Plus que jamais les pouvoirs publics dans la capitale sont appelés à se pencher sur l'écologie, aspect très important pour l'environnement du citoyen. Il s'agit dans ce cas précis de l'aspect environnemental dans son large sens. En parlant de l'environnement, il ne s'agit pas uniquement des espaces verts et de l'insalubrité, car outre cela, il y a l'aspect écologique qu'il faut prendre en compte après des années d'indifférence. A dire vrai, «Alger repose sur une véritable catastrophe écologique». Les dizaines d'usines ouvertes dans la capitale, au centre de zones urbaines et à très forte densité démographique, représentent cette éventuelle catastrophe avec toutes ses dimensions. Dans un dernier recensement, il est révélé que la capitale renferme plus de 60 bases industrielles intra-muros et 22 bases pétrolières et gazières. L'être humain, dans ce cas là, reste le seul responsable de cette situation. Selon un bilan effectué par la wilaya d'Alger, il a été déploré 51 grands et ravageurs incendies au niveau de la capitale, tous au niveau de ces bases industrielles. Ce qui fait que ces sinistres ont été particulièrement destructeurs, c'est les difficultés d'intervention sur les lieux par les éléments de la Protection civile. Ces usines étant situées au milieu de cités populaires, comme si l'Algérie n'avait pas de terres aptes à accueillir ces usines sans mettre en danger la vie des riverains. Cette situation a conduit la wilaya d'Alger à prendre la première décision de délocaliser certaines usines actuellement ouvertes dans les localités de Hussein-Dey et Belouizdad. Cette décision a reçu la totale approbation des riverains, mais il n'en demeure pas moins qu'elle doit être géneralisée au reste de la capitale. D'autres localités continuent à pâtir de la présence de ces véritables poudrières. L'usine de recyclage du cuivre de Baraki... une véritable poudrière Les exemples sont nombreux pour témoigner de l'ampleur du danger des usines en zone urbaine. À Baraki, l'air est irrespirable, particulièrement pour les les riverains de l'usine de recyclage du cuivre. Plus de 30 familles dénoncent cette situation précaire qui menace leur santé et celle de leurs enfants. Plus de dix-sept plaintes ont été déposées des responsables locaux, pour la délocalisation de cette usine. Le S.O.S. est encore une fois lancé et c'est à la tutelle de prendre les mesures qui s'imposent pour un cadre de vie urbain sain et sans danger.. Plus que jamais les pouvoirs publics dans la capitale sont appelés à se pencher sur l'écologie, aspect très important pour l'environnement du citoyen. Il s'agit dans ce cas précis de l'aspect environnemental dans son large sens. En parlant de l'environnement, il ne s'agit pas uniquement des espaces verts et de l'insalubrité, car outre cela, il y a l'aspect écologique qu'il faut prendre en compte après des années d'indifférence. A dire vrai, «Alger repose sur une véritable catastrophe écologique». Les dizaines d'usines ouvertes dans la capitale, au centre de zones urbaines et à très forte densité démographique, représentent cette éventuelle catastrophe avec toutes ses dimensions. Dans un dernier recensement, il est révélé que la capitale renferme plus de 60 bases industrielles intra-muros et 22 bases pétrolières et gazières. L'être humain, dans ce cas là, reste le seul responsable de cette situation. Selon un bilan effectué par la wilaya d'Alger, il a été déploré 51 grands et ravageurs incendies au niveau de la capitale, tous au niveau de ces bases industrielles. Ce qui fait que ces sinistres ont été particulièrement destructeurs, c'est les difficultés d'intervention sur les lieux par les éléments de la Protection civile. Ces usines étant situées au milieu de cités populaires, comme si l'Algérie n'avait pas de terres aptes à accueillir ces usines sans mettre en danger la vie des riverains. Cette situation a conduit la wilaya d'Alger à prendre la première décision de délocaliser certaines usines actuellement ouvertes dans les localités de Hussein-Dey et Belouizdad. Cette décision a reçu la totale approbation des riverains, mais il n'en demeure pas moins qu'elle doit être géneralisée au reste de la capitale. D'autres localités continuent à pâtir de la présence de ces véritables poudrières. L'usine de recyclage du cuivre de Baraki... une véritable poudrière Les exemples sont nombreux pour témoigner de l'ampleur du danger des usines en zone urbaine. À Baraki, l'air est irrespirable, particulièrement pour les les riverains de l'usine de recyclage du cuivre. Plus de 30 familles dénoncent cette situation précaire qui menace leur santé et celle de leurs enfants. Plus de dix-sept plaintes ont été déposées des responsables locaux, pour la délocalisation de cette usine. Le S.O.S. est encore une fois lancé et c'est à la tutelle de prendre les mesures qui s'imposent pour un cadre de vie urbain sain et sans danger..