Le Fonds monétaire international (FMI) prévoit un taux de croissance positif pour l'Algérie sur les deux années 2009 et 2010. C'est ce qu'a indiqué cette institution financière internationale dans son dernier rapport, publié jeudi, à la veille de la tenue des assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale à Istanbul en Turquie. En effet, le FMI, qui maintient pratiquement les mêmes prévisions de croissance pour l'Algérie faites en avril dernier, a indiqué que le taux de croissance devrait s'établir à +2,1% en 2009 pour remonter à +3,7% en 2010. Par ailleurs, pour l'ensemble des pays africains exportateurs de pétrole, il prévoit un taux de croissance positif de +2,2% en 2009 et de +5,1% en 2010. Alors que pour les importateurs du pétrole, le Fonds table également sur une croissance positive avec +1,4% pour l'année en cours et +3,3% pour 2010. S'agissant du continent africain, l'institution de Bretton Woods prévoit un taux de croissance de +1,7% en 2009 et de +4% en 2010. En outre, le Fonds a révisé à la hausse ses estimations de croissance pour l'économie du Moyen-Orient qui évoluerait au rythme de près de 4,5% en 2010 contre 3,7% estimé en juillet, et de 2% en 2009. Les économies de cette région sont particulièrement dépendantes du prix du pétrole, tant pour les pays exportateurs qu'importateurs. A l'échelle mondiale, le FMI a relevé sa prévision pour 2010, tablant sur 3,1% de croissance contre 2,5% dans ses prévisions faites en juillet dernier. En 2009, l'économie mondiale devrait avoir connu sa pire année depuis la Seconde Guerre mondiale, avec un produit intérieur brut en recul (-1,1%). Ceci dit, la reprise prévue en 2010 est tirée par les performances solides des économies asiatiques et une stabilisation ou une reprise modeste ailleurs, a indiqué le rapport. Les économies en développement devraient ainsi connaître une croissance beaucoup plus forte (5,1%) que les pays développés (1,3%). Celle de l'Asie en développement (7,3%) contrasterait avec celle des Etats-Unis (1,5%), du Japon (1,7%) et surtout de la zone euro (0,3%). A ce titre, FMI affirme que la Chine resterait «leader» du monde de la croissance, avec un taux estimé à 9%. En revanche, le Fonds prévoit une reprise économique plus lente et explique cela par, notamment, les systèmes financiers qui restent endommagés, le soutien du secteur public qui devra progressivement être retiré, les ménages dans les économies qui ont subi un effondrement du prix des actifs continueront à reconstituer leur épargne. Le Fonds monétaire international (FMI) prévoit un taux de croissance positif pour l'Algérie sur les deux années 2009 et 2010. C'est ce qu'a indiqué cette institution financière internationale dans son dernier rapport, publié jeudi, à la veille de la tenue des assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale à Istanbul en Turquie. En effet, le FMI, qui maintient pratiquement les mêmes prévisions de croissance pour l'Algérie faites en avril dernier, a indiqué que le taux de croissance devrait s'établir à +2,1% en 2009 pour remonter à +3,7% en 2010. Par ailleurs, pour l'ensemble des pays africains exportateurs de pétrole, il prévoit un taux de croissance positif de +2,2% en 2009 et de +5,1% en 2010. Alors que pour les importateurs du pétrole, le Fonds table également sur une croissance positive avec +1,4% pour l'année en cours et +3,3% pour 2010. S'agissant du continent africain, l'institution de Bretton Woods prévoit un taux de croissance de +1,7% en 2009 et de +4% en 2010. En outre, le Fonds a révisé à la hausse ses estimations de croissance pour l'économie du Moyen-Orient qui évoluerait au rythme de près de 4,5% en 2010 contre 3,7% estimé en juillet, et de 2% en 2009. Les économies de cette région sont particulièrement dépendantes du prix du pétrole, tant pour les pays exportateurs qu'importateurs. A l'échelle mondiale, le FMI a relevé sa prévision pour 2010, tablant sur 3,1% de croissance contre 2,5% dans ses prévisions faites en juillet dernier. En 2009, l'économie mondiale devrait avoir connu sa pire année depuis la Seconde Guerre mondiale, avec un produit intérieur brut en recul (-1,1%). Ceci dit, la reprise prévue en 2010 est tirée par les performances solides des économies asiatiques et une stabilisation ou une reprise modeste ailleurs, a indiqué le rapport. Les économies en développement devraient ainsi connaître une croissance beaucoup plus forte (5,1%) que les pays développés (1,3%). Celle de l'Asie en développement (7,3%) contrasterait avec celle des Etats-Unis (1,5%), du Japon (1,7%) et surtout de la zone euro (0,3%). A ce titre, FMI affirme que la Chine resterait «leader» du monde de la croissance, avec un taux estimé à 9%. En revanche, le Fonds prévoit une reprise économique plus lente et explique cela par, notamment, les systèmes financiers qui restent endommagés, le soutien du secteur public qui devra progressivement être retiré, les ménages dans les économies qui ont subi un effondrement du prix des actifs continueront à reconstituer leur épargne.