Les parents d'élèves scolarisés au sein de l'établissement Slimane-Amirat de Dar El-Beïda ont unanimement exprimé leur refus des horaires des cours. En effet avoir classe le samedi matin signifie une perturbation du week-end des parents. Les chamboulements causés par le passage au week-end semi-universel se manifestent encore. Le calendrier horaire est trop chargé, et les enfants n'ont plus droit à leur week-end. Les parents d'élèves scolarisés au sein de l'établissement Slimane-Amirat de Dar El-Beïda ont unanimement exprimé leur refus des horaires des cours. En effet avoir classe le samedi matin signifie une perturbation du week-end des parents. Les chamboulements causés par le passage au week-end semi-universel se manifestent encore. Le calendrier horaire est trop chargé, et les enfants n'ont plus droit à leur week-end. Le repos des deux journées des vendredi et samedi institué par Benbouzid ne profite pas à tous les établissements scolaires. En effet, les écoles à double vacation sont contraintes de travailler le samedi matin et même le mardi après-midi pour achever le programme à temps. Rencontrés hier au seuil de l'école primaire Slimane-Amirat située à Dar El Beida, les parents d'élèves scolarisés dans cet établissement ont unanimement exprimé leur refus des horaires des cours. Cette école à double vacation ne libère les écoliers, en effet, qu'à 17h30, chose qui ne plait guère aux parents, vu le risque encouru par ces chérubins, surtout que plusieurs d'entre eux résident à 3 ou 4 km de l'école. De plus, avoir classe le samedi matin signifie une perturbation du week-end des parents. Les chamboulements causés par le passage au week-end semi-universel se manifestent encore. «Le calendrier horaire est trop chargé, nos enfants n'ont plus droit au week-end», a déploré un père rencontré sur les lieux. Il ajoute «ce programme chargé pénalise aussi bien l'enfant, ses parents, que le personnel». Les parents d'élèves de cette école et ceux de l'école voisine «18-Février», vivant le même calvaire, ne comptent pas se taire. «Nous allons nous organiser et saisir toutes les parties concernées pour que nos enfants puissent enfin étudier normalement. Même des auvents pour les abriter de la pluie à la sortie de l'école tardent à venir», a déclaré un parent d'élève. Ces derniers ont suggéré, comme solution urgente, l'installation d'un nombre de classes en préfabriqué. Interrogé sur cette situation, le directeur de l'école, Belkadi Bessaoud, a affirmé que la situation résulte d'une surcharge générée par l'insuffisance des infrastructures. Cet établissement, à l'instar de beaucoup d'autres, se trouve à assurer les cours de quatre classes pour chaque niveau et deux pour la classe préparatoire. Ainsi les cours sont continuellement dispensés de l'ordre de deux heures et demie la séance répartis de 8h à 17h30. Cette école primaire compte plus de 700 élèves distribués sur 12 classes. Ils sont encadrés par 25 enseignants en langue arabe, et seulement 3 en français. Ce qui donne une moyenne de 28 élèves pour les premiers et 233 pour les seconds. «Nous sommes obligés d'agir de cette manière pour terminer le programme», a expliqué le directeur. Ce dernier n'a pas hésité à pointer du doigt l'APC laquelle, selon lui, «a gelé, depuis une année, le projet de construction de classes supplémentaires sur le terrain même de l'école afin de mettre un terme à cette situation». Il est à rappeler que les écoles à double vacation sont régies par la circulaire 146-002-09 signée par la Direction de l'enseignement élémentaire. Ces établissement scolaires sont appelés, via ce texte, à prolonger si nécessaire leur cours jusqu'au samedi, pourvu que l'intérêt éducatif de l'élève ne soit pas perturbé. Chose que mettent en doute plusieurs syndicats et associations. Le repos des deux journées des vendredi et samedi institué par Benbouzid ne profite pas à tous les établissements scolaires. En effet, les écoles à double vacation sont contraintes de travailler le samedi matin et même le mardi après-midi pour achever le programme à temps. Rencontrés hier au seuil de l'école primaire Slimane-Amirat située à Dar El Beida, les parents d'élèves scolarisés dans cet établissement ont unanimement exprimé leur refus des horaires des cours. Cette école à double vacation ne libère les écoliers, en effet, qu'à 17h30, chose qui ne plait guère aux parents, vu le risque encouru par ces chérubins, surtout que plusieurs d'entre eux résident à 3 ou 4 km de l'école. De plus, avoir classe le samedi matin signifie une perturbation du week-end des parents. Les chamboulements causés par le passage au week-end semi-universel se manifestent encore. «Le calendrier horaire est trop chargé, nos enfants n'ont plus droit au week-end», a déploré un père rencontré sur les lieux. Il ajoute «ce programme chargé pénalise aussi bien l'enfant, ses parents, que le personnel». Les parents d'élèves de cette école et ceux de l'école voisine «18-Février», vivant le même calvaire, ne comptent pas se taire. «Nous allons nous organiser et saisir toutes les parties concernées pour que nos enfants puissent enfin étudier normalement. Même des auvents pour les abriter de la pluie à la sortie de l'école tardent à venir», a déclaré un parent d'élève. Ces derniers ont suggéré, comme solution urgente, l'installation d'un nombre de classes en préfabriqué. Interrogé sur cette situation, le directeur de l'école, Belkadi Bessaoud, a affirmé que la situation résulte d'une surcharge générée par l'insuffisance des infrastructures. Cet établissement, à l'instar de beaucoup d'autres, se trouve à assurer les cours de quatre classes pour chaque niveau et deux pour la classe préparatoire. Ainsi les cours sont continuellement dispensés de l'ordre de deux heures et demie la séance répartis de 8h à 17h30. Cette école primaire compte plus de 700 élèves distribués sur 12 classes. Ils sont encadrés par 25 enseignants en langue arabe, et seulement 3 en français. Ce qui donne une moyenne de 28 élèves pour les premiers et 233 pour les seconds. «Nous sommes obligés d'agir de cette manière pour terminer le programme», a expliqué le directeur. Ce dernier n'a pas hésité à pointer du doigt l'APC laquelle, selon lui, «a gelé, depuis une année, le projet de construction de classes supplémentaires sur le terrain même de l'école afin de mettre un terme à cette situation». Il est à rappeler que les écoles à double vacation sont régies par la circulaire 146-002-09 signée par la Direction de l'enseignement élémentaire. Ces établissement scolaires sont appelés, via ce texte, à prolonger si nécessaire leur cours jusqu'au samedi, pourvu que l'intérêt éducatif de l'élève ne soit pas perturbé. Chose que mettent en doute plusieurs syndicats et associations.