La majorité des enseignants, personnel administratif, mais aussi directeurs d'établissements scolaires à l'instar des lycées Hassiba Ben-Bouali, Baba Aroudj et Kheireddine Barberousse ou encore Ali Zaâmoum, étaient présents hier au sein de leurs établissements pour accueillir la nouvelle rentrée scolaire 2009-2010. Alors que les différents syndicats de l'enseignement appellent au boycott de la rentrée scolaire, la date du nouveau cursus a été respectée dans ces établissements où tout s'annonce, visiblement, sans la moindre perturbation ou menace de grève. Pourtant, selon le Conseil des lycées d'Alger : Cla, le boycott a bien eu lieu et représenterait une réelle réussite pour les syndicats, et ce à travers l'ensemble du territoire national. Le représentant du Cla, Idir Achour affirme, à cet effet, que plus de 16.000 enseignants ont observé la grève et sont prêts à adhérer, éventuellement à de nouvelles actions de protestation pour dénoncer l'indifférence des services publics face à la revendication de leurs droits. «Nous sommes satisfaits du fait que 50% des enseignants de lycées aient répondu favorablement à notre appel concernant cette journée de protestation. Nous restons solidaires de tous les syndicats afin de continuer, et à travers une seule alliance, à protester contre toute sorte d'injustice», a ajouté, M. Achour. Il a insisté, disant encore que ce boycott ne constitue qu'un «avertissement» et sera suivi d'un programme d'actions représenté par les mouvements syndicaux au cours des différentes rencontres-débats. En prenant conscience des conséquences de cette action sur les élèves, mais aussi sur les professeurs, le Cla a appelé, à l'occasion, les parents à adhérer à cette politique afin de «pouvoir résoudre ensemble ce problème qui se veut de taille, et qui représente une réelle menace pour les deux parties». M. Achour a pris, l'exemple de l'examen de baccalauréat pour rappeler que l'année scolaire 2008-2009 s'était soldée par un taux de réussite catastrophique de l'ordre de 36%, loin des 45% annoncé par le département de Benbouzid qui n'a comptabilisé que les candidats scolarisés, sans tenir compte des abandons et de l'absentéisme. M. Achour a attiré l'attention des parents pour dire que ce taux d'échec se répercutera sur l'année 2009-2010, du fait de la surcharge des classes de terminale, qui en découlera et qui aura, par ailleurs des retombées sur les autres classes. La majorité des enseignants, personnel administratif, mais aussi directeurs d'établissements scolaires à l'instar des lycées Hassiba Ben-Bouali, Baba Aroudj et Kheireddine Barberousse ou encore Ali Zaâmoum, étaient présents hier au sein de leurs établissements pour accueillir la nouvelle rentrée scolaire 2009-2010. Alors que les différents syndicats de l'enseignement appellent au boycott de la rentrée scolaire, la date du nouveau cursus a été respectée dans ces établissements où tout s'annonce, visiblement, sans la moindre perturbation ou menace de grève. Pourtant, selon le Conseil des lycées d'Alger : Cla, le boycott a bien eu lieu et représenterait une réelle réussite pour les syndicats, et ce à travers l'ensemble du territoire national. Le représentant du Cla, Idir Achour affirme, à cet effet, que plus de 16.000 enseignants ont observé la grève et sont prêts à adhérer, éventuellement à de nouvelles actions de protestation pour dénoncer l'indifférence des services publics face à la revendication de leurs droits. «Nous sommes satisfaits du fait que 50% des enseignants de lycées aient répondu favorablement à notre appel concernant cette journée de protestation. Nous restons solidaires de tous les syndicats afin de continuer, et à travers une seule alliance, à protester contre toute sorte d'injustice», a ajouté, M. Achour. Il a insisté, disant encore que ce boycott ne constitue qu'un «avertissement» et sera suivi d'un programme d'actions représenté par les mouvements syndicaux au cours des différentes rencontres-débats. En prenant conscience des conséquences de cette action sur les élèves, mais aussi sur les professeurs, le Cla a appelé, à l'occasion, les parents à adhérer à cette politique afin de «pouvoir résoudre ensemble ce problème qui se veut de taille, et qui représente une réelle menace pour les deux parties». M. Achour a pris, l'exemple de l'examen de baccalauréat pour rappeler que l'année scolaire 2008-2009 s'était soldée par un taux de réussite catastrophique de l'ordre de 36%, loin des 45% annoncé par le département de Benbouzid qui n'a comptabilisé que les candidats scolarisés, sans tenir compte des abandons et de l'absentéisme. M. Achour a attiré l'attention des parents pour dire que ce taux d'échec se répercutera sur l'année 2009-2010, du fait de la surcharge des classes de terminale, qui en découlera et qui aura, par ailleurs des retombées sur les autres classes.