Actuellement, l'Algérie n'exporte que 3% de produits hors hydrocarbures dont de nombreux produits sidérurgiques, pétrochimiques et trop peu de produits agricoles où les dattes arrivent au premier rang avec plus de 30 millions de dollars en termes d'exportation. Désormais, avec les allégements décidés par l'UE, cette situation pourrait s'améliorer. Les entreprises algériennes exportant des fruits et légumes frais vers les pays de l'Union européenne (UE) trouveront, désormais, des facilités afin de commercialiser leurs produits sur le vieux Continent. En effet, la Commission européenne vient de procéder à l'abrogation des normes de commercialisation inhérentes à la taille et à la forme de 26 types de produits agricoles dont la date d'entrée en vigueur de la nouvelle règlementation remonte au début juillet de l'année en cours. Les 26 types de fruits et légumes sont les abricots, artichauts, asperges, aubergines, avocats, haricots, choux de Bruxelles, carottes, choux-fleurs, cerises, courgettes, concombres, champignons de couche, aulx, noisettes en coque, choux pommés, poireaux, melons, oignons, pois, prunes, céleris à côtes, épinards, noix en coque, pastèques et chicorées Witloof. L'objectif essentiel de cette initiative consiste à réduire le gaspillage de produits comestibles et de permettre aux consommateurs un accès à une gamme de produits la plus large possible. L'Algérie, jadis pays à vocation agricole exportateur de fruits et légumes (agrumes et primeurs) vers la France et d'autres pays européens, n'arrive pas à l'autosuffisance aujourd'hui ! Elle n'exporte, en effet, que 3% de produits hors hydrocarbures dont de nombreux produits sidérurgiques, pétrochimiques et trop peu de produits agricoles où les dattes arrivent au premier rang avec plus de 30 millions de dollars en termes d'exportation. Le pays n'exporte que 14 à 15. 000 tonnes de dattes de la marque «deglet nour» alors le volume de production annuel de l'Algérie est évalué à plus de 200.000 tonnes. Mais, avec le précieux apport du programme d'Optimexport qui vient de prendre en charge 44 entreprises algériennes ayant des capacités d'exportation, les entreprisses triées sur le volet peuvent bien se positionner pour accroître leurs opportunités de conquérir le marché européen. Ainsi, l'entreprise dénommée Agroalimentaire et Produits agricoles ayant été retenue par Optimexport est en mesure de se placer sur les circuits commerciaux de l'espace euro-méditerranéen d'autant plus qu'elle bénéficie des services d'Optimexport consistant à développer l'offre d'informations commerciales à l'international tout en bénéficiant des séances de formation au métier d'exportateur et la professionnalisation aux techniques du commerce mondial de la filière fruits et légumes. L'accompagnement de cette entreprise sur le plan extérieur est notamment facilité pour la conquête du marché de la communauté européenne. Sachant que cette région du monde accapare 20% de la production mondiale de fruits et 15% de la production mondiale de légumes, les produits agricoles algériens bien prisés en Europe et jouissant d'une notoriété certaine, peuvent se placer aisément, pourvu que les paramètres et les impératifs inhérents au transport, à l'emballage, au conditionnement et au stockage soient sérieusement pris en considération. La plupart des opérateurs économiques nationaux spécialisés dans la commercialisation des fruits et légumes réclament, par ailleurs, des moyens de transport adéquats pour acheminer leurs produits en Europe. Plusieurs producteurs et entrepreneurs algériens ont pris part au premier Salon international des affaires de la filière fruits et légumes de l'Euro- Méditerranée du 28 au 30 avril 2009 au Languedoc Roussillon (France) avec les principaux pays de la rive sud de la Méditerranée. Sur 300 exposants, il y avait parmi les pays arabes, 17 entreprises marocaines, 7 libanaises, et 4 algériennes. Mais, avec l'abrogation des normes de commercialisation, le nombre d'entreprises nationales exportatrices pourrait augmenter. Le ministre du Commerce, Hachemi Djaaboub, estime que «la faiblesse et l'insuffisance des exportations hors hydrocarbures de l'Algérie, en dépit de ses énormes potentialités disponibles, sont dues au manque d'expérience des industriels et des producteurs, qui préfèrent stocker leurs marchandises au lieu de les commercialiser sur le marché