Edifié durant l' époque coloniale, implanté rue Said Bedjaoui derrière l'hotel touristique Mermoura, l'immeuble Laâssel offre un aspect lamentable et c'est par miracle qu'il résiste aux intempéries et au poids des ans. Patrimoine de l'ex-Casorec de Constantine durant la période post-indépendance, il abritait des fonctionnaires de la sécurité sociale et au fil des ans, sa nature juridique est devenue ambiguë et des familles venues de divers horizons y ont été relogées. Cette imposante bâtisse est une véritable bombe à retardement, car les murs, les plafonds et le sol sont lézardés et présentent de profondes fissures qui n'augurent rien de bon. D'autre part, il nous a été loisible de visiter ces sinistres lieux où les installations électriques, de gaz naturel, de l'eau potable et d'évacuation des eaux usées sont dans un état inquiétant, de dégradation et un danger latent plane sur les occupants des 24 appartements. Les services du CTC avaient établi, voilà presque deux années, un rapport accablant qui préconisait l'évacuation de l'édifice, vu que son effondrement n'est pas à écarter. Les dernières pluies diluviennes sont venues aggraver les choses et ont engendré de sérieuses infiltrations et d'importants dégâts au sein des logements du dernier étage. Les occupants des 24 logements ne cessent de crier leur détresse et de réclamer leur relogement dans des appartements décents. Reçus cette semaine par le wali auquel ils ont exposé leur désarroi, ce dernier leur a confirmé que leur problème est pris en charge. En effet, dans le cadre de la résorption de l'habitat précaire et le programme national initié par les pouvoirs publics, la wilaya de Guelma a réservé un quota de logements aux familles concernées au niveau des 34 communes. Dans ce contexte, un recensement a été opéré par les services compétents et les occupants de cet immeuble vétuste ont été ciblés. Néanmoins, le chef de l'exécutif a précisé que seuls les occupants des 24 appartements seront relogés incessamment car une enquête préalablement établie avait fait ressortir que d'autres personnes ayant béneficié auparavant de l'octroi de logements sociaux prétendaient habiter dans cet immeuble. Les travaux de consolidation de ce bâtiment n'ont pas démarré en dépit des conclusions du rapport établi par le CTC qui recommandait l'évacuation des lieux. Le calvaire enduré par ces familles sinistrées prendra fin bientôt puisque le wali a été formel à ce sujet. Edifié durant l' époque coloniale, implanté rue Said Bedjaoui derrière l'hotel touristique Mermoura, l'immeuble Laâssel offre un aspect lamentable et c'est par miracle qu'il résiste aux intempéries et au poids des ans. Patrimoine de l'ex-Casorec de Constantine durant la période post-indépendance, il abritait des fonctionnaires de la sécurité sociale et au fil des ans, sa nature juridique est devenue ambiguë et des familles venues de divers horizons y ont été relogées. Cette imposante bâtisse est une véritable bombe à retardement, car les murs, les plafonds et le sol sont lézardés et présentent de profondes fissures qui n'augurent rien de bon. D'autre part, il nous a été loisible de visiter ces sinistres lieux où les installations électriques, de gaz naturel, de l'eau potable et d'évacuation des eaux usées sont dans un état inquiétant, de dégradation et un danger latent plane sur les occupants des 24 appartements. Les services du CTC avaient établi, voilà presque deux années, un rapport accablant qui préconisait l'évacuation de l'édifice, vu que son effondrement n'est pas à écarter. Les dernières pluies diluviennes sont venues aggraver les choses et ont engendré de sérieuses infiltrations et d'importants dégâts au sein des logements du dernier étage. Les occupants des 24 logements ne cessent de crier leur détresse et de réclamer leur relogement dans des appartements décents. Reçus cette semaine par le wali auquel ils ont exposé leur désarroi, ce dernier leur a confirmé que leur problème est pris en charge. En effet, dans le cadre de la résorption de l'habitat précaire et le programme national initié par les pouvoirs publics, la wilaya de Guelma a réservé un quota de logements aux familles concernées au niveau des 34 communes. Dans ce contexte, un recensement a été opéré par les services compétents et les occupants de cet immeuble vétuste ont été ciblés. Néanmoins, le chef de l'exécutif a précisé que seuls les occupants des 24 appartements seront relogés incessamment car une enquête préalablement établie avait fait ressortir que d'autres personnes ayant béneficié auparavant de l'octroi de logements sociaux prétendaient habiter dans cet immeuble. Les travaux de consolidation de ce bâtiment n'ont pas démarré en dépit des conclusions du rapport établi par le CTC qui recommandait l'évacuation des lieux. Le calvaire enduré par ces familles sinistrées prendra fin bientôt puisque le wali a été formel à ce sujet.