Les élections sénatoriales pour le renouvellement partiel de la chambre haute du Parlement et la tenue du 9e congrès du parti, prévus respectivement pour fin décembre et courant fin du 1er trimestre 2010, focalisent l'attention au sein de la direction centrale du vieux parti, bien que les responsables affirment qu'il n'y a pas le feu dans la maison. Les élections sénatoriales pour le renouvellement partiel de la chambre haute du Parlement et la tenue du 9e congrès du parti, prévus respectivement pour fin décembre et courant fin du 1er trimestre 2010, focalisent l'attention au sein de la direction centrale du vieux parti, bien que les responsables affirment qu'il n'y a pas le feu dans la maison. «Les commissions de préparation du parti activent normalement», selon Saïd Bouhadja, chargé de la communication au sein de la formation politique de Abdelaziz Belkhadem. Quant à l'autre échéance, les primaires pour l'élection des candidats au poste de sénateur, le responsable du FLN révèle qu' «une réunion avec le secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem est prévu pour des orientations». Là aussi, Saïd Bouhadja estime qu'il n'y aura aucun problème. Pour lui toute cette agitation pour les sénatoriales, dont les primaires sont prévues pour le mois de novembre, verra certainement «une concurrence entre les élus du parti». Il estime que cette concurrence reflète «la démocratie» qui règne au FLN et la qualifie d' «ambition légitime», soulignant cependant que «la compétence» doit primer sur toute autre considération. Il semble que le responsable redoute le travail de coulisses et l'achat de voix, bien qu'il se défende que ces pratiques aient cours au sein du FLN. «C'est immoral et ces pratiques doivent être condamnées», s'est-il indigné. Serein, Saïd Bouhadja prédit un congrès tout aussi «normal», feignant la surprise concernant «l'agitation» de la cellule centrale de suivi des affaires du FLN, menée par un ex-député du parti, Abbès Mekhalliff, lequel a réussi à réunir tous les mécontents de la gestion du parti par Abdelaziz Belkhadem et le secrétariat exécutif. Il finit par admettre cette agitation et la qualifie d'«acte isolé». Il affirme que «le FLN n'a exclu personne» et que les «personnes compétentes, qui ont une alternative, n'ont qu'à la proposer». Est-ce un clin d'œil et un appel du pied aux frondeurs qui ont menacé de tenir un congrès parallèle au cas où le secrétaire général ne répondrait pas à leurs revendications. Tout porte à le croire. Les échéances prochaines sont redoutées, car en l'état actuel des choses, elles risquent d'accentuer la division au sein du FLN qui a plus que jamais besoin d'unir ses rangs en prévision des prochaines batailles. Justement en prévision de ces batailles, le FLN s'active à finaliser le renouvellement de ses structures, mouhafadath de Bejaïa, M'Sila et Khenchela qui ont pris de longues années de retard en raison «des disputes» entre les militants pour se positionner au sein du parti. Pour la première, Bejaïa, à en croire Saïd Bouhadja, «c'est fait», pour la seconde, M'Sila «c'est en voie de l'être» et la troisième, Khenchela «c'est un responsable de la direction centrale qui va prendre le problème en charge». Un défi pour ce responsable que Saïd Bouhadja n'a pas nommé, connaissant les animosités qui nourrissent les militants et les responsables de cette structure. S. B. «Les commissions de préparation du parti activent normalement», selon Saïd Bouhadja, chargé de la communication au sein de la formation politique de Abdelaziz Belkhadem. Quant à l'autre échéance, les primaires pour l'élection des candidats au poste de sénateur, le responsable du FLN révèle qu' «une réunion avec le secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem est prévu pour des orientations». Là aussi, Saïd Bouhadja estime qu'il n'y aura aucun problème. Pour lui toute cette agitation pour les sénatoriales, dont les primaires sont prévues pour le mois de novembre, verra certainement «une concurrence entre les élus du parti». Il estime que cette concurrence reflète «la démocratie» qui règne au FLN et la qualifie d' «ambition légitime», soulignant cependant que «la compétence» doit primer sur toute autre considération. Il semble que le responsable redoute le travail de coulisses et l'achat de voix, bien qu'il se défende que ces pratiques aient cours au sein du FLN. «C'est immoral et ces pratiques doivent être condamnées», s'est-il indigné. Serein, Saïd Bouhadja prédit un congrès tout aussi «normal», feignant la surprise concernant «l'agitation» de la cellule centrale de suivi des affaires du FLN, menée par un ex-député du parti, Abbès Mekhalliff, lequel a réussi à réunir tous les mécontents de la gestion du parti par Abdelaziz Belkhadem et le secrétariat exécutif. Il finit par admettre cette agitation et la qualifie d'«acte isolé». Il affirme que «le FLN n'a exclu personne» et que les «personnes compétentes, qui ont une alternative, n'ont qu'à la proposer». Est-ce un clin d'œil et un appel du pied aux frondeurs qui ont menacé de tenir un congrès parallèle au cas où le secrétaire général ne répondrait pas à leurs revendications. Tout porte à le croire. Les échéances prochaines sont redoutées, car en l'état actuel des choses, elles risquent d'accentuer la division au sein du FLN qui a plus que jamais besoin d'unir ses rangs en prévision des prochaines batailles. Justement en prévision de ces batailles, le FLN s'active à finaliser le renouvellement de ses structures, mouhafadath de Bejaïa, M'Sila et Khenchela qui ont pris de longues années de retard en raison «des disputes» entre les militants pour se positionner au sein du parti. Pour la première, Bejaïa, à en croire Saïd Bouhadja, «c'est fait», pour la seconde, M'Sila «c'est en voie de l'être» et la troisième, Khenchela «c'est un responsable de la direction centrale qui va prendre le problème en charge». Un défi pour ce responsable que Saïd Bouhadja n'a pas nommé, connaissant les animosités qui nourrissent les militants et les responsables de cette structure. S. B.