Les cours du pétrole baissaient légèrement, hier matin, en attendant la publication des chiffres des stocks pétroliers aux Etats-Unis, et surtout les commentaires de la Réserve fédérale américaine, qui achève une réunion de deux jours. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre perdait 53 cents par rapport à la clôture de lundi à 70 dollars. A New York, le brut léger texan (WTI) pour livraison en novembre (premier jour de cotation de ce contrat) cédait 40 cents à 71,36 dollars. Le marché du pétrole attend le communiqué final de la Banque centrale américaine, prévu pour hier mercredi, les indications que pourrait fournir la Fed sur la manière dont elle compte mettre un terme à son immense plan de soutien monétaire contre la crise pourraient jouer sur la valeur du dollar. Or, les variations du billet vert influencent directement les transactions de pétrole. La veille, un accès de faiblesse du dollar, tombé à son niveau le plus bas depuis un an face à l'euro, avait permis au baril de brut de reprendre près de deux dollars, après trois séances consécutives de repli. Les inquiétudes sur la faiblesse persistante de la demande avaient toutefois été partiellement dissipées mardi par de bons chiffres sur l'importation chinoise de brut, qui ont progressé de 18% au mois d'août. Les analystes anticipent une poursuite de la tendance des cinq dernières semaines : une baisse des stocks de brut, compensée par une hausse des réserves de produits pétroliers. Selon eux, le Département américain de l'Energie pourrait annoncer une baisse de 1,5 million de barils (mb) des stocks de brut, assortie d'une progression des réserves d'essence (+400.000 barils) et de distillats (+1,6 mb). Les cours du pétrole baissaient légèrement, hier matin, en attendant la publication des chiffres des stocks pétroliers aux Etats-Unis, et surtout les commentaires de la Réserve fédérale américaine, qui achève une réunion de deux jours. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre perdait 53 cents par rapport à la clôture de lundi à 70 dollars. A New York, le brut léger texan (WTI) pour livraison en novembre (premier jour de cotation de ce contrat) cédait 40 cents à 71,36 dollars. Le marché du pétrole attend le communiqué final de la Banque centrale américaine, prévu pour hier mercredi, les indications que pourrait fournir la Fed sur la manière dont elle compte mettre un terme à son immense plan de soutien monétaire contre la crise pourraient jouer sur la valeur du dollar. Or, les variations du billet vert influencent directement les transactions de pétrole. La veille, un accès de faiblesse du dollar, tombé à son niveau le plus bas depuis un an face à l'euro, avait permis au baril de brut de reprendre près de deux dollars, après trois séances consécutives de repli. Les inquiétudes sur la faiblesse persistante de la demande avaient toutefois été partiellement dissipées mardi par de bons chiffres sur l'importation chinoise de brut, qui ont progressé de 18% au mois d'août. Les analystes anticipent une poursuite de la tendance des cinq dernières semaines : une baisse des stocks de brut, compensée par une hausse des réserves de produits pétroliers. Selon eux, le Département américain de l'Energie pourrait annoncer une baisse de 1,5 million de barils (mb) des stocks de brut, assortie d'une progression des réserves d'essence (+400.000 barils) et de distillats (+1,6 mb).