Trop de quartiers situés à Alger-Centre souffrent cruellement de l'absence d'aires de jeu pouvant accueillir en toute sécurité les enfants des résidants. À titre d'exemple nous nous contenterons de citer les rues Victor-Hugo, Ahmed-Zabana, rue Burdeau... même si elles sont, hélas, bien plus nombreuses. Les immeubles de ces quartiers, dans une autre vie étaient censés être résidentiels et accueillaient des couples aisés. Au fil des temps et d'une démographie galopante, ces quartiers se sont petit-à-petit clochardisés et ont fini par s'aligner sur les autres quartiers populaires. Les immeubles des rues citées plus haut donnent directement sur les voies carossables et ne sont donc pas dotés de cours ou autre espace où pourraient se réfugier les nombreux enfants, qui ne peuvent rester enfermés dans des appartements bien trop exigus pour leur énergie débordante. Des parents démissionnaires et surtout inconscients, laissent ainsi leurs enfants (garçons) livrés à eux-mêmes sur la voie publique. Ces derniers organisent des parties interminables de football à très haut risque. Ces parties se disputent au milieu de voitures, qui heureusement ne vont pas à grande vitesse. Les automobilistes ne savent toutefois pas où donner de la tête en tentant d'éviter les "Pelé" en herbe, de recevoir les lourds ballons sur les carosseries ou pire encore sur les pare-brises. Les piétons empruntant ces rues ne sont pas logés à meilleure enseigne, puisqu'eux aussi, vu l'état impraticable des trottoirs -quand ils n'accueillent pas les véhicules en stationnement- sont contraints de marcher sur cette même voie servant de terrain de foot. Les piétons doivent de ce fait, en plus de faire attention aux voitures, tenter d'éviter de se faire bousculer par les enfants, lesquels insensibles à tout ce remue-ménage, continuent imperturpables à taper dans la balle. Trop de quartiers situés à Alger-Centre souffrent cruellement de l'absence d'aires de jeu pouvant accueillir en toute sécurité les enfants des résidants. À titre d'exemple nous nous contenterons de citer les rues Victor-Hugo, Ahmed-Zabana, rue Burdeau... même si elles sont, hélas, bien plus nombreuses. Les immeubles de ces quartiers, dans une autre vie étaient censés être résidentiels et accueillaient des couples aisés. Au fil des temps et d'une démographie galopante, ces quartiers se sont petit-à-petit clochardisés et ont fini par s'aligner sur les autres quartiers populaires. Les immeubles des rues citées plus haut donnent directement sur les voies carossables et ne sont donc pas dotés de cours ou autre espace où pourraient se réfugier les nombreux enfants, qui ne peuvent rester enfermés dans des appartements bien trop exigus pour leur énergie débordante. Des parents démissionnaires et surtout inconscients, laissent ainsi leurs enfants (garçons) livrés à eux-mêmes sur la voie publique. Ces derniers organisent des parties interminables de football à très haut risque. Ces parties se disputent au milieu de voitures, qui heureusement ne vont pas à grande vitesse. Les automobilistes ne savent toutefois pas où donner de la tête en tentant d'éviter les "Pelé" en herbe, de recevoir les lourds ballons sur les carosseries ou pire encore sur les pare-brises. Les piétons empruntant ces rues ne sont pas logés à meilleure enseigne, puisqu'eux aussi, vu l'état impraticable des trottoirs -quand ils n'accueillent pas les véhicules en stationnement- sont contraints de marcher sur cette même voie servant de terrain de foot. Les piétons doivent de ce fait, en plus de faire attention aux voitures, tenter d'éviter de se faire bousculer par les enfants, lesquels insensibles à tout ce remue-ménage, continuent imperturpables à taper dans la balle.