barrages de contrôle routier et ont déployé 100 radars supplémentaires pour couvrir la majorité des wilayas du pays. Aussi, 1.550 motards supplémentaires ont été mobilisés par la direction de la Sûreté nationale en vue d'assurer la sécurité routière. L'installation de radars a permis, quant à elle, de relever 1.084 infractions du fait de la conduite en état d'ivresse ou sous l'effet de la drogue durant le 1er trimestre de l'année en cours, précise la revue. Les services de la sûreté nationale ont enregistré 33.780 cas de retrait de permis de conduire, a indiqué la même source en précisant que les jeunes possédant des permis de conduire de moins de cinq ans, sont la catégorie la plus exposée aux accidents de la route avec 1.210 accidents. Les services de la sûreté ont appelé à cet égard à intensifier la collaboration avec les ministères des Transports, des Travaux publics et des Collectivités locales afin de parvenir à mettre en place des lois à même de contribuer à diminuer le nombre d'accidents. Des propositions ont été formulées à cet effet par les services de la police telles l'utilisation des archives pour faciliter l'identification des conducteurs dont le permis de conduire a déjà été retiré et la mise en place du système de permis de conduire à points. Les accidents de la route continuent de faire de nombreuses victimes en Algérie. Durant le premier trimestre 2009, 951 personnes ont trouvé la mort dans 9.005 accidents sur les routes du pays. Ce chiffre est en très légère baisse (-2,66%) par rapport à la même période de 2008, mais il reste très important, avec une moyenne de plus de 11 morts par jour. Le nombre de blessés s'élève à 13.814 personnes durant les trois premiers mois de 2009, contre 13.811 pour la même période en 2008. Ce nombre relatif uniquement au 1er trimestre de l'année 2009 est «important» et «croissant» en comparaison avec celui de l'année 2008. Dans son dernier numéro, la revue Police publié par la Sûreté nationale, a indiqué qu'il faut aller vers la sensibilisation du conducteur dans la mesure où «le code de la route à lui seul, ne suffit pas à réduire ce taux alarmant». D'ailleurs, le facteur humain est le responsable principal de ces accidents mortels, ajoute la même source. «Notre pays subit annuellement des pertes colossales qui peuvent atteindre les 100 milliard de dinars", a précisé la revue en ajoutant que «l'Algérie occupe la 4e place sur le plan international derrière les Etats unis, l'Italie et la France et la 2ème sur le plan maghrébin et arabe» en terme d'accidents de la circulation. En raison de ces chiffres croissants, l'ensemble des services de la sûreté, notamment, la direction de la prévention routière (Direction générale de la sûreté nationale) ont volontairement procédé à l'augmentation du nombre de barrages de contrôle routier et ont déployé 100 radars supplémentaires pour couvrir la majorité des wilayas du pays. Aussi, 1.550 motards supplémentaires ont été mobilisés par la direction de la Sûreté nationale en vue d'assurer la sécurité routière. L'installation de radars a permis, quant à elle, de relever 1.084 infractions du fait de la conduite en état d'ivresse ou sous l'effet de la drogue durant le 1er trimestre de l'année en cours, précise la revue. Les services de la sûreté nationale ont enregistré 33.780 cas de retrait de permis de conduire, a indiqué la même source en précisant que les jeunes possédant des permis de conduire de moins de cinq ans, sont la catégorie la plus exposée aux accidents de la route avec 1.210 accidents. Les services de la sûreté ont appelé à cet égard à intensifier la collaboration avec les ministères des Transports, des Travaux publics et des Collectivités locales afin de parvenir à mettre en place des lois à même de contribuer à diminuer le nombre d'accidents. Des propositions ont été formulées à cet effet par les services de la police telles l'utilisation des archives pour faciliter l'identification des conducteurs dont le permis de conduire a déjà été retiré et la mise en place du système de permis de conduire à points.