La harira est la soupe nationale. Pendant les 30 jours du mois de Ramadan, chaque maison prépare ce potage parfumé, une soupe à base de viande, lentilles, pois chiches, que l'on mange avec les beghrirs, petites crêpes en nid d'abeille servies avec du beurre fondu et du miel, les shebbakias, gâteaux frits dans l'huile et enrobés de miel. Cette "légère" collation permet d'attendre le vrai dîner qui se déroule plus tard dans la nuit. La chermoula est la préparation de base pour assaisonner la plupart des poissons dans les recettes marocaines, qu'ils soient frits, cuits en tajines avec des légumes ou bien farcis et cuits au four. C'est un mélange de coriandre, d'ail, de piment doux et fort, de cumin et de gros sel mouillé au jus de citron et à l'huile d'olive. Un repas traditionnel ne serait pas complet sans des fruits et surtout de nombreuses pâtisseries telles que Mahancha - pâtisserie fine fourrée aux amandes Rghaif - crêpe au miel et aux graines de sésame gâteaux au miel Cornes de gazelles Feqqas aux amandes, aux raisins, shebbakia, gâteaux frits dans l'huile et enrobés de miel, etc. Le thé à la menthe est un signe d'hospitalité. On vous le sert bien chaud et bien sucré à toute heure de la journée chez le marchand de tapis, sous une tente berbère ou au salon d'un grand hôtel. Servi dans un petit verre, il est versé très haut pour en enlever toute âcreté. On retrouve aussi le Chiba, un thé à l'absinthe. Puis, quand vient le soir, les gargotiers s'installent. Alors les quinquets et les étoiles s'allument et les fumets des viandes rôties, du couscous, de la harira, des beignets emplissent l'air de la nuit. Dans la médina, le spectacle continue avec ses souks, labyrinthe d'ombre et de lumière, ramifié à l'infini sous des treillages de roseaux, festival marocain de couleurs, de sons, de parfums qui invitent à suivre le rythme de la foule, à pénétrer plus avant dans la culture marocaine. La harira est la soupe nationale. Pendant les 30 jours du mois de Ramadan, chaque maison prépare ce potage parfumé, une soupe à base de viande, lentilles, pois chiches, que l'on mange avec les beghrirs, petites crêpes en nid d'abeille servies avec du beurre fondu et du miel, les shebbakias, gâteaux frits dans l'huile et enrobés de miel. Cette "légère" collation permet d'attendre le vrai dîner qui se déroule plus tard dans la nuit. La chermoula est la préparation de base pour assaisonner la plupart des poissons dans les recettes marocaines, qu'ils soient frits, cuits en tajines avec des légumes ou bien farcis et cuits au four. C'est un mélange de coriandre, d'ail, de piment doux et fort, de cumin et de gros sel mouillé au jus de citron et à l'huile d'olive. Un repas traditionnel ne serait pas complet sans des fruits et surtout de nombreuses pâtisseries telles que Mahancha - pâtisserie fine fourrée aux amandes Rghaif - crêpe au miel et aux graines de sésame gâteaux au miel Cornes de gazelles Feqqas aux amandes, aux raisins, shebbakia, gâteaux frits dans l'huile et enrobés de miel, etc. Le thé à la menthe est un signe d'hospitalité. On vous le sert bien chaud et bien sucré à toute heure de la journée chez le marchand de tapis, sous une tente berbère ou au salon d'un grand hôtel. Servi dans un petit verre, il est versé très haut pour en enlever toute âcreté. On retrouve aussi le Chiba, un thé à l'absinthe. Puis, quand vient le soir, les gargotiers s'installent. Alors les quinquets et les étoiles s'allument et les fumets des viandes rôties, du couscous, de la harira, des beignets emplissent l'air de la nuit. Dans la médina, le spectacle continue avec ses souks, labyrinthe d'ombre et de lumière, ramifié à l'infini sous des treillages de roseaux, festival marocain de couleurs, de sons, de parfums qui invitent à suivre le rythme de la foule, à pénétrer plus avant dans la culture marocaine.