C‘est devenu une habitude maintenant. Cette fois aussi, les supporters des Verts à Paris n‘ont pas dérogé à l‘habituel défilé qui suit la victoire des Verts. Sauf que cette fois, la foule grossissait à mesure que les chances des Verts d‘aller au Mondial augmentaient. Ils étaient des centaines à avoir rejoint le rendez-vous sous l‘arc de Triomphe, au centre de la place de l‘Etoile pour marcher sur les Champs-Elysées. Les supporters residant dans la capitales française ont répondu présents, prenant part au cortège qui a démarré de la place de l‘Etoile vers les Champs- Elysées. Jeunes, femmes et enfants ont arboré le vert, blanc et rouge. «Maak ya el Khadra, maak ya Dzair», fusent ici et là. Le cortège interminable de scooters, de voitures drapés de l‘emblème national, d‘où l‘on entendait s‘échapper la fameuse chanson des Verts «El Khadra dima fi guelbi» qui, désormais, ne connait pas de frontières. Des jeunes hommes, "karkabou" à la main, dansent dans les rues parisiennes; ce sont des scènes auxquelles les Parisiens n‘ont pas l‘habitude d‘assister. Ce flux incessant de supporters a rejoint le cortège vers 23 h sous le regard bienveillant des agents de police qui ont investi et préparé le terrain avant la fin du match. Sur la plus belle avenue du monde, les supporters des Verts, aux anges, descendent de leurs véhicules et s‘adonnent à des danses festives, d‘autres font des rondes autour des fumigènes vert et rouge. «Je kiffe bladi», avance non sans fierté Madjid, un jeune d‘origine algérienne. La victoire des Verts n‘attire pas que des Algériens. Se joignant à la fête, des jeunes d‘origine tunisienne brandissant les drapeaux des deux pays voisins sont venus grossir la foule dans une liesse collégiale. C‘est aussi la fête du peuple maghrébin, la qualification des Verts au Mondial est aussi une occasion d‘exprimer haut et fort la fierté d‘afficher sans fard son identité. Plus tard dans la nuit, la fête s‘est même invitée dans les galeries du métro de Paris où des jeunes sont carrément montés sur les rames de métro à l‘arrêt pour accrocher le drapeau algérien. C‘est devenu une habitude maintenant. Cette fois aussi, les supporters des Verts à Paris n‘ont pas dérogé à l‘habituel défilé qui suit la victoire des Verts. Sauf que cette fois, la foule grossissait à mesure que les chances des Verts d‘aller au Mondial augmentaient. Ils étaient des centaines à avoir rejoint le rendez-vous sous l‘arc de Triomphe, au centre de la place de l‘Etoile pour marcher sur les Champs-Elysées. Les supporters residant dans la capitales française ont répondu présents, prenant part au cortège qui a démarré de la place de l‘Etoile vers les Champs- Elysées. Jeunes, femmes et enfants ont arboré le vert, blanc et rouge. «Maak ya el Khadra, maak ya Dzair», fusent ici et là. Le cortège interminable de scooters, de voitures drapés de l‘emblème national, d‘où l‘on entendait s‘échapper la fameuse chanson des Verts «El Khadra dima fi guelbi» qui, désormais, ne connait pas de frontières. Des jeunes hommes, "karkabou" à la main, dansent dans les rues parisiennes; ce sont des scènes auxquelles les Parisiens n‘ont pas l‘habitude d‘assister. Ce flux incessant de supporters a rejoint le cortège vers 23 h sous le regard bienveillant des agents de police qui ont investi et préparé le terrain avant la fin du match. Sur la plus belle avenue du monde, les supporters des Verts, aux anges, descendent de leurs véhicules et s‘adonnent à des danses festives, d‘autres font des rondes autour des fumigènes vert et rouge. «Je kiffe bladi», avance non sans fierté Madjid, un jeune d‘origine algérienne. La victoire des Verts n‘attire pas que des Algériens. Se joignant à la fête, des jeunes d‘origine tunisienne brandissant les drapeaux des deux pays voisins sont venus grossir la foule dans une liesse collégiale. C‘est aussi la fête du peuple maghrébin, la qualification des Verts au Mondial est aussi une occasion d‘exprimer haut et fort la fierté d‘afficher sans fard son identité. Plus tard dans la nuit, la fête s‘est même invitée dans les galeries du métro de Paris où des jeunes sont carrément montés sur les rames de métro à l‘arrêt pour accrocher le drapeau algérien.