Le chef de l'Etat s'est intéressé à la question des réformes engagées dans le secteur et qui ne connaissent pas le rythme souhaité. Pour pallier ce déficit, il a demandé au gouvernement «de poursuivre et d'intensifier les réformes engagées au niveau de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur. Le chef de l'Etat s'est intéressé à la question des réformes engagées dans le secteur et qui ne connaissent pas le rythme souhaité. Pour pallier ce déficit, il a demandé au gouvernement «de poursuivre et d'intensifier les réformes engagées au niveau de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur. Poursuivant le cycle des auditions des ministres, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a présidé une réunion d'évaluation du secteur de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Le chef de l'Etat s'est intéressé à la question des réformes , engagées dans le secteur, et qui ne connaissent pas le rythme souhaité. Pour pallier ce déficit, il a demandé au gouvernement «de poursuivre et d'intensifier les réformes engagées au niveau de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur, en vue de promouvoir les disciplines scientifiques et techniques», réaffirmant «la détermination de l'Etat à réunir tous les moyens pour l'amélioration de la qualité de la formation et de l'encadrement». Par la même occasion, il a tenu à assurer les enseignants-chercheurs qu'il leur sera offert un environnement socio-professionnel, à même de leur permettre d'assurer leur mission dans les meilleures conditions. L'effectif des étudiants attendu, à l'occasion de la rentrée universitaire, tous cycles confondus, est estimé à 1.164.137 étudiants parmi lesquels 134.981 nouveaux bacheliers, dont 57,7% sont des filles. Ces effectifs seront encadrés par près de 35.000 enseignants, dont près de 7.000 de rang magistral, avec un taux moyen d'encadrement de l'ordre de 1 enseignant pour 30 étudiants. Abordant la performance de l'université algérienne, Abdelaziz Bouteflika fera remarquer que le développement économique et technique exige des compétences et des spécialités de haut niveau que l'université doit lui offrir. En définitive, souligne-t-il, «cette adéquation des flux de formation avec les besoins exprimés par la société et l'économie sera à même de renforcer la synergie entre l'université et son environnement national, tout comme elle facilitera l'accès des diplômés universitaires au marché du travail», assurant que «les efforts consentis par l'Etat seront poursuivis au profit de la recherche scientifique et du développement technologique». Rappelant la nécessité, pour le secteur, «de veiller au parachèvement de la construction du système national de la recherche afin de permettre à notre pays de s'inscrire dans le mouvement universel du développement qui s'appuie principalement sur l'économie de la connaissance», le chef de l'Etat, recommande à ce que «le secteur doit veiller, à travers ses actions, à décloisonner la recherche universitaire et s'ouvrir sur les entreprises et les institutions sociales». Abdelaziz Bouteflika a tenu à rassurer la communauté estudiantine de «la volonté de l'Etat à poursuivre les efforts d'amélioration des conditions d'études et de vie des étudiants». Il a ainsi insisté sur «l'impérieuse nécessité de réaliser les infrastructures dans les délais impartis», tout en accordant «une place prépondérante aux aspects architecturaux, esthétiques et environnementaux des ouvrages». L'année universitaire 2009-2010 sera marquée, notamment, par l'extension du système LMD à travers l'ouverture de nouvelles licences, de nouveaux masters et du cycle de doctorat qui vient parachever la nouvelle architecture des enseignements, et verra l'ouverture des classes préparatoires et de nouvelles écoles nationales supérieures ainsi que des filières du recrutement national. Poursuivant le cycle des auditions des ministres, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a présidé une réunion d'évaluation du secteur de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Le chef de l'Etat s'est intéressé à la question des réformes , engagées dans le secteur, et qui ne connaissent pas le rythme souhaité. Pour pallier ce déficit, il a demandé au gouvernement «de poursuivre et d'intensifier les réformes engagées au niveau de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur, en vue de promouvoir les disciplines scientifiques et techniques», réaffirmant «la détermination de l'Etat à réunir tous les moyens pour l'amélioration de la qualité de la formation et de l'encadrement». Par la même occasion, il a tenu à assurer les enseignants-chercheurs qu'il leur sera offert un environnement socio-professionnel, à même de leur permettre d'assurer leur mission dans les meilleures conditions. L'effectif des étudiants attendu, à l'occasion de la rentrée universitaire, tous cycles confondus, est estimé à 1.164.137 étudiants parmi lesquels 134.981 nouveaux bacheliers, dont 57,7% sont des filles. Ces effectifs seront encadrés par près de 35.000 enseignants, dont près de 7.000 de rang magistral, avec un taux moyen d'encadrement de l'ordre de 1 enseignant pour 30 étudiants. Abordant la performance de l'université algérienne, Abdelaziz Bouteflika fera remarquer que le développement économique et technique exige des compétences et des spécialités de haut niveau que l'université doit lui offrir. En définitive, souligne-t-il, «cette adéquation des flux de formation avec les besoins exprimés par la société et l'économie sera à même de renforcer la synergie entre l'université et son environnement national, tout comme elle facilitera l'accès des diplômés universitaires au marché du travail», assurant que «les efforts consentis par l'Etat seront poursuivis au profit de la recherche scientifique et du développement technologique». Rappelant la nécessité, pour le secteur, «de veiller au parachèvement de la construction du système national de la recherche afin de permettre à notre pays de s'inscrire dans le mouvement universel du développement qui s'appuie principalement sur l'économie de la connaissance», le chef de l'Etat, recommande à ce que «le secteur doit veiller, à travers ses actions, à décloisonner la recherche universitaire et s'ouvrir sur les entreprises et les institutions sociales». Abdelaziz Bouteflika a tenu à rassurer la communauté estudiantine de «la volonté de l'Etat à poursuivre les efforts d'amélioration des conditions d'études et de vie des étudiants». Il a ainsi insisté sur «l'impérieuse nécessité de réaliser les infrastructures dans les délais impartis», tout en accordant «une place prépondérante aux aspects architecturaux, esthétiques et environnementaux des ouvrages». L'année universitaire 2009-2010 sera marquée, notamment, par l'extension du système LMD à travers l'ouverture de nouvelles licences, de nouveaux masters et du cycle de doctorat qui vient parachever la nouvelle architecture des enseignements, et verra l'ouverture des classes préparatoires et de nouvelles écoles nationales supérieures ainsi que des filières du recrutement national.