Les cours du pétrole cédaient du terrain, hier matin, à l'ouverture des séances de cotations dans le sillage des marchés boursiers et de l'euro, qui baissaient fortement dans un contexte marqué par les craintes avant la réunion de la Réserve fédérale américaine. Le baril de Brent de la mer du Nord, échangé à Londres (livraison en décembre) perdait 73 cents à 75,82 dollars. A New York, le baril de "light sweet crude" (même échéance) cédait 84 cents à 77,29 dollars. Les cours du brut étaient entraînés dans le sillage des Bourses européennes, qui chutaient brutalement. Le Footsie de Londres reculant sous les 5.000 points pour la première fois depuis le 5 octobre, le CAC de Paris lâchant plus de 2%. Les mouvements du pétrole progressent actuellement au rythme de ceux des marchés d'actions mais aussi de l'euro, des placements jugés risqués, et ils évoluent à l'inverse du dollar, considéré comme valeur refuge. Un bond des prix du brut à 82 dollars le 21 octobre avait ainsi coïncidé avec une envolée de l'euro à plus de 1,50 dollar pour un euro. La nervosité des investisseurs était renforcée par l'anticipation d'une nouvelle hausse des réserves pétrolières aux Etats-Unis, qui pourrait confirmer la faiblesse du marché physique, toujours accablé de stocks pléthoriques. Selon les analystes, le Département américain de l'énergie (DoE) pourrait annoncer mercredi une progression des stocks de brut, de 1,8 million de barils, ainsi qu'une montée des réserves d'essence, de 500.000 barils. Les analystes estiment que les stocks de distillats devraient rester stables. Autre facteur d'influence sur les cours, les décisions de la réserve fédérale américaine Fed qui entame aujourd'hui sa réunion de politique monétaire, dont les conclusions seront connues le même jour. Les cours du pétrole cédaient du terrain, hier matin, à l'ouverture des séances de cotations dans le sillage des marchés boursiers et de l'euro, qui baissaient fortement dans un contexte marqué par les craintes avant la réunion de la Réserve fédérale américaine. Le baril de Brent de la mer du Nord, échangé à Londres (livraison en décembre) perdait 73 cents à 75,82 dollars. A New York, le baril de "light sweet crude" (même échéance) cédait 84 cents à 77,29 dollars. Les cours du brut étaient entraînés dans le sillage des Bourses européennes, qui chutaient brutalement. Le Footsie de Londres reculant sous les 5.000 points pour la première fois depuis le 5 octobre, le CAC de Paris lâchant plus de 2%. Les mouvements du pétrole progressent actuellement au rythme de ceux des marchés d'actions mais aussi de l'euro, des placements jugés risqués, et ils évoluent à l'inverse du dollar, considéré comme valeur refuge. Un bond des prix du brut à 82 dollars le 21 octobre avait ainsi coïncidé avec une envolée de l'euro à plus de 1,50 dollar pour un euro. La nervosité des investisseurs était renforcée par l'anticipation d'une nouvelle hausse des réserves pétrolières aux Etats-Unis, qui pourrait confirmer la faiblesse du marché physique, toujours accablé de stocks pléthoriques. Selon les analystes, le Département américain de l'énergie (DoE) pourrait annoncer mercredi une progression des stocks de brut, de 1,8 million de barils, ainsi qu'une montée des réserves d'essence, de 500.000 barils. Les analystes estiment que les stocks de distillats devraient rester stables. Autre facteur d'influence sur les cours, les décisions de la réserve fédérale américaine Fed qui entame aujourd'hui sa réunion de politique monétaire, dont les conclusions seront connues le même jour.