L'accord signé, récemment, oblige les abattoirs à stocker le surplus de production et à pratiquer les mêmes prix. Ce dernier a été fixé à 280 DA le kilogramme pour tous les points de vente affiliés aux abattoirs. L'accord signé, récemment, oblige les abattoirs à stocker le surplus de production et à pratiquer les mêmes prix. Ce dernier a été fixé à 280 DA le kilogramme pour tous les points de vente affiliés aux abattoirs. La viande blanche à 280 DA le kilogramme, tel est l'accord conclu entre le ministère de l'Agriculture et du Développement rural et les abattoirs publics et privés. Cette nouvelle mesure vise à juguler la spéculation et à assurer l'approvisionnement régulier et ininterrompu du marché durant le mois sacré du Ramadhan. L'accord signé, récemment, oblige les abattoirs à stocker le surplus de production et à pratiquer les mêmes prix. Ce dernier a été fixé à 280 DA le kilogramme pour tous les points de vente affiliés aux abattoirs. Il est dénombré 60 points de vente répartis sur tout le territoire nationale et au niveau desquels les normes d'hygiene et de conditionnement répondent aux standards internationaux. Ces points sont régulièrement contrôlés par les services d'hygiène. Dans une déclaration à la presse, le directeur des abattoirs du centre, M. Rafik Bouzid, a affirmé que ses services, en collaboration avec le ministère de l'Agriculture se préparent pour cette mesure depuis quatre mois. «Les viandes blanches seront disponibles de façon suffisante. De grandes quantités seront mises sur le marché pour permettre au citoyen de consommer ce genre de viande à des prix raisonnables et cela, à travers tout le territoire national», a-t-il rassuré. «La viande qui sera commercialisée dans le cadre de cet accord sera nettoyée et conditionnée dans des barquettes et enveloppée de façon à empêcher les bactéries de s'y installer», précise-t-il. Les prix de la viande blanche ont connu ces dernier temps des hausses vertigineuses. Le prix du kilogramme de poulet a atteint les 400 DA. La mesure décidée par le ministère de l'Agriculture a été bien accueillie par les citoyens. Rencontrés au niveau des marchés de Ouled fayet, El Biar et Alger centre, plusieurs d'entre eux ont exprimé leur satisfaction. «On trouve la viande blanche à des prix raisonnables en plus on peut prendre des morceaux ou un poulet complet bien nettoyé et enveloppé dans du papier cellophane. Je trouve que c'est une bonne chose. Je préfère acheter ici que chez mon revendeur habituel où les prix sont 100 DA plus chers», nous a confirmé Thuraya, mère de famille. Nous sommes à quelques jours du mois sacré et la flambée des prix ne concerne pas seulement la viande blanche ou rouge. Tous les produits à grande consommation voient leurs prix s'envoler y compris les fruits et légumes. Une situation souvent justifiée par les pouvoirs publics et les autorités concernées par le «phénomène de la spéculation». La viande blanche à 280 DA le kilogramme, tel est l'accord conclu entre le ministère de l'Agriculture et du Développement rural et les abattoirs publics et privés. Cette nouvelle mesure vise à juguler la spéculation et à assurer l'approvisionnement régulier et ininterrompu du marché durant le mois sacré du Ramadhan. L'accord signé, récemment, oblige les abattoirs à stocker le surplus de production et à pratiquer les mêmes prix. Ce dernier a été fixé à 280 DA le kilogramme pour tous les points de vente affiliés aux abattoirs. Il est dénombré 60 points de vente répartis sur tout le territoire nationale et au niveau desquels les normes d'hygiene et de conditionnement répondent aux standards internationaux. Ces points sont régulièrement contrôlés par les services d'hygiène. Dans une déclaration à la presse, le directeur des abattoirs du centre, M. Rafik Bouzid, a affirmé que ses services, en collaboration avec le ministère de l'Agriculture se préparent pour cette mesure depuis quatre mois. «Les viandes blanches seront disponibles de façon suffisante. De grandes quantités seront mises sur le marché pour permettre au citoyen de consommer ce genre de viande à des prix raisonnables et cela, à travers tout le territoire national», a-t-il rassuré. «La viande qui sera commercialisée dans le cadre de cet accord sera nettoyée et conditionnée dans des barquettes et enveloppée de façon à empêcher les bactéries de s'y installer», précise-t-il. Les prix de la viande blanche ont connu ces dernier temps des hausses vertigineuses. Le prix du kilogramme de poulet a atteint les 400 DA. La mesure décidée par le ministère de l'Agriculture a été bien accueillie par les citoyens. Rencontrés au niveau des marchés de Ouled fayet, El Biar et Alger centre, plusieurs d'entre eux ont exprimé leur satisfaction. «On trouve la viande blanche à des prix raisonnables en plus on peut prendre des morceaux ou un poulet complet bien nettoyé et enveloppé dans du papier cellophane. Je trouve que c'est une bonne chose. Je préfère acheter ici que chez mon revendeur habituel où les prix sont 100 DA plus chers», nous a confirmé Thuraya, mère de famille. Nous sommes à quelques jours du mois sacré et la flambée des prix ne concerne pas seulement la viande blanche ou rouge. Tous les produits à grande consommation voient leurs prix s'envoler y compris les fruits et légumes. Une situation souvent justifiée par les pouvoirs publics et les autorités concernées par le «phénomène de la spéculation».