Quels que soient leurs auteurs, les rapports mondiaux sur l'utilisation des technologies de l'information et de la communication en Algérie se suivent et se ressemblent avec la particularité de classer à chaque fois notre pays dans des positions peu enviables par rapport à ses voisins du Maghreb. Le dernier en date, celui du Forum économique mondial sur l'usage des TIC dans le monde pour la période 2008-2009 positionnait l'Algérie à la 108e position sur 134 pays, alors qu'elle était 88e sur 127 pays entre 2007 et 2008 et qu'elle était 80e sur 122 nations entre 2006 et 2007. Ce qui a valu à l'Algérie d'être aussi loin dans ce classement, ce sont un certains nombre d'indicateurs que les auteurs du rapport ont pris en compte aussi bien sur le plan de l'accès aux TIC que de l'engagement des pouvoirs publics en faveur du développement de ces technologies. Ainsi, en matière de priorisation des TIC au niveau du gouvernement, l'Algérie n'occupe que la 85e place, et la 100e s'agissant de l'importance accordée à ces technologies dans la vision future de nos gouvernants. En matière d'usage individuel des TIC, l'Algérie occupe un classement global de 81e avec une place de 64e pour l'accès à la téléphonie mobile, 92e pour l'internet et 113e pour le micro-ordinateur. L'usage au niveau des entreprises est encore plus faible puisqu'il vaut à l'Algérie un classement global de 129e sur cet indicateur. Dans le détail, le rapport place notre pays dernier s'agissant de l'utilisation de l'Internet en affaire et 133e en ce qui concerne la capacité d'innovation des entreprises. Au niveau des services du gouvernement, le constat ne diffère pas davantage puisque notre pays est classé 120e en matière de disponibilité de services du gouvernement en ligne, 125e s'agissant de l'utilisation des TIC et de l'efficacité du gouvernement et 118e pour ce qui est de la présence des TIC dans les bureaux du gouvernement. Parmi les autres classements de l'Algérie dans ce rapport, figure une place de 107e en matière de concurrence dans le domaine de la fourniture de services internet, de 129e en matière de lois relatives aux TIC et de 120e s'agissant de la protection de la propriété intellectuelle. Le seul compartiment dans lequel l'Algérie est arrivé à faire bonne figure est celui de la disponibilité de scientifiques et d'ingénieurs en TIC qui place notre pays à la 41e place. Par rapport à ses voisins d'Afrique du Nord et autres pays arabes, l'Algérie, dans ce rapport, arrive loin derrière la Tunisie 34e et le Maroc 87e, alors que l'Egypte est 76e, le Koweït 57e et les Emirats Arabes Unis 27e. Quels que soient leurs auteurs, les rapports mondiaux sur l'utilisation des technologies de l'information et de la communication en Algérie se suivent et se ressemblent avec la particularité de classer à chaque fois notre pays dans des positions peu enviables par rapport à ses voisins du Maghreb. Le dernier en date, celui du Forum économique mondial sur l'usage des TIC dans le monde pour la période 2008-2009 positionnait l'Algérie à la 108e position sur 134 pays, alors qu'elle était 88e sur 127 pays entre 2007 et 2008 et qu'elle était 80e sur 122 nations entre 2006 et 2007. Ce qui a valu à l'Algérie d'être aussi loin dans ce classement, ce sont un certains nombre d'indicateurs que les auteurs du rapport ont pris en compte aussi bien sur le plan de l'accès aux TIC que de l'engagement des pouvoirs publics en faveur du développement de ces technologies. Ainsi, en matière de priorisation des TIC au niveau du gouvernement, l'Algérie n'occupe que la 85e place, et la 100e s'agissant de l'importance accordée à ces technologies dans la vision future de nos gouvernants. En matière d'usage individuel des TIC, l'Algérie occupe un classement global de 81e avec une place de 64e pour l'accès à la téléphonie mobile, 92e pour l'internet et 113e pour le micro-ordinateur. L'usage au niveau des entreprises est encore plus faible puisqu'il vaut à l'Algérie un classement global de 129e sur cet indicateur. Dans le détail, le rapport place notre pays dernier s'agissant de l'utilisation de l'Internet en affaire et 133e en ce qui concerne la capacité d'innovation des entreprises. Au niveau des services du gouvernement, le constat ne diffère pas davantage puisque notre pays est classé 120e en matière de disponibilité de services du gouvernement en ligne, 125e s'agissant de l'utilisation des TIC et de l'efficacité du gouvernement et 118e pour ce qui est de la présence des TIC dans les bureaux du gouvernement. Parmi les autres classements de l'Algérie dans ce rapport, figure une place de 107e en matière de concurrence dans le domaine de la fourniture de services internet, de 129e en matière de lois relatives aux TIC et de 120e s'agissant de la protection de la propriété intellectuelle. Le seul compartiment dans lequel l'Algérie est arrivé à faire bonne figure est celui de la disponibilité de scientifiques et d'ingénieurs en TIC qui place notre pays à la 41e place. Par rapport à ses voisins d'Afrique du Nord et autres pays arabes, l'Algérie, dans ce rapport, arrive loin derrière la Tunisie 34e et le Maroc 87e, alors que l'Egypte est 76e, le Koweït 57e et les Emirats Arabes Unis 27e.