extérieur». Actuellement, l'Algérie n'exporte que 3% de produits hors hydrocarbures dont de nombreux produits sidérurgiques, pétrochimiques et trop peu de produits agricoles où les dattes arrivent au premier rang avec plus de 30 millions de dollars en termes d'exportation. Désormais, avec les allégements décidés par l'UE, cette situation pourrait s'améliorer. Les entreprises algériennes exportant des fruits et légumes frais vers les pays de l'Union européenne (UE) trouveront, désormais, des facilités afin de commercialiser leurs produits sur le vieux Continent. En effet, la Commission européenne vient de procéder à l'abrogation des normes de commercialisation inhérentes à la taille et à la forme de 26 types de produits agricoles dont la date d'entrée en vigueur de la nouvelle règlementation remonte au début juillet de l'année en cours. Les 26 types de fruits et légumes sont les abricots, artichauts, asperges, aubergines, avocats, haricots, choux de Bruxelles, carottes, choux-fleurs, cerises, courgettes, concombres, champignons de couche, aulx, noisettes en coque, choux pommés, poireaux, melons, oignons, pois, prunes, céleris à côtes, épinards, noix en coque, pastèques et chicorées Witloof. L'objectif essentiel de cette initiative consiste à réduire le gaspillage de produits comestibles et de permettre aux consommateurs un accès à une gamme de produits la plus large possible. L'Algérie, jadis pays à vocation agricole exportateur de fruits et légumes (agrumes et primeurs) vers la France et d'autres pays européens, n'arrive pas à l'autosuffisance aujourd'hui ! Elle n'exporte, en effet, que 3% de produits hors hydrocarbures dont de nombreux produits sidérurgiques, pétrochimiques et trop peu de produits agricoles où les dattes arrivent au premier rang avec plus de 30 millions de dollars en termes d'exportation. Le pays n'exporte que 14 à 15. 000 tonnes de dattes de la marque «deglet nour» alors le volume de production annuel de l'Algérie est évalué à plus de 200.000 tonnes. Mais, avec le précieux apport du programme d'Optimexport qui vient de prendre en charge 44 entreprises algériennes ayant des capacités d'exportation, les entreprisses triées sur le volet peuvent bien se positionner pour accroître leurs opportunités de conquérir le marché européen. Ainsi, l'entreprise dénommée Agroalimentaire et Produits agricoles ayant été retenue par Optimexport est en mesure de se placer sur les circuits commerciaux de l'espace euro-méditerranéen d'autant plus qu'elle bénéficie des services d'Optimexport consistant à développer l'offre d'informations commerciales à l'international tout en bénéficiant des séances de formation au métier d'exportateur et la professionnalisation aux techniques du commerce mondial de la filière fruits et légumes. L'accompagnement de cette entreprise sur le plan extérieur est notamment facilité pour la conquête du marché de la communauté européenne. Sachant que cette région du monde accapare 20% de la production mondiale de fruits et 15% de la production mondiale de légumes, les produits agricoles algériens bien prisés en Europe et jouissant d'une notoriété certaine, peuvent se placer aisément, pourvu que les paramètres et les impératifs inhérents au transport, à l'emballage, au conditionnement et au stockage soient sérieusement pris en considération. La plupart des opérateurs économiques nationaux spécialisés dans la commercialisation des fruits et légumes réclament, par ailleurs, des moyens de transport adéquats pour acheminer leurs produits en Europe. Plusieurs producteurs et entrepreneurs algériens ont pris part au premier Salon international des affaires de la filière fruits et légumes de l'Euro- Méditerranée du 28 au 30 avril 2009 au Languedoc Roussillon (France) avec les principaux pays de la rive sud de la Méditerranée. Sur 300 exposants, il y avait parmi les pays arabes, 17 entreprises marocaines, 7 libanaises, et 4 algériennes. Mais, avec l'abrogation des normes de commercialisation, le nombre d'entreprises nationales exportatrices pourrait augmenter. Le ministre du Commerce, Hachemi Djaaboub, estime que «la faiblesse et l'insuffisance des exportations hors hydrocarbures de l'Algérie, en dépit de ses énormes potentialités disponibles, sont dues au manque d'expérience des industriels et des producteurs, qui préfèrent stocker leurs marchandises au lieu de les commercialiser sur le marché extérieur».