Laminés par les fastidieuses et sempiternelles dépenses occasionnées par les fêtes familiales, durant la saison estivale, les pères de famille appréhendent la rentrée sociale et le mois sacré du Ramadhan. Durant deux mois, voire plus, la gent féminine saisit l'opportunité de la célébration des mariages, fiançailles circoncisions, réussites aux examens scolaires, et universitaires pour se délasser et vivre des soirées mémorables animées par des orchestres, chanteurs et DJ. Selon nos interlocuteurs, la maîtresse de maison se permet d'assister en moyenne à une vingtaine de cérémonies chaque été avec son lots de dépenses. D'autre part, les parents sont harcelés par leurs enfants qui sont attirés par les bienfaits de la plage et des baignades. Un budget est ainsi consacré à cet effet, afin de goûter aux joies que procure la grande bleue. C'est complètement «lessivé» que le malheureux salarié s'apprête à affronter la rentrée des classes qui exige l'achat d'effets vestimentaires, chaussures, tabliers, cartables, fournitures et manuels scolaires, sans oublier le versement obligatoire des frais scolaires relatifs à l'assurance, coopérative, etc. Dans ce contexte, les emprunts auprès des proches et amis sont indispensables pour répondre à toutes ces dépenses. Les dernière années, certaines mères de famille se rendent à Annaba auprès de la BDL pour gager leurs bijoux en or afin de prétendre à un prêt soumis aux intérêts. Le mois de ramadhan est aussi être un mois de piété, de solidarité, mais avec son cortège de dépenses faramineuses puisque la maîtresse de maison devra confectionner de délicieux plats onéreux. Le fameux panier de la ménagère est la bête noire du père de famille qui devra débourser pour l'achat des viandes, poissons, légumes frais, fruits, confiseries, jus, zlabia etc. D'aucuns appréhendent cette rentrée sociale qui bouscule le train-train quotidien des petites gens, notamment. Il est à espérer que l'entraide et la solidarité qui caractérisent notre société viennent au secours des familles démunies. Laminés par les fastidieuses et sempiternelles dépenses occasionnées par les fêtes familiales, durant la saison estivale, les pères de famille appréhendent la rentrée sociale et le mois sacré du Ramadhan. Durant deux mois, voire plus, la gent féminine saisit l'opportunité de la célébration des mariages, fiançailles circoncisions, réussites aux examens scolaires, et universitaires pour se délasser et vivre des soirées mémorables animées par des orchestres, chanteurs et DJ. Selon nos interlocuteurs, la maîtresse de maison se permet d'assister en moyenne à une vingtaine de cérémonies chaque été avec son lots de dépenses. D'autre part, les parents sont harcelés par leurs enfants qui sont attirés par les bienfaits de la plage et des baignades. Un budget est ainsi consacré à cet effet, afin de goûter aux joies que procure la grande bleue. C'est complètement «lessivé» que le malheureux salarié s'apprête à affronter la rentrée des classes qui exige l'achat d'effets vestimentaires, chaussures, tabliers, cartables, fournitures et manuels scolaires, sans oublier le versement obligatoire des frais scolaires relatifs à l'assurance, coopérative, etc. Dans ce contexte, les emprunts auprès des proches et amis sont indispensables pour répondre à toutes ces dépenses. Les dernière années, certaines mères de famille se rendent à Annaba auprès de la BDL pour gager leurs bijoux en or afin de prétendre à un prêt soumis aux intérêts. Le mois de ramadhan est aussi être un mois de piété, de solidarité, mais avec son cortège de dépenses faramineuses puisque la maîtresse de maison devra confectionner de délicieux plats onéreux. Le fameux panier de la ménagère est la bête noire du père de famille qui devra débourser pour l'achat des viandes, poissons, légumes frais, fruits, confiseries, jus, zlabia etc. D'aucuns appréhendent cette rentrée sociale qui bouscule le train-train quotidien des petites gens, notamment. Il est à espérer que l'entraide et la solidarité qui caractérisent notre société viennent au secours des familles démunies.