La direction de l'organisation syndicale, cette dernière s'apprêterait à revendiquer un SNMG de 20.000 DA. Une conséquente augmentation car, actuellement, le SNMG, revu à la hausse en janvier 2006 lors de la dernière tripartite, est de l'ordre de 12.000 DA. La direction de l'organisation syndicale, cette dernière s'apprêterait à revendiquer un SNMG de 20.000 DA. Une conséquente augmentation car, actuellement, le SNMG, revu à la hausse en janvier 2006 lors de la dernière tripartite, est de l'ordre de 12.000 DA. En perspective de la prochaine tripartite, prévue en automne, la centrale syndicale prépare les dossiers qu'elle soumettra aux deux autres partenaires que sont le gouvernement et le patronat. La revalorisation du Salaire national minimum garanti (SNMG) sera, incontestablement, la principale revendication de l'UGTA. Il faut dire que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avait annoncé, le 24 février dernier, une révision à la hausse de ce salaire en laissant bien sûr le soin aux partenaires sociaux, gouvernement, UGTA et patronat, de fixer la valeur de cette augmentation lors de la prochaine tripartite. L'UGTA semble avoir d'ores et déjà avoir ficelé le dossier relatif à cette question. En effet, selon des sources proches de la direction de l'organisation syndicale, cette dernière s'apprêterait à revendiquer un SNMG de 20.000 DA. Une conséquente augmentation car, actuellement, le SNMG, revu à la hausse en janvier 2006 lors de la dernière tripartite, est de l'ordre de 12.000 DA. Les deux partenaires ont convenu, pour rappel, de revoir le seuil du SNMG chaque trois ans. Par le passé le SMIG a toujours été augmenté de 2.000 DA seulement. Une marge d'augmentation qui, apparemment, n'agrée plus les responsables de l'organisation syndicale puisque, jamais auparavant, le puissant syndicat n'a émis le souhait de demander une si importante augmentation. Il y a une quinzaine de jours un secrétaire national de l'UGTA avait laissé entendre qu'une réévaluation de 2.000 DA est loin d'être la bienvenue. «On a toujours procédé à une augmentation qui ne dépasspait pas les 2.000 DA. Maintenant nous voulons plus », a indiqué Abdelkader Malki en marge d'une cérémonie commémorative du cinquantième anniversaire de la mort du fondateur du syndicat, Aissat Idir. Mais qu'est-ce qui fait que l'UGTA est sur le point de revendiquer une augmentation de 8.000 DA ? A l'évidence, la centrale syndicale reconnaît ainsi l'impossibilité pour un « smigard » de subvenir aux plus élémentaires de ses besoins et de ceux de sa famille aussi. Face à la cherté de la vie le pouvoir d'achat des Algériens a considérablement périclité. D'ailleurs l'UGTA, sur recommandation de son secrétaire général, Abdelmadjid Sidi Said, a tout récemment installé une commission, avec pour mission, de passer au peigne fin le dossier du pouvoir d'achat et de procéder, par conséquent, à l'élaboration d'un budget familial type pour une famille composée de 6 membres. Selon les premiers résultats de cette étude ce budget serait de l'ordre de 25.000 DA au minimum. Mais selon Abdelkader Malki, ce salaire reste, cependant, fort aléatoire puisque tributaire de l'inflation. Pour ce responsable syndical « l'Etat doit faire un effort pour réguler le marché et contrôler les prix si on veut éviter l'instabilité ». Maintenant il reste à savoir si l'Etat est disposé à consentir une augmentation de 8.000 DA du SNMG. Beaucoup d'observateurs en doutent tant la conjoncture, crise financière mondiale oblige, ne semble pas favorable pour souscrire à une telle revendication qui nécessiterait la mobilisation d'une grande enveloppe financière. Selon certaines hypothèses cette augmentation n'irait pas au delà de la barre des 15.000 DA. En perspective de la prochaine tripartite, prévue en automne, la centrale syndicale prépare les dossiers qu'elle soumettra aux deux autres partenaires que sont le gouvernement et le patronat. La revalorisation du Salaire national minimum garanti (SNMG) sera, incontestablement, la principale revendication de l'UGTA. Il faut dire que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avait annoncé, le 24 février dernier, une révision à la hausse de ce salaire en laissant bien sûr le soin aux partenaires sociaux, gouvernement, UGTA et patronat, de fixer la valeur de cette augmentation lors de la prochaine tripartite. L'UGTA semble avoir d'ores et déjà avoir ficelé le dossier relatif à cette question. En effet, selon des sources proches de la direction de l'organisation syndicale, cette dernière s'apprêterait à revendiquer un SNMG de 20.000 DA. Une conséquente augmentation car, actuellement, le SNMG, revu à la hausse en janvier 2006 lors de la dernière tripartite, est de l'ordre de 12.000 DA. Les deux partenaires ont convenu, pour rappel, de revoir le seuil du SNMG chaque trois ans. Par le passé le SMIG a toujours été augmenté de 2.000 DA seulement. Une marge d'augmentation qui, apparemment, n'agrée plus les responsables de l'organisation syndicale puisque, jamais auparavant, le puissant syndicat n'a émis le souhait de demander une si importante augmentation. Il y a une quinzaine de jours un secrétaire national de l'UGTA avait laissé entendre qu'une réévaluation de 2.000 DA est loin d'être la bienvenue. «On a toujours procédé à une augmentation qui ne dépasspait pas les 2.000 DA. Maintenant nous voulons plus », a indiqué Abdelkader Malki en marge d'une cérémonie commémorative du cinquantième anniversaire de la mort du fondateur du syndicat, Aissat Idir. Mais qu'est-ce qui fait que l'UGTA est sur le point de revendiquer une augmentation de 8.000 DA ? A l'évidence, la centrale syndicale reconnaît ainsi l'impossibilité pour un « smigard » de subvenir aux plus élémentaires de ses besoins et de ceux de sa famille aussi. Face à la cherté de la vie le pouvoir d'achat des Algériens a considérablement périclité. D'ailleurs l'UGTA, sur recommandation de son secrétaire général, Abdelmadjid Sidi Said, a tout récemment installé une commission, avec pour mission, de passer au peigne fin le dossier du pouvoir d'achat et de procéder, par conséquent, à l'élaboration d'un budget familial type pour une famille composée de 6 membres. Selon les premiers résultats de cette étude ce budget serait de l'ordre de 25.000 DA au minimum. Mais selon Abdelkader Malki, ce salaire reste, cependant, fort aléatoire puisque tributaire de l'inflation. Pour ce responsable syndical « l'Etat doit faire un effort pour réguler le marché et contrôler les prix si on veut éviter l'instabilité ». Maintenant il reste à savoir si l'Etat est disposé à consentir une augmentation de 8.000 DA du SNMG. Beaucoup d'observateurs en doutent tant la conjoncture, crise financière mondiale oblige, ne semble pas favorable pour souscrire à une telle revendication qui nécessiterait la mobilisation d'une grande enveloppe financière. Selon certaines hypothèses cette augmentation n'irait pas au delà de la barre des 15.000 DA.