L'accès des services financiers pour les plus pauvres dans le monde pourrait être possible dans le futur. Plus de deux milliards de personnes dans le monde n'ont pas accès aux "services financiers de base", et seulement 20% de la population mondiale ont un compte où elles épargnent, selon le FMI. Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé, hier, un projet de collecte régulière de données relatives aux crédits pour aider à déterminer des politiques élargissant cet accès. Un accord instituant un fonds financé par les Pays-Bas pour collecter des statistiques sur le sujet a été signé, hier, entre le directeur général du FMI Dominique Strauss-Kahn et la princesse des Pays-Bas lors de l'assemblée annuelle du Fonds à Istanbul ville dans laquelle se trouve, depuis deux jours, le ministre des Finances Karim Djoudi. Ce dernier a assisté, hier, aux travaux du comité de développement du FMI et de la BM qui se tiennent actuellement à Istanbul à la veille des assemblées annuelles de ces deux institutions financières internationales. Le comité a pour mission de donner aux conseils des gouverneurs des avis sur les grands problèmes de développement et sur les ressources financières requises pour permettre l'essor économique des pays en développement. Le comité a fini par englober, ces dernières années, les questions touchant au commerce et à l'environnement mondial, en plus de celles traditionnellement associées au développement. Sur le plan bilatéral, Karim Djoudi a eu des entretiens avec Mme Schamshad Akhtar, vice-présidente de la région du Moyen-Orient et Afrique du Nord (Mena) à la Banque mondiale. Avant-hier, il avait pris part aux travaux du groupe intergouvernemental des 24, du Comité monétaire et financier international ainsi qu'à la réunion du groupe de pays de la Banque mondiale auquel appartient l'Algérie et qui est composé de 7 pays. Djoudi avait également rencontré le ministre de l'Investissement égyptien et son homologue des Seychelles. L'accès des services financiers pour les plus pauvres dans le monde pourrait être possible dans le futur. Plus de deux milliards de personnes dans le monde n'ont pas accès aux "services financiers de base", et seulement 20% de la population mondiale ont un compte où elles épargnent, selon le FMI. Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé, hier, un projet de collecte régulière de données relatives aux crédits pour aider à déterminer des politiques élargissant cet accès. Un accord instituant un fonds financé par les Pays-Bas pour collecter des statistiques sur le sujet a été signé, hier, entre le directeur général du FMI Dominique Strauss-Kahn et la princesse des Pays-Bas lors de l'assemblée annuelle du Fonds à Istanbul ville dans laquelle se trouve, depuis deux jours, le ministre des Finances Karim Djoudi. Ce dernier a assisté, hier, aux travaux du comité de développement du FMI et de la BM qui se tiennent actuellement à Istanbul à la veille des assemblées annuelles de ces deux institutions financières internationales. Le comité a pour mission de donner aux conseils des gouverneurs des avis sur les grands problèmes de développement et sur les ressources financières requises pour permettre l'essor économique des pays en développement. Le comité a fini par englober, ces dernières années, les questions touchant au commerce et à l'environnement mondial, en plus de celles traditionnellement associées au développement. Sur le plan bilatéral, Karim Djoudi a eu des entretiens avec Mme Schamshad Akhtar, vice-présidente de la région du Moyen-Orient et Afrique du Nord (Mena) à la Banque mondiale. Avant-hier, il avait pris part aux travaux du groupe intergouvernemental des 24, du Comité monétaire et financier international ainsi qu'à la réunion du groupe de pays de la Banque mondiale auquel appartient l'Algérie et qui est composé de 7 pays. Djoudi avait également rencontré le ministre de l'Investissement égyptien et son homologue des Seychelles.