Un colloque intitulé, «Les rencontres franco-algériennes des céréales» s'ouvre aujourd'hui à Alger et s'étalera jusqu'à demain. Des hommes d'affaires des deux rives participeront à cette rencontre. Ce rendez-vous représente un pas très important pour l'Algérie, puisque la production nationale de céréales participe pour une grande partie à l'éssor de l'économie du pays. Dans une de ses récentes déclarations, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa a annoncé que le résultat, obtenu cette année en matière de production nationale de céréales, est exceptionnel et a enregistré 61,2 millions de quintaux contre une moyenne de 30 millions de quintaux, les années précédentes. «Cet exploit démontre qu'il est possible d'atteindre un niveau appréciable en matière de sécurité alimentaire», a-t-il rassuré. Il a précisé que la production de l'orge a été estimée à plus de 24 millions de quintaux, une quantité suffisante pour couvrir, selon lui, les besoins nationaux pour les trois années à venir. Le ministre a toutefois souligné que les résultats obtenus pour le blé (11,3 millions de quintaux) ne répondent pas au niveau des objectifs espérés. Le ministre a assuré, par ailleurs, que le gouvernement conservera les mêmes prix pour les engrais, ceci en dépit des prévisions tablant sur la hausse des cours de ces matières sur le marché international, dans les prochaines semaines. Il a révélé, dans ce sens, l'existence d'un programme de soutien à la production nationale de l'engrais azoté, actuellement importé. Rachid Benaïssa a appelé, à l'occasion les céréaliculteurs à rembourser leurs crédits contractés auprès de la BADR, dans le cadre du dispositif Rfig (sans intérêts) dont le taux de recouvrement a atteint 80% actuellement. Pour la période 2009/2010, il a confié qu'outre les stocks "importants d'engrais et de semences constitués actuellement au niveau des CCLS, lesquelles vont approvisionner les céréaliculteurs, un programme de création de nouveaux silos de stockage sera lancé pour combler le déficit constaté cette année», où les autorités ont été contraintes de louer d'autres espaces privés pour contenir l'ampleur de la production. Un programme de mécanisation sera également lancé, cette année, en vue de renouveler et de moderniser le parc des CCLS. Un colloque intitulé, «Les rencontres franco-algériennes des céréales» s'ouvre aujourd'hui à Alger et s'étalera jusqu'à demain. Des hommes d'affaires des deux rives participeront à cette rencontre. Ce rendez-vous représente un pas très important pour l'Algérie, puisque la production nationale de céréales participe pour une grande partie à l'éssor de l'économie du pays. Dans une de ses récentes déclarations, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa a annoncé que le résultat, obtenu cette année en matière de production nationale de céréales, est exceptionnel et a enregistré 61,2 millions de quintaux contre une moyenne de 30 millions de quintaux, les années précédentes. «Cet exploit démontre qu'il est possible d'atteindre un niveau appréciable en matière de sécurité alimentaire», a-t-il rassuré. Il a précisé que la production de l'orge a été estimée à plus de 24 millions de quintaux, une quantité suffisante pour couvrir, selon lui, les besoins nationaux pour les trois années à venir. Le ministre a toutefois souligné que les résultats obtenus pour le blé (11,3 millions de quintaux) ne répondent pas au niveau des objectifs espérés. Le ministre a assuré, par ailleurs, que le gouvernement conservera les mêmes prix pour les engrais, ceci en dépit des prévisions tablant sur la hausse des cours de ces matières sur le marché international, dans les prochaines semaines. Il a révélé, dans ce sens, l'existence d'un programme de soutien à la production nationale de l'engrais azoté, actuellement importé. Rachid Benaïssa a appelé, à l'occasion les céréaliculteurs à rembourser leurs crédits contractés auprès de la BADR, dans le cadre du dispositif Rfig (sans intérêts) dont le taux de recouvrement a atteint 80% actuellement. Pour la période 2009/2010, il a confié qu'outre les stocks "importants d'engrais et de semences constitués actuellement au niveau des CCLS, lesquelles vont approvisionner les céréaliculteurs, un programme de création de nouveaux silos de stockage sera lancé pour combler le déficit constaté cette année», où les autorités ont été contraintes de louer d'autres espaces privés pour contenir l'ampleur de la production. Un programme de mécanisation sera également lancé, cette année, en vue de renouveler et de moderniser le parc des CCLS.