Les Algérois continuent de souffrir de l'anarchie du transport public, et ce sur l'ensemble des stations de bus et lignes de transport dans la capitale. Non seulement les exploitants de ces bus n'assurent pas le moindre confort à leurs clients, mais en plus ils leur imposent leur loi seule et absolue. Dans les stations terminus une fois les bus pleins à craquer, le receveur et son chauffeur continuent encore d'ameuter les personnes de passage vociférant l'eternelle et même rengaine : «Rahou rayeh, atlaâ, rahou rayeh …», bien sûr le bus ne partira pas ou du moins pas avant d'interminables minutes et cette scène se répète, se répète, et se répète… quotidiennement et à longueur d'année. Les voyageurs stoiques le reste du temps le sont moins en période de jeûne et il n'est pas rare de les voir, ô surprise, se révolter contre le diktat des transporteurs. En effet le tension monte très rapidement et au bout d'un moment le bus est en effervescence. Aussi bien le chauffeur que son receveur font mine d'ignorer les réclamations et protestations des voyageurs. Ils ne démarrent que lorsqu'ils estiment après avoir demandé aux usagers de se «compresser» pour ne plus plus former qu'un magma humain, qu'ils ne peuvent plus faire monter ne serait-ce qu'un enfant ! Beaucoup de transporteurs ne voient nullement en leurs clients des êtres humains auxquels il faut accorder un minimum de respect, pour eux chaque usager représente le prix d'un billet (quand billet il y a) et rien d'autre. Cela ne s'arrête pas là puisque le calvaire des usagers continue et si un usager descend il est aussitôt remplacé par trois ou quatre autres personnes attendant dans les nombreux arrêts devant lesquels s'arrêtent immanquablement ces bus. Ainsi l'usager en attendant la mise en route du métro et du tramway continue à supporter ce calvaire quotidien pour lequel il est en plus contraint de payer ! Les Algérois continuent de souffrir de l'anarchie du transport public, et ce sur l'ensemble des stations de bus et lignes de transport dans la capitale. Non seulement les exploitants de ces bus n'assurent pas le moindre confort à leurs clients, mais en plus ils leur imposent leur loi seule et absolue. Dans les stations terminus une fois les bus pleins à craquer, le receveur et son chauffeur continuent encore d'ameuter les personnes de passage vociférant l'eternelle et même rengaine : «Rahou rayeh, atlaâ, rahou rayeh …», bien sûr le bus ne partira pas ou du moins pas avant d'interminables minutes et cette scène se répète, se répète, et se répète… quotidiennement et à longueur d'année. Les voyageurs stoiques le reste du temps le sont moins en période de jeûne et il n'est pas rare de les voir, ô surprise, se révolter contre le diktat des transporteurs. En effet le tension monte très rapidement et au bout d'un moment le bus est en effervescence. Aussi bien le chauffeur que son receveur font mine d'ignorer les réclamations et protestations des voyageurs. Ils ne démarrent que lorsqu'ils estiment après avoir demandé aux usagers de se «compresser» pour ne plus plus former qu'un magma humain, qu'ils ne peuvent plus faire monter ne serait-ce qu'un enfant ! Beaucoup de transporteurs ne voient nullement en leurs clients des êtres humains auxquels il faut accorder un minimum de respect, pour eux chaque usager représente le prix d'un billet (quand billet il y a) et rien d'autre. Cela ne s'arrête pas là puisque le calvaire des usagers continue et si un usager descend il est aussitôt remplacé par trois ou quatre autres personnes attendant dans les nombreux arrêts devant lesquels s'arrêtent immanquablement ces bus. Ainsi l'usager en attendant la mise en route du métro et du tramway continue à supporter ce calvaire quotidien pour lequel il est en plus contraint de payer !