L'environnement des affaires en Algérie s'est encore détérioré durant l'année écoulée, à en croire le nouveau rapport de la Banque Mondiale sur la pratique des affaires dans le monde, Doing Business 2010, qui vient d'être publié. L'environnement des affaires en Algérie s'est encore détérioré durant l'année écoulée, à en croire le nouveau rapport de la Banque Mondiale sur la pratique des affaires dans le monde, Doing Business 2010, qui vient d'être publié. Selon l'institution financière internationale, il faut 14 étapes, 24 jours, et un capital équivalent à 31 % du revenu par habitant pour pouvoir créer une société en Algérie. L'environnement des affaires en Algérie s'est encore détérioré durant l'année écoulée à en croire le nouveau rapport de la Banque Mondiale sur la pratique des affaires dans le monde, Doing Business 2010 qui vient d'être publié. D'après ce document, l'Algérie a perdu deux places par rapport au classement de l'année dernière passant de la 134e à la 136e position. Notre pays a rétrogradé dans le classement sur cinq des dix indicateurs pris en considération par la banque, à savoir la création d'entreprise (-7), l'embauche des travailleurs (-5), l'obtention des prêts (-4), la protection des investisseurs (-3) et le commerce frontalier (-2). En revanche, l'Algérie a amélioré son classement en matière d'embauche des travailleurs, de transfert de propriété et d'exécution des contrats. Le rapport de l'institution internationale démontre que c'est en matière de création d'entreprises qu'il y a le plus de carences. En effet, selon le document, il faut 14 étapes, 24 jours, et un capital équivalent à 31 % du revenu par habitant pour pouvoir créer une société en Algérie. Par ailleurs, en matière de recrutement, l'Algérie obtient un indice de difficulté de 44 sur une note maximale de 100, alors qu'en ce qui concerne la protection des investisseurs, la BM attribue à notre paye un indice de 6 sur 10 en ce qui concerne le degré de divulgation des informations. S'agissant du commerce transfrontalier, les performances de l'Algérie sont également en détérioration puisque la Banque observe qu'il faut 8 documents, 17 jours et plus de 1.200 dollars par conteneur pour effectuer une opération d'exportation, alors qu'il faut 9 documents, 23 jours et plus de 1400 dollars par conteneur pour une opération d'importation. Dans la région du Moyen Orient et d'Afrique du Nord, l'Algérie n'arrive que 14e sur une lise de 19 pays, devancée par la Tunisie (8e), l'Egypte (11e) et le Maroc (13e). Globalement, le rapport 2010 de la Banque mondiale, note qu'un nombre record de 131 pays du monde ont réformé leurs réglementations des affaires en 2008-2009. Ce nombre représente plus de 70% des 183 pays faisant l'objet du rapport, soit la proportion annuelle la plus importante depuis que le rapport annuel a été publié pour la première fois en 2004. De plus, ce progrès a été réalisé sur fond de crise économique mondiale. Doing Business 2010 a recensé 287 réformes entre juin 2008 et mai 2009, soit une hausse de 20% par rapport à l'année précédente. Les pays réformateurs ont concentré leurs efforts sur la facilitation de la création et de l'opération des entreprises, le renforcement des droits de propriété intellectuelle et l'amélioration de l'efficacité de la résolution des conflits commerciaux et des procédures de faillite. Selon les auteurs du rapport, «la réglementation des affaires peut avoir une incidence sur la manière dont les entreprises font face à la crise et sur leur capacité à tirer partie des occasions qui se présenteront lorsque la reprise aura lieu ». Selon l'institution financière internationale, il faut 14 étapes, 24 jours, et un capital équivalent à 31 % du revenu par habitant pour pouvoir créer une société en Algérie. L'environnement des affaires en Algérie s'est encore détérioré durant l'année écoulée à en croire le nouveau rapport de la Banque Mondiale sur la pratique des affaires dans le monde, Doing Business 2010 qui vient d'être publié. D'après ce document, l'Algérie a perdu deux places par rapport au classement de l'année dernière passant de la 134e à la 136e position. Notre pays a rétrogradé dans le classement sur cinq des dix indicateurs pris en considération par la banque, à savoir la création d'entreprise (-7), l'embauche des travailleurs (-5), l'obtention des prêts (-4), la protection des investisseurs (-3) et le commerce frontalier (-2). En revanche, l'Algérie a amélioré son classement en matière d'embauche des travailleurs, de transfert de propriété et d'exécution des contrats. Le rapport de l'institution internationale démontre que c'est en matière de création d'entreprises qu'il y a le plus de carences. En effet, selon le document, il faut 14 étapes, 24 jours, et un capital équivalent à 31 % du revenu par habitant pour pouvoir créer une société en Algérie. Par ailleurs, en matière de recrutement, l'Algérie obtient un indice de difficulté de 44 sur une note maximale de 100, alors qu'en ce qui concerne la protection des investisseurs, la BM attribue à notre paye un indice de 6 sur 10 en ce qui concerne le degré de divulgation des informations. S'agissant du commerce transfrontalier, les performances de l'Algérie sont également en détérioration puisque la Banque observe qu'il faut 8 documents, 17 jours et plus de 1.200 dollars par conteneur pour effectuer une opération d'exportation, alors qu'il faut 9 documents, 23 jours et plus de 1400 dollars par conteneur pour une opération d'importation. Dans la région du Moyen Orient et d'Afrique du Nord, l'Algérie n'arrive que 14e sur une lise de 19 pays, devancée par la Tunisie (8e), l'Egypte (11e) et le Maroc (13e). Globalement, le rapport 2010 de la Banque mondiale, note qu'un nombre record de 131 pays du monde ont réformé leurs réglementations des affaires en 2008-2009. Ce nombre représente plus de 70% des 183 pays faisant l'objet du rapport, soit la proportion annuelle la plus importante depuis que le rapport annuel a été publié pour la première fois en 2004. De plus, ce progrès a été réalisé sur fond de crise économique mondiale. Doing Business 2010 a recensé 287 réformes entre juin 2008 et mai 2009, soit une hausse de 20% par rapport à l'année précédente. Les pays réformateurs ont concentré leurs efforts sur la facilitation de la création et de l'opération des entreprises, le renforcement des droits de propriété intellectuelle et l'amélioration de l'efficacité de la résolution des conflits commerciaux et des procédures de faillite. Selon les auteurs du rapport, «la réglementation des affaires peut avoir une incidence sur la manière dont les entreprises font face à la crise et sur leur capacité à tirer partie des occasions qui se présenteront lorsque la reprise aura lieu ».